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Si vous connaissez des monuments ou des tombes en rapport avec l'aviation militaire française de la période 1910 à 1920, veuillez contacter l'auteur du site.

Brig Frédéric Quellennec
Escadrille N 12



Epitaphe de la tombe du brigadier Frédéric Quellennec de l'escadrille N 12 - Il a été tué, en compagnie du Ltt Paul Mourier, le 31 mars 1916 par la DCA allemande dans les environs de Laon. Sa tombe se trouve à 100 m des archives départementales de la dite ville - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide régulière.

Ltt Bernard de Girval
Escadrille SPA 73

Stèle commémorant l'endroit où s'est écrasé, en forêt de Retz, le Spad XIII n° 8352 du Ltt Bernard de Girval, pilote de l'escadrille SPA 73 - Ltt Bernard de Girval - Né le 26 avril 1892 à Dijon (Côte-d'Or) - Engagé au 13ème régiment de Dragons, le 30 novembre 1910 - Mobilisé au 13ème régiment de Dragons, le 2 août 1914 - Passé à l'aviation comme élève pilote, le 1er septembre 1917 - Brevet de pilote militaire n° 9386 en date du 19 octobre 1917 à l'école de Chartres - Différentes unités : 13ème Regiment de Dragons - école de Chartres (brevet de pilote militaire) - école d'Avord (spécialisation) - Pau (stage de haute école et tir aérien) - Escadrille SPA 77 à partir du 22 décembre 1917 - Tué en combat aérien dans les environs de Bonneuil-en-Valois (Oise), le 30 juin 1918. Photo Michel Chevalier que je remercie pour son aide.

Sgt Georges Damez
MdL Louis Vitecoq
Escadrille SM 106

Monument commémoratif en hommage au Sgt Georges Damez, pilote de l'escadrille SM 106 - Brevet de pilote militaire n° 3559 en date du 27 mai 1916 - Le 19 août 1917, le Sopwith 1A2 de l'équipage Sgt Georges Damez (pilote) et MdL Louis Alexandre Vitecoq (mitrailleur) a été abattu pendant d'un combat aérien et est tombé en cet endroit du plateau de Laffaux (02). Les deux hommes ont été tués - Photo Michel Chevalier que je remercie pour son aide.

Détail de la plaque du monument en hommage au Sgt Georges Damez - Une pensée au MdL Louis Alexandre Vitecoq qui a lui aussi perdu la vie pour la défense de son pays. Photo Michel Chevalier que je remercie pour son aide.

Tombe de 2ème classe du soldat Louis Duchemin - Né le 6 juillet 1887 à Saint-Paul-aux-Bois (02) - du 1er groupe d'aérostation - Décédé des suites d'une Broncho-pneumonie au centre hospitalier américain à Neufchâteau (88), le 1er octobre 1918 - Louis Duchemin repose dans le Carré Militaire du Cimetière de l'Eglise de St Paul-au-Bois (02) - Photo Didier Mahu que je remercie pour son aide.

Monument de la butte Chalmont
Oulchy-le-Château

Monument érigé sur la butte Chalmont, à l'endroit où se décida le sort de la Seconde bataille de la Marne en 1918 - Au premier plan, la statue "La France" - Au fond, on aperçoit le monument "les fantômes" du sculpteur français Paul Landowski - L'ensemble, commencé en 1919, a été inauguré en 1935 - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

En avancant vers le fond, les quatre niveaux représentant quatre années de guerre et pour finir le monument "Les Fantômes" du sculpteur Paul Landowski - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Au pied de la butte, on trouve deux stèles disposées de part et d'autre de la statue "la France" - Celle de gauche est à la mémoire des officiers, sous-officiers et soldats vainqueurs des dures journées du 15 juillet au 4 aout 1918, annonciatrices de la délivrance, de la victoire et de la paix - Elle est complétée par la liste des généraux et des corps d’armées qui ont participé à la bataille - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Sur la stèle de droite, on peut lire :"Le 15 juillet 1918, l'ennemi engage la bataille en Champagne contre les IVème, Vème et VIème armées. Le 17, ses efforts sont brisés entre Château-Thierry et l'Argonne. A l'aube du 18 juillet, entre Nouvron et la Marne, les Xème et Vème armées s'élancent à l'assaut sur le flanc de l'ennemi, atteignent le soir le front Pernant-Torcy, progressent sans arret les jours suivants et enlevent la butte de Chalmont (25 et 26 juillet) succés décisif qui repousse l'ennemi sur les plateaux du Tardenois. Il tente en vain de résister au nord de l'Ourcq (combats du Grand-Rosoy). L'intervention au sud des Vème et IXème armées achève sa défaite. Il est repoussé sur la Vesle, Soissons est délivrée, 30.000 prisonniers et un matériel considérable sont capturés. Le front est raccourci de 50 kms, la voie Paris-Chalons rétablie, la menace contre Paris levée. Après 3 semaines de durs combats auxquels participèrent des divisions américaines, britanniques et italiennes, la seconde bataille de la Marne se terminait victorieusement. L'initiative des opérations passait aux mains des alliés." - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Monument "Les Fantômes", réalisé par le sculpteur français Paul Landowski (1875-1961) et érigé sur le butte de Chalmont sur les hauteurs d'Oulchy-le-Château dans l'Aisne, à l'endroit où se décida le sort de la Seconde bataille de la Marne en 1918 - Il représente huit personnages, à savoir sept combattants : une jeune recrue, un sapeur, un mitrailleur avec son fusil Chauchat, un grenadier avec ses sacoches de grenades, un colonial, un fantassin, un aviateur et un dernier représentant la mort sortant de son linceuil - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Détail du monument "Les Fantômes", réalisé par Paul Landowski - Il érigé sur la butte Chalmont sur les hauteurs d'Oulchy-le-Château (02) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Cal Georges Guynemer
Escadrille MS 3

Monument en mémoire de la première victoire du Cal Georges Guynemer et du Sol Charles Guerder, le 19 juillet 1915 - Il vient d’être installé au bord de la route longeant la ferme de la Carrière l’Evêque à Septmonts (Aisne) - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Monument en mémoire de la première victoire du Cal Georges Guynemer et du Sol Charles Guerder, le 19 juillet 1915 - Il est installé au bord de la route longeant la ferme de la Carrière l’Evêque à Septmonts (Aisne) - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Détail du monument en mémoire de la première victoire du Cal Georges Guynemer et du Sol Charles Guerder, le 19 juillet 1915 - Il est installé au bord de la route longeant la ferme de la Carrière l’Evêque à Septmonts (Aisne) - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Sol Antoine Izar
66ème compagnie d'aérostiers

Tombe du Sol Antoine Pierre Izar - Né le 2 octobre 1874 à Lyon 3ème (Rhône) - Fils de Louis Bernard Izar et de Louise Boissonnat - Domiciliés au 85, rue Montesquieu à Lyon (69) - Classe 1894 - Recrutement du bureau central de Lyon sous le matricule n° 1280 - Ajourné de service militaire en 1895 et 1896 pour faiblesse - Déclaré bon pour le service en 1897 - Service militaire au 75ème régiment d'infanterie, le 13 novembre 1897 - Fin de service militaire et passage dans la réserve, le 17 septembre 1898 - Profession avant guerre Imprimeur lithographe - Domicilié au 144, cours Villeurbanne à Lyon (69), à compter du 3 avril 1900 - A accompli une période d'exercices à la 14ème section de secrétaires d'état-major du 29 octobre au 25 novembre 1900 - Domicilié au 330 rue paul Bert à Lyon (69), à compter du 14 avril 1901 - Domicilié rue des Maisons Meyes à Villeurbanne (69), à compter du 5 octobre 1902 - A accompli une période d'exercices au 157ème régiment d'infanterie du 25 septembre au 22 octobre 1905 - Domicilié au 61, rue Jean-Claude Vivant à Villeurbanne (69), à compter du 18 avril 1910 - A accompli une période d'exercices au 110ème régiment territorial d'infanterie du 3 au 11 août 1911 - Domicilié au 63, rue du 4 août à Villeurbanne (69), à compter du 13 novembre 1912 - Domicilié au 69bis rue de Constantine à Hussein Dey (Algérie), à compter du 9 décembre 1912 - Mobilisé au 35ème régiment d'infanterie par la mobilisation générale du 2 août 1914 - Arrive à l'unité, le 17 août 1914 - Passé au 1er groupe d'aérostation, le 5 octobre 1915 - Affecté à la 40ème compagnie d'aérostiers de campagne, le 28 janvier 1916 - Affecté à la 66ème compagnie d'aérostiers de campagne, le 11 février 1916 - Décédé des suites de ses blessures de guerre à l'ambulance 19/6 de Vauxtin (Aisne), le 9 mai 1917 - A cette date, la 66ème compagnie d'aérostiers était stationnée à St-Audebert (Aisne) - Antoine Izar repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Fiche matricule du département du Rhône - CCC de la 66ème compagnie d'aérostiers de campagne - MpF - Dernière mise à jour : 12 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sol Paul Guittard
75ème compagnie d'aérostiers

Tombe du Sol Paul François Charles Guittard - Né le 31 août 1878 à Moulins-la-Marche (Orne) - Fils de François Guittard et de Florentine Adeline Lambert - Domiciliés à Marchemaisons (Orne) - Classe 1896 - Recrutement d'Alençon (Orne) sous le matricule n° 17 - Engagé volontaire pour quatre ans au 16ème bataillon d'artillerie à pied, le 28 juin 1897 - Nommé Brigadier, le 17 juillet 1898 - Affecté au 14ème bataillon d'artillerie à pied, le 1er juillet 1899 - Nommé Maréchal des logis, le 20 septembre 1899 - Rétrogradé au grade brigadier, par ordre du général gouverneur militaire de Bayonne, le 21 décembre 1899 - Fin d'engagement - Profession avant guerre Employé de commerce - Domicilié au 12, rue Pile Mord à Paris 18ème (75), à compter du 4 avril 1906 - A accompli une période d'exercices au 15ème bataillon d'artillerie à pied du 23 juillet au 19 août 1906 - Domicilié au 17, rue Edgar Luinet à St-Ouen (Paris), à compter du 24 mars 1908 - Domicilié au 119, rue de St-Denis à Deuil-Versailles, à compter du 25 décembre 1911 - Rappelé à l'activité en raison de la mobilisation générale au 4ème groupe spécial, le 4 août 1914 - Arrivé à l'unité, le 6 août 1914 - Parti en détachement à Laval, le 4 septembre 1914 - Affecté au 10ème groupe spécial, le 22 septembre 1914 - Séjour au maroc du 25 septembre 1914 au 8 décembre 1917 - Affecté au 76ème régiment d'infanterie territoriale, le 19 décembre 1917 - Passé au 1er groupe d'aérostiers, le 22 janvier 1918 - Affecté à la 75ème compagnie d'aérostiers de campagne du 24 janvier au 16 décembre 1918 - Décédé des suites d'une congestion pulmonaire aïgue à l'ambulance n° 8/1 de Lâon (Aisne), le 16 décembre 1918 - La 75ème compagnie d'aérostiers était alors stationnée à la ferme de Rougemont (Aisne) - Paul Guittard repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Fiche matricule du département de l'Orne - CCC de la 75ème compagnie d'aérostiers de campagne - MpF - Dernière mise à jour : 12 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sol Ernest Delamare

Tombe du Sol Ernest Gaston Delamare - Né le 30 septembre 1976 à Elbeuf (Seine-Maritime) - Fils de François Adolphe Delamare et de Juliette Ismerie Legendre - Domicilié à Elbeuf (Seine-Maritime) - Classe 1896 - Recrutement du bureau de Rouen-Sud sous le matricule n° 251 - Service militaire au 6ème régiment de Dragons, à compter du 15 novembre 1897 - Fin de service militaire, le 28 septembre 1900 - Profession avant guerre tapissier - A effectué une période d'exercices au 6ème régiment de Dragons du 28 septembre au 25 octobre 1903 - Domicilié au 128, boulevard de Charonne à Paris (75), à compter du 4 février 1904 - Domicilié au 8, rue des Bons Enfants à Rouen, à compter du 15 novembre 1905 - Domicilié au 17, place Tau de Robec à Rouen, à compter du 16 juillet 1906 - A effectué une période d'exercices au 6ème régiment de Dragons du 24 septembre au 21 octobre 1906 - Domicilié au 16, rue St-Nicolas à Rouen, à compter du 19 janvier 1908 - Domicilié au 49, rue de Montreuil à Paris 11ème (75), à compter du 27 avril 1909 - Domicilié au 90, rue Grande à Fontainebleau, à compter du 9 novembre 1909 - Domicilié au 19, rue St-Ambroise à Melun, à compter du 24 avril 1910 - Domicilié au 16, rue de Pontthierry à Melun, à compter du 30 novembre 1911 - A effectué une période d'exercices au 6ème régiment de Dragons du 18 au 26 avril 1912 - Nommé Gardien de bureau à la sous-préfecture de Neufchâtel (Seine-Maritime), à compter du 19 février 1914 - Domicilié au 26, rue Jacquart à Elbeuf, à compter du 25 mai 1914 - Mobilisé au 6ème régiment de Dragons, le 1er août 1914 - Arrivé à l'unité, le 7 août 1914 - Affecté au 4ème escadron du Train des équipages militaires, le 6 février 1917 - Passé à l'aéronautique militaire, le 2 décembre 1917 - Décédé des suites d'une maladie à l'ambulance 8/1 de Laon (Aisne), le 12 janvier 1919 - Ernest Delamare repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Fiche matricule du département de la Seine-Maritime - MpF - JORF - Dernière mise à jour : 16 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sol Alfred Boulanger
2ème réserve de ravitaillement

Tombe du Sol Alfred Ernest Boulanger - Né le 6 août 1876 à Assis-sur-Serre (Aisne) - Fils de Louis Boulanger et de Lucie Joséphine Hyacinthe Carlier - Domiciliés à Limé (Aisne) - Profession avant guerre Charretier / Manoeuvrier - Classe 1896 - Recrutement de Soissons (Aisne) sous le matricule n° 827 - Classé "Service auxiliaire" pour flexion permanente de deux doigts de la main droite - Domicilié à Crépy-en-Valois, à compter du 30 juillet 1899 - Domicilié à la Ferté-Milon, à compter du 23 juillet 1900 - Domicilié à Limé (Aisne), à compter du 2 janvier 1902 - Domicilié au 32, rue du Commerce à Soissons, à compter du 18 janvier 1908 - Domicilié chez Clot à La Houssaye, à compter du 7 août 1914 - Maintenu "Service auxiliaire" par la commission de réforme de Coulommiers, le 7 novembre 1914 - Appelé à l'activité au 164ème régiment d'infanterie, le 5 novembre 1915 - Passé au 1er groupe d'aviation de l'aéronautique militaire et affecté sur le terrain de Dijon, le 12 février 1916 - Affecté à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, le 14 février au 3 décembre 1916 - Affecté à la RGA du 11 au 22 décembre 1916 - Manutentionnaire de la 2ème réserve de ravitaillement de l'aéronautique du 22 décembre 1916 au 1er juillet 1917 - Décédé des suites d'un accident imputable (cause ?) au service à l'hôpital de la Ferté-Milon (Aisne), le 1er juillet 1917 - Alfred Boulanger repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Pam - Fiche matricule du département de l'Aisne - MpF - Dernière mise à jour : 23 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sol Bernard Justal
Escadrille C 10

Tombe du Sol Bernard Elie Justal - Né le 22 mars 1890 à Paris (75) - Fils de Bertrand Justal et d'Esther Léger - Classe 1910 - Recrutement du 3ème bureau de la Seine sous le matricule n° 711 - Service militaire au 42ème régiment d'infanterie, à compter d'octobre 1911 - Affecté au 1er régiment de Zouaves, le 2 août 1914 - Affecté au 9ème régiment de Zouaves - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur-bombardier, le 2 juin 1916 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux - Stage à l'école d'aviation militaire d'Avord - Mitrailleur de la RGA du XXX au 23 octobre 1916 - Mitrailleur de l'escadrille F 123 du 25 octobre au 26 décembre 1916 - Mitrailleur de l'escadrille C 10 du 27 janvier au 22 avril 1917 - Tué par les éclats d'une bombe d'aviation allemande tombé sur le terrain d'aviation de Flavy-le-Martel, le 22 avril 1917 - Bernard Justal repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Pam - MpF - Dernière mise à jour : 23 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sgt Raoul Jourjon
Escadrille F 55

Tombe du Sgt Raoul Jules Jourjon - Né le 14 mars 1895 à Besançon (Doubs) - Fils de Jean Louis Désiré Jourjon et d'Eugénie Roth - Domiciliés au 9, boulevard Carnot à Belfort - Profession avant guerre Aviateur civil - Classe 1915 - Recrutement de Belfort sous le matricule n° 1548 - Engagé volontaire pour la durée de la guerre, au titre du 1er groupe d'aviation de Dijon-Longvic, à compter du 23 novembre 1914 - Brevet de pilote militaire n° 753 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 22 mars 1915 - Nommé Caporal, le 8 juillet 1915 - Nommé Sergent, le 23 août 1915 - Pilote de la RGA du 14 septembre 1915 au 21 mars 1917 - Pilote au GDE du 21 mars au 1er avril 1917 - Pilote de l'escadrille F 55 du 26 mars au 30 septembre 1917 - Tué au cours d'une mission de protection, à bord du Sopwith 1A2 n° 3154, au cours d'un combat aérien contre plusieurs avions ennemis, dans les environs de Chavignon (Aisne), le 30 septembre 1917 - Il faisait équipage avec le Cal de Scoraille (mitrailleur) qui a également perdu la vue dans l'affrontement - Croix de Guerre et citation n° 512 à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 5 octobre 1917 - Louis Jourjon repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille F 55 - Bailey / Cony - Fiche matricule du département du territoire de Belfort - JORF - Dernière mise à jour : 23 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

* Citation n° 512 à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Sgt Raoul Jourjon, pilote à l'escadrille F 55, en date du 5 octobre 1917 : "Sergent pilote d'une habileté et d'un courage au-dessus de tout éloge. Toujours volontaire pour les missions les plus périlleuses, les accomplissant d'une façon parfaite. Disparu au cours d'un combat contre plusieurs avions ennemis."

MdL Alexandre Museur
Escadrille BR 66

Tombe du MdL Alexandre Museur - Ordonnance puis mitrailleur de l'escadrille BR 66 du 29 octobre 1915 au 29 novembre 1917 - Tué au cours d'un accident d'avion, aux commandes d'un Breguet 14 B2 pendant un vol d'exercices, sur le terrain d'aviation de Villeneuve (Marne), le 29 novembre 1917 - Alexandre Museur repose dans le cimetière communal de Maizy (Aisne) - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide.

Tombe du MdL Alexandre Museur - Ordonnance puis mitrailleur de l'escadrille BR 66 du 29 octobre 1915 au 29 novembre 1917 - Tué au cours d'un accident d'avion, aux commandes d'un Breguet 14 B2 pendant un vol d'exercices, sur le terrain d'aviation de Villeneuve (Marne), le 29 novembre 1917 - Alexandre Museur repose dans le cimetière communal de Maizy (Aisne) - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide.

Slt Robert Favre
Escadrille SPAbi 63

Slt Robert Charles Louis Favre - Né le 28 mai 1889 à Paris 16ème (75) - Classe 1909 - Recrutement de Toulouse sous le matricule n° 1514 - Affecté au 120ème régiment d'artillerie - Observateur de l'escadrille SPAbi 63 - Tué d'une fracture du crâne au cours d'un accident aérien à Brétigny (Oise), le 31 mars 1918 - Robert Favre repose dans le cimetière communal de Blérancourt - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide - Sources : MpF - Dernière mise à jour : 9 novembre 2017.

Cal Marius Lallier
Escadrille SPAbi 63

Brigadier Marius Lallier - Né le 4 octobre 1892 à Roubaix (Nord) - Fils d'Elie Lallier et de Irma François - Classe 1912 - Recrutement de Cambrai sous le matricule n° 1206 - Profession avant guerre Photographe - Domicilié 69, rue de Londres, Le Touquet (62) - Service militaire au 1er escadron de Train des Equipages, à compter du 1er octobre 1913 - Toujours dans cette unité lors de la mobilisation générale du 2 août 1914 - Affecté au CVAD 1/1 - Affecté au 15ème régiment d'artillerie de campagne - Nommé Brigadier, le 12 avril 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 13 juillet 1917 - Brevet de pilote militaire n° 8621 obtenu à l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 16 septembre 1917 - Stage de perfectionnement à l'école militaire d'aviation d'Avord, jusqu'au 6 octobre 1917 - Pilote de l'escadrille SOP 63 / SPAbi 63 du 27 novembre 1917 au 31 mars 1918 - Stage SPAD XI au GDE du 5 au 22 décembre 1917 - Tué au combat, au cours d'une mission à bord d'un SPAD XI, abattu par la DCA dans les environs de Brétigny (Oise), le 31 mars 1918 - Il était accompagné du Slt Robert Favre qui a également été tué - Citation à l'ordre de l'armée à titre posthume - Marius Lallier repose dans le cimetière communal de Blérancourt - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide - Sources : Pam - CCC - Cony - FM détruite - JORF - Dernière mise à jour 9 novembre 2017 - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide.

Ltt Emmanuel Travers
Escadrille C 27

Tombe du Ltt Emmanuel Travers, observateur de l'escadrille C 27 du 1er février 1915 au 17 août 1917, dans le carré militaire des restitués dans le cimetière communal de Soissons - Il a été tué au cours d'un accident d'avion, en équipage avec le MdL Jean Pierre Bernajuzan (pilote) sur le terrain d'aviation d'Ambrief, le 17 août 1917 - Leurs corps ont été évacués à l'ambulance 5/52 d'Ambrief (Aisne) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Gros plan de la tombe du Ltt Emmanuel Travers, observateur de l'escadrille C 27 du 1er février 1915 au 17 août 1917, dans le carré militaire des restitués dans le cimetière communal de Soissons - Il a été tué au cours d'un accident d'avion, en équipage avec le MdL Jean Pierre Bernajuzan (pilote) sur le terrain d'aviation d'Ambrief, le 17 août 1917 - Leurs corps ont été évacués à l'ambulance 5/52 d'Ambrief (Aisne) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Ltt Emmanuel Marie Travers - Né le 27 avril 1878 au 18, Foubourg de la Guerche à Rennes (Ille-et-Vilaine) - Fils d'Emmanuel Guy Travers (chauffeur) et de Marie Joséphe Blouin - Profession avant guerre Ajusteur - Classe 1896 (engagement) / 1898 (normale) - Recrutement de Brest (Finistère) sous le matricule n° 1267 - Engagé volontaire poru cinq ans à Brest, à compter du 1er février 1897 - Incorporé aux équipages de la flotte sous le matricule Marine 73.780.2 et nommé ouvrier mécanicien de 3ème classe - Nommé Quartier-Maître mécanicien de 2ème classe, le 20 octobre 1898 - Nommé deuxième maitre mécanicien de 2ème classe, le 1er octobre 1900 - Témoignage de satisfaction du Ministre de la Guerre, le 13 septembre 1901 - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité, le 1er février 1902 -Domicilié dans le quartier Brégaillon à La Seyne, sur la rade de Toulon, à compter du 10 juin 1902 - Domicilié au 160, rue du Faubourg Saint-Denis à Paris, à compter du 7 juin 1903 - Accomplit une période d'exercices aux équipages de la Flotte du 9 au 30 juillet 1903 - Domicilié au 158, rue Lafayette à Paris 10ème (75), à compter du 15 janvier 1905 - Passe dans la réserve de l'armée de terre, le 1er février 1907 - Affecté dans la réserve, au 18ème bataillon d'artillerie à pied, à compter de cette date - Marié avec Mme Joséphine Marie Debry (employée de commerce) à Namur (Belgique), le 29 avril 1908 - Sa profession a l'époque Ingénieur industriel - Domiciliés au 20, rue des Écoles à Asnières - Domiciliés au 29, rue Franklin à Asnières, à compter du 4 octobre 1910 - Il passe une période d'exercices au 3ème régiment d'Artillerie à pied caserné à Brest du 22 février au 19 mars 1912 - Domicilié au 62 rue de Saintonge à Paris (75), à compter du 27 décembre 1913 - Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale au 3ème régiment d'artillerie à pied, le 3 août 1914 - Nommé Maréchal des Logis - Observateur de l'escadrille C 27 du 1er février 1915 au 17 août 1917 - Nommé Adjudant, le (2ème trimestre) 1915 - Nommé Sous-lieutenant, à titre temporaire, le 6 mai 1916 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 1er octobre 1915 - Blessé au cours d'un combat aérien, en équipage avec le Cal François Guerner, le 26 septembre 1916 - Chevalier de la Légion d'Honneur, le 26 septembre 1916 - Tué au cours d'un accident aérien sur le terrain d'aviation d'Ambrief, le 17 août 1917 - Son corps a été évacué sur l'ambulance 5/52, le même jour - Le MdL Jean Pierre Bernajuzan (pilote) qui faisait équipage avec lui, a également perdu la vie - Emmanuel Travers repose dans le carré des corps restitués aux famille du cimetière communal de Soissons (Aisne) - Sources : Fiche matricule du département du Finistère - CCC de l'escadrille C 27 - LO - JORF - MpF - Dernière mise à jour : 5 février 2018.

* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Emmanuel Travers, observateur à l'escadrille 27, en date du 1er octobre 1915 : "Observateur infatigable et plein d'initiative, A plus de deux cents heures de vol depuis le 1er février 1915. Le 25 septembre, ayant reçu l'ordre de faire sauter une voie ferrée importante, a parfaitement accompli cette mission périlleuse. Est descendu à 10 mètres au-dessus de la voie ferrée, et a vérifié l'efficacité de l'explosion sous la fusillade ennemie."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, le 26 septembre 1916 : "Observateur remarquable, a attaqué un avion ennemi dans les lignes allemandes et l'a abattu. A effectué plus de quatre cents heures de vol au-dessus de l'ennemi, s'est spécialement distingué les 1er, 2, 3, 4 et 5 septembre 1916 dans la préparation d'attaque, effectuant de très nombreux réglages dans des circonstances les plus périlleuses et les plus difficiles. Déjà trois fois cité à l'ordre et médaillé militaire au cours de la campagne."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Emmanuel Travers, observateur à l'escadrille C 27, en date du 28 août 1917 : "Officier observateur d'une très grande habileté et de la plus haute valeur morale. A été durant trente-trois mois un exemple constant de courage et d'énergie. N'a jamais hésité à accomplir les missions les plus périlleuses. Parti sur sa demande le 17 août 1917, pour une croisière sur les lignes ennemies a été victime d'un accident mortel."

MdL Hervé Chambrun d'Uxeloup de Rosemont
Escadrille SPA 85

Tombe du MdL Georges Marie Hervé Chambrun d'Uxeloup de Rosemont dans le cimetière communal du Nouvion-en-Thiérache (Aisne) - Né le 11 août 1899 au 18, rue de l'Orangerie à Versailles (Yvelines) - Fils de Marie Gilbert Chambrun d'Uxeloup de Rosemont (officier de cavalerie) et d'Anne Marie Marthe Tabary - Domiciliés à la Girardière à Charentay (Rhône) - Profession avant engagement étudiant (diplomatie) - Classe 1919 - Recrutement du bureau de Lyon (nord ou central) sous le matricule n° 2 - Engagé volontaire, au titre du 84ème régiment d'artillerie lourde, le 4 mai 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 10 octobre 1917 - Tests de sélection et cours théoriques à l'école d'aviation militaire de Dijon - Brevet de pilote militaire n° 10.656 obtenu à l'école d'Istres-Miramas, le 24 décembre 1917 - Stage de perfectionnement et de haute école à l'école d'aviation militaire de Pau - Nommé Brigadier, le 6 janvier 1918 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux, jusqu'au 27 février 1918 - Pilote du GDE du 27 février au 30 mai 1918 - Lâché sur SPAD VII et XIII, le 8 avril 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 85 du 1er juin au 18 août 1918 - Nommé Maréchal des logis, le 21 juillet 1918 - Grièvement blessé au cours d'un combat aérien dans les environs de Roye (Somme), le 18 août 1918 - A été contraint d'atterrir dans les lignes allemandes et a été fait prisonnier - Est décédé des suites de ses blessures à Avesnes (Nord), le 30 septembre 1918 - A été inhumé dans le cimetière du Nouvion-en-Thiérache par les Allemands, le 2 octobre 1918 - Citation à l'ordre de l'armée à titre posthume, en date du 8 janvier 1920 - Hervé Chambrun d'Uxeloup de Rosemont y repose toujours - Sources : Registres des naissances de la ville de Versailles (Yvelines) - Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille SPA 85 - MpF - CICR (CA 432/5) - Compte-rendus des opérations aériennes (SHD) - Compte-rendus de la 1ère division aérienne - JORF - Site Internet Geneanet - Dernière mise à jour : 17 juillet 2018.

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du MdL Hervé Georges Marie Chambrun d'Uxeloup de Rosemont, du 84ème régiment d'artillerie, pilote à l'escadrille SPA 85, en date du 8 janvier 1920 : "Jeune pilote d'une adresse et d'un allant exceptionnels, modèle d'entrain, de courage, méprisant le danger. Est tombé dans les lignes ennemies, le 18 août 1918, à lasuite d'un combat aérien."

Cal Jean Bouilliant
Escadrille SPA 69

Calvaire érigé en hommage au Cal Jean Bouilliant, pilote de l'escadrille SPA 69, tué cet endroit sur le territoire de la commune de Faverolles (Aisne), le 6 juin 1918 - Le pilote repose tombe 501 dans la nécropole nationale "Bois Robert" à Ambleny (Aisne) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Cal Jean René Louis Alfred Bouilliant - Né le 28 juin 1895 à Ablon-sur-Seine (Val-de-Marne) - Fils d'Alfred Marie Paul Bouilliant et d'Andrée Juliette Linet - Domiciliés au 22, rue du Général Foy à Paris 8ème (75) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1915 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 40 - Mobilisé au 42ème régiment d'infanterie, le 19 décembre 1914 - Nommé Caporal, le 1er mai 1916 - Evacué sur maladie pour paludisme - Passé l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 5 juillet 1917 - Cours théoriques à l'école d'aviation militaire de Dijon - Brevet de pilote militaire n° 9188 obtenu l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 11 octobre 1917 - Stage de perfectionnement "Avions Rapides" l'école d'aviation militaire d'Avord - Stage de spécialisation l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 3 octobre 1917 - Affecté à la RGA de Brescia (Italie) du 22 décembre 1917 au 8 février 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 69 du 8 février au 6 juin 1918 - Tué au cours d'un combat aérien contre plusieurs monoplaces du Jasta 15 dans les environs de Faverolles (Aisne), le 6 juin 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 10 octobre 1918 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 2 janvier 1923 - Jean Bouilliant repose tombe 501 dans la nécropole nationale "Bois Robert" à Ambleny (Aisne) - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille SPA 69 - Fiche matricule des archives départementales de Paris - MpF - JORF - Dernière mise jour : 8 octobre 2018.

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Cal Jean Bouilliant, pilote à l'escadrille SPA 69, en date du 10 octobre 1918 : "Excellent pilote de chasse, plein de courage, de bravoure et de sang-froid, modèle de devoir et de dévouement. Le 6 juin 1918, au cours d'une patrouille, a été attaqué par plusieurs avions ennemis et, accablé sous le nombre, a succombé glorieusement pour la France."

* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Cal Jean Pierre Louis Alfred Bouilliant, en date du 2 janvier 1923 : "Caporal brave et dévoué. Tombé glorieusement pour la France, le 6 juin 1918, à Faverolles, en faisant tout son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze."

Ltt Max Bérard
Ltt Jacques Seyller
Escadrille BR 44

Vue générale du monument érigé en hommage des lieutenants Max Bérard et Jacques Seyller de l'escadrille BR 44 tués à cet endroit, près de Thenelles (Aisne), le 24 octobre 1918 - Le Breguet 14A2, qu'ils occupaient, a été abattu lors d'une mission de réglage d'infanterie - Photo Claude Dannau pour je remercie pour son aide.

Monument érigé en hommage aux lieutenants Max Bérard et Jacques Seyller de l'escadrille BR 44 tués à cet endroit, près de Thenelles (Aisne), le 24 octobre 1918 - Le Breguet 14A2, qu'ils occupaient, a été abattu lors d'une mission de réglage d'infanterie - Photo Mickael Lepage pour je remercie pour son aide.

Détails du monument érigé en hommage des lieutenants Max Bérard et Jacques Seyller de l'escadrille BR 44, près de Thenelles (Aisne), le 24 octobre 1918 - Photo Claude Dannau pour je remercie pour son aide.

Les Ltt Max Bérard (pilote à l'arrière) et Jacques Seyller (observateur en place avant) de l'escadrille F 44 posent à bord d'un Farman F 40 de leur unité - Remarquez la bande de couleur caractéristique de cette unité - Photo présente sur le monument érigé en hommage à ces deux aviateurs tués dans les environs de Thenelles (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Ltt Max Jules Robert Bérard - Né le 27 août 1891 à Paris 17ème (75) - Fils de Louis Gaston Bérard et de Juliette Gustava Henriette Faucha - Mère domiciliée au 11, rue Théodule Robot à Paris 17ème (75) et Père domicilié rue de Tocqueville à Paris 17ème (75) - Classe 1911 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 1088 - Profession avant guerre Employé de banque - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 23ème régiment de Dragons, le 1er octobre 1912 - Nommé Brigadier, le 28 février 1913 - Nommé Maréchal des Logis, le 8 novembre 1913 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 21 septembre 1915 - Tests de sélection et cours théoriques à l'école d'aviation militaire de Dijon - Brevet de pilote militaire n° 2659 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Avord, le 7 février 1916 - A l'école d'aviation militaire d'Avord, jusqu'au 15 février 1916 - Pilote du GDE du 15 février au 8 mai 1916 - Pilote de l'escadrille BR 44 du 8 mai 1916 au 24 octobre 1918 - Citation n° 87 à l'ordre du corps d'armée, en date du 26 juin 1916 - Citation n° 957 à l'ordre de la 65ème division d'infanterie, en date du 28 septembre 1916 - Citation n° 921 à l'ordre de l'aéronautique, en date du 4 février 1917 - En stage au GDE du 3 au 17 avril 1917 - Nommé Sous-lieutenant de réserve à titre définitif, le 1er mai 1917 - Citation n° 771 à l'ordre de l'armée, en date du 8 juin 1917 - En stage au GDE du 9 au 17 juin 1917 - En mission de convoyage à la RGAé du Bourget du 1er au 12 novembre 1917 - Citation n° 1819 à l'ordre du 31ème corps d'armée, en date du 26 janvier 1918 - Citation n° 47 à l'ordre de l'armée, en date du 15 juin 1918 - Nommé Lieutenant de réserve à titre définitif, le 1er juillet 1918 - Tué au combat au cours d'une mission de réglage d'infanterie dans les environs de Thenelles (Aisne), le 24 octobre 1918 - Il faisait équipage avec le Ltt Jacques Seyller (observateur) qui a également perdu la vie - Citation n° 1148 à l'ordre de l'armée, en date du 18 novembre 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 17 avril 1920 - Sources : Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille F 44 / AR 44 / BR 44 - Fiche matricule du 6ème bureau de la Seine archivée par les archives départementales de Paris - MpF - JORF - Dernière mise à jour : 22 janvier 2019.

* Citation n° 87 à l'ordre du corps d'armée, en date du 26 juin 1916 : "Excellent pilote, ardent et courageux, exécutant avec le plus grand sang froid les missions les plus périlleuses les 19, 21 et 23 juin 1916, a pu réussir les réglages qui lui étaient confiés malgré les avions qui l’atteignaient et qu'il sut écarter par son audace et son adresse. "

* Citation n° 957 à l'ordre de la 65ème division d'infanterie, en date du 28 septembre 1916 : "Observateur et pilote formant un équipage audacieux et vaillant, le 19 septembre 1916 sont allés à très faible altitude établir la liaison avec l'infanterie de 1ère ligne, ont accompli leur mission avec une remarquable adresse malgré le feu de l'artillerie, des mitrailleuses et un très mauvais temps, ont combattu un avion ennemi et ont rapportés de précieux renseignements. "

* Citation n° 921 à l'ordre de l'aéronautique, en date du 4 février 1917 : "Pilote remarquable de sang froid et d'audace, s'offrant toujours pour les missions les plus périlleuses, en particulier le 11 janvier, a pénétré par trois fois dans les lignes ennemies a faible altitude pour exécuté une mission photographique importante. "

* Citation n° 47 à l'ordre de l'armée du Slt Max Jules Robert Bérard du 23ème régiment de Dragons, pilote à l'escadrille BR 44, en date du 15 juin 1918 : "Modèle du pilote de guerre exemple d'allant et de devoir, toujours prêt a accomplir toutes les missions, s'est particulièrement signalé dans les reconnaissances photographiques loin dans les lignes, a fait preuve d'une volonté tenace de rapporter les renseignements demandés en particulier le 31 mai livrant un violent combat avec cinq appareils contre 12 ennemis, il termine complètement sa mission puis dégage un de nos avions par son intervention soudaine dans la lutte direct."

* Citation n° 771 à l'ordre de l'armée du MdL Max Jules Robert Bérard au 23ème régiment de Dragons, pilote à l'escadrille F 44, en date du 8 juin 1917 : "Le 27 mai 1917 a exécuté jusqu'au bout, loin dans les lignes ennemies, une reconnaissance photographique importante, bien que la stabilité de son avion, gravement endommagé dès le début par le tir des canons spéciaux, fut très compromise. "

* Citation n° 1819 à l'ordre du 31ème corps d'armée, en date du 26 janvier 1918 : "Remarquable pilote d'une conscience militaire très sure, d'une habilité parfaite et d'une bravoure soutenue donnant confiance à tous les observateurs. Depuis le 1er décembre s'est dépensé sans compter. Le 10 janvier, il atterrit avec son réservoir d'essence déchiré par un très gros éclat d'obus et une aile endommagée. il repart sur un autre appareil le 12 janvier, descend à basse altitude dans la cuvette d'A..... pour permettre à son observateur de situer l'ennemi et reçoit des balles d'infanterie. "

* Citation n° 1148 à l'ordre de l'armée du Ltt Max Jules Robert Berard du 23ème régiment de Dragons, pilote à l'escadrille BR 44, en date du 18 novembre 1918 : "Pilote hors pair, ayant, au plus haut point, le sentiment du devoir. Plus de 500 heures de vol sur l'ennemi, a trouvé une mort glorieuse, le 24 octobre, en assurant à basse altitude la liaison avec l'infanterie. "

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Ltt Max Jules Robert Bérard, du 23ème régiment de Dragons, pilote à l'escadrille BR 44, en date du 17 avril 1920 : "Pilote hors pair, ayant, au plus haut point, le sentiment du devoir. Plus de cinq cents heures de vol sur l'ennemi. A trouvé une mort glorieuse, le 24 octobre 1918, en assurant à basse altitude la liaison avec l'infanterie. A été cité. "

Ltt Jacques Marie Joseph Seyller - Né le 8 juillet 1892 à Douai (Nord) - Fils de Valentin Seyller et de Valentine Clémence Marie Bouffard - Classe 1912 - Recrutement de Valenciennes-Douai (Nord) sous le matricule n° 237 - Eleve du Prytanée militaire en 1907 - Engagé volontaire pour trois ans au titre du 58ème régiment d'artillerie du 3 octobre 1916 au 1er février 1916 - Observateur de l'escadrille BR 44 du 1er février 1916 au 24 octobre 1918 - En stage au centre GDE du Plessis-Belleville du 15 février au 12 mars 1916 - En stage du 24 avril au 4 mai 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 27 janvier 1917 - Hospitalisé à l'ambulance du 4 mars au 4 avril 1917 - Détaché à l'aéronautique de la 11ème armée du 17 au 25 mai 1917 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 28 septembre 1917 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 7 au 21 février 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 14 juin 1918 - Tué au combat dans les environs de Thenelles (Aisne), le 24 octobre 1918 - Il faisait équipage avec le Ltt Max Bérard qui a également perdu la vie - Leur adversaire était probablement le Vfw Schneck du Jasta 9 (sa 3ème victoire) - Sources : CCC de l'escadrille F 44 / AR 44 / BR 44 - Fiche matricule du département du Nord originale détruite en 1940 - Une fiche matricule incomplète a été reconstituée - MpF - JORF - Dernière mise à jour : 22 janvier 2019.

* Citation à l'ordre de l'armée du Slt Jacques Marie Joseph Joseph Seyller à l'escadrille F 44, en date du 27 janvier 1917 : "Observateur plein de courage et d'allant. Toujours volontaire pour les missions les plus périlleuses. A donné maintes preuves de son audace et de son sang-froid, notamment le 13 août 1916, en attaquant et mettant en fuite deux avions de chasse ennemis qui tentaient d'interrompre sa mission, et au cours d'une opération, le 8 décembre 1916, en survolant à très faible altitude, malgré un feu violent de mitrailleuses, l'objectif sur lequel il était chargé d'opérer un réglage. Est rentré avec son avion sérieusement atteint, après avoir terminé cette mission exécutée dans des conditions atmosphériques très défavorables." (plus de deux cents heures de vol).

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Jacques Marie Joseph Joseph Seyller du 59ème régiment d'artillerie, observateur à l'escadrille BR 44, en date du 14 juin 1918 : "Observateur remarquable par son endurance, son travail et son audace qui ne se laisse détourner de ses missions, ni par l'artillerie, ni par l'aviation ennemies, en particulier le 16 septembre 1917 et le (censuré), où il rentre son appareil endommagé gravement dans ses parties essentielles; le (censuré), où il soutient un dur combat contre cinq avions. Le (censuré) exécute dans des conditions atmosphériques très difficiles un vol de liaison d'infanterie et n'hésite pas à descndre à moins de cent mètres pour rapporter de précieux renseignements sur la ligne. Compte plus de quatre cent vingt cinq heures de vol sur l'ennemi."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Jacques Marie Joseph Seyller du 59ème régiment d'artillerie de campagne, observateur à l'escadrille BR 44, en date du 12 septembre 1918 : "Officier d'élite. S'est distingué au cours des dernières attaques; en partoculier le 4 août 1918, combat contre quatre avions ennemis, dont l'un pique nettement dans ses lignes; le 11 août, accomplit jusqu'au bout une mission à très basse altitude et rentre son avion endommagé par le feu de l'infanterie adverse."

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Ltt Jacques Marie Joseph Seyller du 59ème régiment d'artillerie, observateur à l'escadrille BR 44, en date du 18 novembre 1918 : "Observateur d'une conscience et d'une bravoure remarquables. Plus de 500 heures de vol sur l'ennemi; le 24 octobre, en assurant à basse altitude, la liaison avec l'infanterie, a trouvé une mort glorieuse en plein combat."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Ltt Jacques Marie Joseph Seyller, au 59ème régiment d'artillerie de campagne, observateur à l'escadrille BR 44, en date du 18 mai 1919 : "Observateur d'une conscience et d'une bravoure remarquables. Plus de 500 heures de vol sur l'ennemi. A trouvé une mort glorieuse, le 24 octobre, en assurant, à basse altitude, la liaison avec l'infanterie. A été cité."

Ltt Sanche de Gramont de Coigny
Escadrille SPA 463

Monument commémoratif au Ltt Sanche de Gramont de Coigny, pilote de l'escadrille SPA 463 appartenant au groupe des escadrilles de protection du camp retranché de Paris, tué dans les environs de Noroy-sur-Ourcq (Aisne) au cours d'un combat aérien contre quatre avions allemands, le 3 juillet 1918 - Le monument original était en plein champ et difficile d'accés, il a dont été restauré et placé en bordure de chemin pour être visible de tous - Il est à 200 mètres du village de Noroy - Sa dépouille mortelle repose dans l'église de Bidache (Pyrénées-Atlantiques) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Ltt Antoine Louis Marie Armand Sanche de Gramont de Coigny - Né le 2 juillet 1888 à Paris 7ème (75) - Fils d'Antoine Alfred Arnauld Xavier Louis, comte de Gramont, duc de Coigny (docteur es Sciences, physicien et chimiste) et d'Anne Marie Brincard - Domiciliés au 179, rue de l'Université à Paris 7ème (75) et à la villa "Le Vignal" à Gelos (Pyrénées-Atlantiques) puis à la Bizolière à Savennières (Maine-et-Loire) - Avant guerre, Etudiant puis titulaire d'une license es-lettres et préparait un doctorat d'histoire - Classe 1908 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 4827 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 135ème régiment d'infanterie, le 8 octobre 1909 - Affecté au 103ème régiment d'infanterie, le 26 juillet 1910 - Affecté à la 20ème section de secrétaires d'état-major et du recrutement, le 10 septembre 1910 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 25 septembre 1911 - Admis à passer les épreuves orales pour le grade d'interprète stagiaire de la réserve et de l'armée territoriale, en langues anglaise et espagnole à Paris, le 6 février 1914 - Nommé interprète stagiaire en langue anglaise et affecté à la 20ème section de secrétaires d'état-major et du recrutement, le 9 mars 1914 - Rappelé à l'activité à la 20ème section de secrétaires d'état-major, le 3 août 1914 - Attaché à la mission militaire française attachée à l'armée britannique, à compter du 2 septembre 1914 - Détaché à Nantes et à St-Nazaire, le 6 septembre 1914 - Nommé officier interprète de 3ème classe, le 17 mars 1915 - Citation à l'ordre de l'armée britannique, en date du 7 août 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote de l'école d'aviation militaire d'Etampes, à compter du 10 novembre 1916 - Nommé Officier interprète de 2ème classe, le 9 mars 1917 - Brevet de pilote militaire n° 5860 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Etampes (Essonne), le 8 avril 1917 - Stage de perfectionnement sur avions rapides (Nieuport) à l'école d'aviation militaire d'Avord - A obtenu sa qualification à Avord, le 29 mai 1917 - Stage de "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau du 31 mai au 15 juin 1917 - Pilote de l'escadrille SPA 463 du 15 mai 1917 au 3 juillet 1918 - Citation à l'ordre de l'aéronautique du CRP, en date du 28 avril 1918 - Nommé Lieutenant au titre du 2ème régiment de cuirassiers, le 23 juin 1918 - Pilote détaché à l'escadrille N 471 du XXX au 3 juillet 1918 - Tué au cours d'un combat aérien contre quatre avions allemands, aux commandes d'un SPAD, dans les environs de Neuilly-St-Front (Aisne), le 3 juillet 1918 - Le pilote allemand qui l'a abattu est probablement le Ltn Ernst Bormann du Jasta 2 (sa 1ère victoire) - A été inhumé au voisinage immédiat de l'épave de son avion par les Allemands, au sud-ouest de Noroy-sur-Ourcq (Aisne) - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 23 juillet 1918 - Sa dépouille mortelle ayant été reprise par sa famille, Sanche de Gramont de Coigny repose dans l'église de Bidache (Pyrénées-Atlantiques) - Sources : Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille N 463 / SPA 463 - MpF (2 fiches) - Fiche matricule du 2ème bureau de la Seine archivée aux archives départementales de Paris - CICR - JORF - Bailey / Cony - Site Internet Mémorial Gen Web - Site Internet Geneanet - Revue La Guerre Aérienne Illustrée - Dernière mise à jour : 20 février 2019.

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Sanche de Gramont de Coigny au 2ème régiment de cuirassiers, pilote à l'escadrille SPA 463, en date du 23 juillet 1918 : "Officier de valeur, ayant une haute conception de son devoir. Pilote de chasse adroit et audacieux, donnant en toutes circonstances le plus bel exemple de courage et d'énergie. Disparu le 3 juillet 1918, au cours d'un combat sur les lignes."

Ltt Jacques Borgoltz
Escadrilles N 88 - SPA 65

Tombe du Ltt Jacques Victor Alexandre Borgoltz - Né le 31 janvier 1894 à Chartres (Eure-et-Loir) - Fils de Maxime Eugène Alexandre Borgoltz (militaire) et d'Alice Gillet - Domiciliés au 55, boulevard de la République à Versailles (Yvelines) - Profession avant engagement Elève de la section sciences de l'école normale supérieure, le 9 août 1912 - Classe 1914 - Recrutement de Versailles (Yvelines) sous la matricule n° 3165 - Admis à l'école polytechnique, le 17 septembre 1912 - Classé 3ème sur 230 au concours d'entrée - Engagé volontaire pour quatre ans, le 1er octobre 1912 - Entré à l'école Polytechnique et affecté pour son année de service militaire au 31ème régiment d'artillerie, caserné au Mans (Sarthe), le 7 octobre 1912 - Affecté au 4ème régiment de Génie pour effectuer son année de service militaire, le 2 août 1914 - Affecté à l'état-major du 13èle bataillon du Génie, le 6 août 1914 - Nommé Sous-lieutenant et affecté au 4ème régiment de Génie, le 9 août 1914 - Classé élève ingénieur dans le service des Ponts et Chaussées, le 26 août 1914 - Affecté à la compagnie 26/6 au 2ème régiment de génie, le 18 janvier 1916 - Citation à l'ordre de la division, le 18 février 1916 - Citation à l'ordre du Corps d'Armée, le 30 mars 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, le 3 avril 1916 - Blessé par un éclat d'obus, le 6 avril 1916 - Nommé Lieutenant, le 24 juin 1916 - Retour de convalescence, le 8 juillet 1916 - Affecté à la compagnies 26/3 du 2ème régiment de génie, le 24 août 1916 - Grièvement blessé au combat - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, le 1er novembre 1916 - Croix de Guerre - En convalescence jusqu'au 7 décembre 1916 - Réformé, il s'engage dans l'aéronautique comme observateur, le 7 décembre 1916 - Suit le cours des observateurs au groupe d'entrainement du Plessis-Belleville - Croix de St-Stanislas de 3ème classe (décernée à tous les défenseurs de Verdun) - Observateur de l'escadrille F 5 du 17 janvier au 6 avril 1917 - Stage à l'école de tir aérien de Cazaux du 4 au 19 février 1917 - Détaché à l'escadrille F 71 du 7 au 18 mars 1917 - Tué au combat, au cours d'une mission photo sur la ferme de Malval, avec un équipage de l'escadrille F 35, le 6 avril 1917 - Il faisait équipage avec le Slt Pierre Desbordes (pilote) et le soldat Alexandre Lebleu (mitrailleur), à bord du Caudron R 4 n° 1559 - Les trois hommes ont été tués - Leur avion a été attaqué par 5 avions ennemis, dont l'un des pilotes était Rudolf Berthold du Jasta 14 (sa 10ème victoire) - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 12 avril 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 19 février 1920 - Jacques Borgoltz repose dans le cimetière municipal de Saint-Quentin (Aisne) - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide - Sources : Extrait d'acte de naissance - Pam - Etat des Services - Fiche matricule conservée aux archives départementales des Yvelines - CCC de l'escadrille F 5 - CCC de l'escadrille F 71 - CCC de l'escadrille F 35 - Avis de décès - MpF - Site Internet Leonore - JORF - Dernière mise à jour : 21 décembre 2019.

Tombe du Ltt Jacques Victor Alexandre Borgoltz - Observateur de l'escadrille F 5 du 17 janvier au 6 avril 1917 - Détaché à l'escadrille F 71 du 7 au 18 mars 1917 - Tué au combat, au cours d'une mission photo sur la ferme de Malval, avec un équipage de l'escadrille F 35, le 6 avril 1917 - Il faisait équipage avec le Slt Pierre Desbordes (pilote) et le soldat Alexandre Lebleu (mitrailleur), à bord du Caudron R 4 n° 1559 - Les trois hommes ont été tués - Leur avion a été attaqué par 5 avions ennemis, dont l'un des pilotes était Rudolf Berthold du Jasta 14 (sa 10ème victoire) - Jacques Borgoltz repose dans le cimetière de St-Quentin (Aisne) - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sgt Marcel Puy
Escadrilles MF 29 - SOP 123 - C 42

Sgt Marcel Puy - Né le 12 février 1895 à Poitiers (Vienne) - Fils d'Emile René Puy et de Lucette Poirier - Domiciliés au 2, rue Jean Alexandre à Poitiers (Vienne) - Profession Employé de commerce / photographe - Classe 1915 - Recrutement de Poitiers (Vienne) sous le matricule n° 1005 - Mobilisé au titre du 1er groupe d'aviation, le 17 décembre 1914 - Formation théorique de photographe à l'école d'aviation militaire de Dijon-Longvic, jusqu'au 6 mars 1915 - Photographe de la section photo de l'escadrille MF 32 du 6 mars au 18 avril 1915 - Photographe affecté au magasin de la RGAé du 18 avril au 27 novembre 1915 - Formation élémentaire de pilote militaire à l'école d'aviation militaire du Crotoy, à compter du 28 novembre 1915 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 3 au 25 mars 1916 - Déclassé provisoirement mitrailleur, le 2 avril 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4583 obtenu à l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 23 septembre 1916 - Nommé Caporal, le 20 novembre 1916 - Mitrailleur de la RGAé - Mitrailleur de l'escadrille MF 29 / F 29, à compter du 11 juin 1916 - Reclassé pilote militaire - Pilote de l'escadrille F 29 (plus de CCC) - Pilote de l'escadrille F 123 / SOP 123 du (plus de CCC) au 5 juin 1917 - Citation n° 162 à l'ordre du régiment, en date du 11 janvier 1917 - En mission à l'escadrille SOP 29 du 26 janvier au 18 février 1917 - Pilote convoyeur provisoire d'avions Sopwith de la RGAé n° 4 du 15 au 22 avril 1917 - En subsistance à l'escadrille C 42 du 26 avril au 5 juin 1917 - Brevet de pilote civil FAI n° 5837 décerné sur sa demande par l'Aéro-club de France et obtenu sur Maurice Farman, le 18 mai 1917 - Pilote de l'escadrille C 42 / SPAbi 42 du 5 juin au 5 décembre 1917 - Nommé Sergent, le 25 juin 1917 - Pilote convoyeur depuis la GDE de Plessis-Belleville du 16 au 18 juillet 1917 - En déplacement, le 1er septembre 1917 - Citation n° 406 à l'ordre du 35ème corps d'armée, en date du 15 septembre 1917 - En entrainement sur SPAD XI au GDE du 17 octobre au 9 novembre 1917 - Tué au cours d'un combat aérien, quand le SPAD XI n° S 6007, qu'il pilotait, a été abattu dans les environs de Foreste (Aisne), le 5 décembre 1917 - Son corps a été transféré à l'ambulance 4/10 - Le Ltt Jean Mathé-Dumaine (obs), qui faisait équipage avec lui, a été grièvement blessé - Il est décédé des suites de ses blessures, le lendemain - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 20 décembre 1917 - Marcel Puy a été inhumé initialement dans le cimetière civil de Ham - Il repose désormais dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Vienne - CCC de l'escadrille SOP 123 - CCC de l'escadrille C 42 / SPAbi 42 MpF - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 8 décembre 2022.

* Citation n° 162 à l'ordre du régiment, en date du 11 janvier 1917 : "A exécuté trois bombardements à longue distance. A chaque fois atteint son objectif, surpris par la brume au cours du dernier bombardements a pu atterrir par nuit noire dans nos lignes, sans mal pour le pilote, ni pour le passager."

* Croix de Guerre et citation n° 406 à l'ordre du 35ème corps d'armée, en date du 15 septembre 1917 : "Excellent pilote, modeste consciencieux et brave le 30 et 31 août 1917, dans les conditions atmosphériques, très défavorables, a exécuté le réglage à 300 mètres d'altitude, à continuer sa mission pour la terminer, est rentré de nuit au terrain."

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Sgt Marcel Puy, pilote à l'escadrille SPA 42, en date du 20 décembre 1917 : "Excellent pilote, volontaire pour toutes les missions périlleuses. Le 5 décembre 1917, au cours d'une mission photographique à l'intérieur des lignes allemandes, a trouvé une mort glorieuse dans un combat contre deux avions ennemis."

Slt Antoine de Saint-Genest
Escadrille MF 8 / F 8

Slt Antoine Louis Marie Pierre Eugène de Saint-Genest - Né le 6 septembre 1892 à conception de Uruguay (Argentine) - Fils d'Antoine de Saint-Genest et de Laura Hériart - Domiciliés au 32, place Mage à Toulouse (Haute-Garonne) et à Saint-Genest-Malifaux (Loire) - Classe 1912 - Recrutement de St-Etienne (Loire) sous le matricule n° 1894 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre du 30ème régiment de Dragons, le 6 novembre 1911 - Nommé Brigadier, le 6 mars 1912 - Nommé Brigadier-fourrier, le 28 septembre 1912 - Nommé Maréchal des Logis, le 26 avril 1913 - Affecté au 28ème régiment de Dragons, le 13 mai 1914 - Nommé Sous-lieutenant, à titre temporaire, le 10 avril 1915 - Blessé suite à une glissade de son cheval "Patriote" qui tombe et qui l'entraine dans sa chute - Tombé au genou droit, n'était alors plus capable de marcher - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote en septembre 1915 - Brevet de pilote militaire n° 2298 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 10 janvier 1916 - Présent à l'école de Chartres, jusqu'au 17 janvier 1916 - Pilote du GDE du 17 janvier au 21 mars 1916 - Pilote de l'escadrille MF 8 / F 8 du 21 mars au 4 décembre 1916 - Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 12 août 1916 - Nommé Sous-lieutenant, à titre définitif, le 2 novembre 1916 - Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 15 janvier 1917 - Evacué sur l'hôpital de Bar-le-Duc, le 4 décembre 1916 - Rentré de convalescence, le 19 avril 1917 - Pilote du GDE du 19 avril au 2 mai 1917 - Pilote de l'escadrille F 8 du 2 mai au 12 juillet 1917 - Tué au cours d'un combat aérien, à bord d'un Dorand AR 1, dans les environs de Fresnoy-le-Petit (Aisne), le 12 juillet 1917 - Il faisait équipage avec le Slt Georges Libkind (observateur stagiaire) qui a également perdu la vie - Leur adversaire était probablement le Ltn Ludwig Hanstein du Jasta 16 - L'avion français a été comptabilisé comme sa 7ème victoire - Son corps a été transféré sur l'ambulance 40/70 de Fresnoy-le-Petit (Aisne) - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 22 juillet 1917 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre du 28ème régiment de Dragons, à titre posthume, en date du 10 mai 1922 - Antoine de St-Genest repose dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Loire - CCC de l'escadrille MF 8 / F 8 - MpF (2 fiches) - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 9 décembre 2022.

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Slt Antoine de Saint-Genest, pilote à l'escadrille F 8, en date du 22 juillet 1917 : "Officier très brillant et pilote remarquable, qui s'était imposé à l'admiration de tous par son allant, son audace et sa haute conscience du devoir. Est tombé glorieusement le 12 juillet 1917, à la suite d'un combat aérien qu'il avait recherché."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre du 28ème régiment de Dragons, à titre posthume, du Slt Antoine Louis Marie Pierre Eugène de Saint-Genest, en date du 10 mai 1922 : "Officier très brillant et pilote remarquable, qui s'était imposé à l'admiration de tous par son allant, son audace et sa haute conscience du devoir. Est tombé glorieusement le 12 juillet 1917, à la suite d'un combat aérien qu'il avait recherché. A été cité. "

MdL Edmond Lods
Escadrille N 69

MdL Pierre Edmond Lods - Né le 29 septembre 1879 à Luze (Haute-Saône) - Fils de Pierre Lods (domestique) et de Catherine Guéritey - Domiciliés au 58, Grande Rue à Luze (Haute-Saône) - Profession Maréchal-Ferrant - Classe 1899 - Recrutement de Vesoul (Haute-Saône) sous le matricule n° 603 - Engagé volontaire pour quatre ans, au titre du 26ème régiment de Dragons, le 11 octobre 1897 - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité, le 20 septembre 1901 - A accompli une période d'exercice au 13ème régiment de Dragons du 12 octobre au 4 novembre 1903 - Domicilié au 14, rue du Congrés à Nice (Alpes-Maritimes), à compter du 25 octobre 1904 - Passé dans l'armée territoriale, le 1er octobre 1910 - Domicilié au garage Elisée sur la promenade des Anglais à Nice (Alpes-Maritimes), à compter du 14 février 1912 - Rappelé à l'activité, par la mobilisation générale, au titre du 18ème régiment de Dragons, le 9 août 1914 - Affecté au parc automobile du 14ème escadron du train des équipages militaires, le 2 janvier 1915 - Affecté à l'état-major du 31ème corps d'armée - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 1er août 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1918 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 20 septembre 1915 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord - Nommé Caporal, le 4 octobre 1915 - Nommé Sergent, le 24 mai 1916 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 28 juillet au 3 août 1916 - Stage de spécialisation de "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau du 3 au 28 août 1916 - Pilote du GDE du 28 août au 20 septembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 69 du 20 septembre au 20 octobre 1916 - Tué au cours d'un combat aérien, au cours d'une reconnaissance aérienne, au Sud de Péronne (Somme), le 20 octobre 1916 - Il faisait équipage avec le Slt Genay (observateur de l'escadrille C 27) à bord d'un Morane-Saulnier XXI - Les deux aviateurs ont été tués - Leur adversaire était probablement le Vfw C. Kress du Jasta 6 - L'avion français a été comptabilisé comme sa 3ème victoire aérienne - Edmond Lods repose dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 10) de la commune de Luze (Faute-Saône) - Pam - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Haute-Saône - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille N 69 - MpF - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 9 décembre 2022.

Sgt Jean Peinaud
Ltt Marcel Vernes
Escadrille MF 7

Monument et tombes du Sergent Jean Peinaud et du Lieutenant Marcel Vernes de l'escadrille MF 7 dans le ravin d'Ostel (Aisne) - Les deux hommes ont été tués au combat, le 24 mars 1917 dans la zone de la ferme de Folemprise près d'Ostel - Leur avion est tombé près du moulin sur le ruisseau dans la vallée - Photo : Guy Capdevila du forum " Pages 14-18 " que je remercie pour son aide

Gros plan de la plaque du monument que l'on peut retrouver dans le ravin d'Ostel (Aisne)
Photo : Guy Capdevila du forum " Pages 14-18 " que je remercie pour son aide.

Membres de la famille Vernes se recueillant près du monument où reposent le Ltt Vernes et le Sgt Peinaud - Photo datant de 1921 transmise par Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Paysage visible du monument Vernes / Peinaud à Ostel, chemin de Folemprise - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

MdL Xavier Moissinac
Escadrille SPA 154

MdL Xavier Moissinac, pilote de l'escadrille SPA 154 - Né le 29 octobre 1896 à Brives (Corrèze) - Engagé au 3ème groupe d'artillerie d'Afrique, le 11 octobre 1916 - Passé à l'aviation comme élève pilote, le 24 mars 1917 - Brevet de pilote militaire n° XX en date du 23 mai 1917 - Différentes unités : 3ème groupe d'artillerie d'Afrique, école de Dijon (formation militaire et théorique), Ecole de Juvisy (Brevet de pilotage militaire), Ecole d'Avord (spécialisation), Pau (Haute Ecole) - Escadrille SPA 154 à partir du 3 septembre 1917 - Décoration MM - CG - 4 citations à l'ordre de l'armée et une à l'ordre de la division coloniale - Tué au combat d'une balle entre les deux yeux, aux commandes du Spad XIII n° 753, au Sud-Est de Dormans (02), le 3 juin 1918 - Repose dans le cimetière du village de Celles-les-Condé (02) - Photo Arnaud Héry que je remercie pour son aide.

Henri Comte de Vaulx
Un des fondateurs de l’aéro-club de France

Tombe du Henri François Joseph Comte de Vaulx dans le cimetière civil de Rozoy Bellevalle (02) - Né le 2 avril 1870 à Bierville et mort le 18 avril 1930 - Il a été un des fondateurs de l’Aéro-club de France en 1898 et de la Fédération aéronautique internationale en 1906. Il a fondé la marque Zodiac qui construisait des dirigeables avant de s’orienter sur la fabrication des bateaux gonflables - Henri de la Vaulx possèdait un château situé à Rozoy-Bellevalle, au sud du département de l’Aisne - Il a été tué lors d'un vol de démonstration près de Jersey city (New Jersey), le 18 avril 1930 - Photo Gilles Deschamps que je remercie pour son aide.

Détail de la tombe de Henri François Joseph Comte de Vaulx - Photo Gilles Deschamps que je remercie pour son aide.

Quartier-Maître Marcel Lefèvre
CAM de Cherbourg

Tombe de la famille Fefèvre à Vézaponin (02) - Ici reposent Paul Eugène Lefèvre (1868-1943) et Elisa Lefèvre, née Décourt (1872-1945) - Il est rappelé le souvenir de leur fils Marcel, disparu au cours d'une mission au large de St-Raphaël, le 10 août 1918 - Le monument se situe à la sortie du village, direction Soissons, après la dernière maison passé le champ et à 50 mètres de la lisière du bois, prendre le 1er chemin de terre qui monte vers le haut dans le bois - Photo Didier Mahu que je remercie pour son aide.

Caveau de la famille Lefèvre dans le cimetière communal de Tartiers (Aisne) - Une plaque à la mémoire du QM Marcel Lefèvre y est visible - Il a disparu en mission, alors qu'il était pilote du CAM de Cherbourg, le 10 août 1918 - Ses parents, Paul Eugène et Elisa, née Décourt, reposent en ce lieu - Photos Claude Dannau que je remercie pour son aide.

QM Marcel Gustave Lefèvre - Né le 10 juin 1896 à Vezaponin (Aisne) - Fils de Paul Eugène Lefèvre (entrepreneur en maçonnerie) et de Elise Célinée Décourt - Classe 1916 - Recrutement de Cherbourg (Manche) sous le n° matricule Marine 39.444-1 - Engagé volontaire, le 3 août 1914 - Mécanicien puis pilote d'hydravion affecté au CAM de Cherbourg (Manche) - Disparu en mer au cours d'une reconnaissance aérienne, aux commandes de l'hydravion Lévy Besson de 200 ch (n° 118 codé "CH 30"), au large de Cherbourg, le 10 août 1918 - Il était en équipage avec le SM mécanicien observateur Dominique Célestin Novel - L'hydravion et son équipage n'ont pas été retrouvés - Médaille Militaire et Croix de Guerre, à titre posthume, en date du 15 mars 1922 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 10) de la commune de Vezaponin (Aisne) ( MpF - Site "Le Grand Mémorial" - Dernière mise à jour : 7 décembre 2022.

* Médaille militaire et citation à l'ordre de l'armée de Mer, à titre posthume, du quartier-maître mécanicien Marcel Gustave Lefèvre, matricule n° 39.444-1, en date du 15 mars 1922 : "Excellent pilote d'hydravion, comptant 154 heures de vol. Disparu en mer, le 10 août 1918, au cours d'une reconnaissance. A été cité."

Détail de la tombe de Paul et Elisa Lefèvre - Photo Didier Mahu que je remercie pour son aide.

Sgt Robert Lévy
Slt Louis Hémeret
Cal Jean Brunet
Escadrille R 214

Gros plan du monument en hommage aux trois aviateurs de l'escadrille R 214 tué à cet endroit, le 12 avril 1917 - Photo Régis Godderidge que je remercie pour votre aide.

Monument érigé en hommage aux Sgt Robert Lévy (pilote) - Slt Louis Hémeret (observateur) - Cal Jean Brunet (mitrailleur), un équipage de l'escadrille R 214 tué à cet endroit, dans la forêt près du village d'Orainville (02), le 12 avril 1917 - Photo Régis Godderidge que je remercie pour votre aide.

Ltt Henri Balasse
Ecole d'Avord

Tombe de la famille Balasse-Blériot dans le cimetière de la ville de St-Quentin - Le Ltt Henri Jules René Balasse du 175ème RI, élève pilote de l'école militaire d'aviation d'Avord, y repose - Il a été tué au cours d'un accident d'avion au sein de cette même école, le 22 mars 1916 - Photo Frédéric Pillet, chargé d'études documentaires de la ville de St-Quentin, que je remercie pour son aide.

Détail de la tombe de la famille Balasse-Blériot dans le cimetière de la ville de St-Quentin - Photo Frédéric Pillet, chargé d'études documentaires de la ville de St-Quentin, que je remercie pour son aide.

Détail de la tombe de la famille Balasse-Blériot dans le cimetière de la ville de St-Quentin - Photo Frédéric Pillet, chargé d'études documentaires de la ville de St-Quentin, que je remercie pour son aide.

Sgt James Mac Connell
Escadrille N 124 "La Fayette"

Monument en hommage au Sgt James Mac Connell, pilote de l'escadrille N 124 "La Fayette" - Le Nieuport 17 n° 2055 qu'il pilotait, a été abattu en combat aérien et s'est écrasé à cet endroit, près de Flavy-le-Martel (02), le 19 Mars 1917 - Son adversaire était probablement le Ltn Heinrich Kammerer du Jasta 20 (sa 1ère victoire) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Détail du monument en hommage au Sgt James Mac Connell, pilote de l'escadrille N 124 "La Fayette" - Le Nieuport 17 n° 2055 qu'il pilotait, a été abattu en combat aérien et s'est écrasé à cet endroit, près de Flavy-le-Martel (02), le 19 Mars 1917 - Son adversaire était probablement le Ltn Heinrich Kammerer du Jasta 20 (sa 1ère victoire) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Sgt-Maj Auguste Trouve
Escadrille F 25

Tombe du Sgt-Major Auguste Louis Trouve - Né le 31 octobre 1884 à Paris 15ème (75) - Fils d'Alexandre Victor Trouvé et de Marie Joséphine Lejeune - Classe 1904 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 1607 - Service militaire au 36ème régiment d'infanterie, le 10 octobre 1905 - Profession avant guerre Comptable - Epouse domiciliée au 85, rue Cardinal Nivert à Paris 15ème (75) - Affecté au 3ème groupe spécial - Affecté au 5ème bataillon d'Afrique - Nommé Sergent-major, le 11 juillet 1916 - Passé à l'aérostation, le 19 octobre 1916 - Affecté à la 37ème section d'aérostiers du 10 octobre 1916 au 2 avril 1917 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 2 au 17 avril 1917 - Mitrailleur de l'escadrille F 221 du 17 avril au 5 septembre 1917 - Mitrailleur de l'escadrille F 25 du 5 septembre 1917 au 12 avril 1918 - En mission au GB 1 du 25 février au 1er avril 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion, au retour d'une mission de bombardement de nuit, sur le terrain de Longueil-Sainte-Marie (Oise), le 12 avril 1918 - Auguste Trouve repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Pam - CCC escadrille F 221 - CCC escadrille F 25 - MpF - Dernière mise à jour : 13 octobre 2016.

Sol Louis Perruchot
1er groupe de bombardement

Sol Louis Perruchot - Né le 25 mars 1883 à Bourgneul-Val-d'Or (Saône-et-Loire) - Fils de Pierre Perruchot et de Louise Gonin - Domicilié au 7, rue Sainte-Alexandre à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) - Profession avant guerre représentant de commerce - Classe 1903 - Recrutement de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) sous le matricule n° 1695 - Ajourné de service militaire en 1904 pour faiblesse - Ajourné pour les mêmes raisons en 1905 - Passé en "service auxiliaire" pour faiblesse en 1906 - Domicilié au 38, rue Denon à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), à compter du 5 octobre 1908 - Domicilié au 36, Grande Rue à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), à compter du 11 mars 1909 - Domicilié au 3, rue St-Alexandre à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), à compter du 16 décembre 1912 - Mobilisé au titre du 8ème section de commis et d'ouvriers d'administration (COA), stationnée à Chalon-sur-Saône, le 2 août 1914 - Affecté au 56ème régiment d'infanterie, le 1er octobre 1915 - Affecté au 134ème régiment d'infanterie, le 19 décembre 1915 - Croix de guerre et citation à l'ordre du 134ème régiment d'infanterie, en date du 4 août 1916 - Affecté à la 1ère compagnie de mitrailleuses - Evacué malade, le 28 janvier 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur, le 3 septembre 1917 - Passé dans la réserve, le 1er octobre 1917 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux - Brevet mitrailleur en avion, le 6 novembre 1917 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire du Crotoy, jusqu'au 9 décembre 1917 - Mitrailleur du GDE du 9 décembre 1917 au 4 février 1918 - Bombardier / Mitrailleur de l'escadrille V 114 du 4 février au 12 avril 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion à Longueil (Oise), dans la nuit du 12 au 13 avril 1918 - Le Cal Pierre Renoux (pilote), qui faisait équipage avec lui, a également trouvé la mort - Médaille militaire à titre posthume, en date du 1er octobre 1918 - Louis Perruchot repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Pam - CCC de l'escadrille V 114 - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Saône-et-Loire - MpF - JORF - Dernière mise à jour : 14 décembre 2022.

* Croix de guerre avec étoile de bronze et citation à l'ordre du 134ème régiment d'infanterie : "Le 4 août 1916, au moment d'une contre-attaque ennemie, sa pièce étant hors d'usage, s'est porté courageursement vers la plus proche, en a assuré le ravitaillement malgré la fusillade et le violent bombardement."

* Médaille militaire à titre posthume, en date du 1er octobre 1918 : "Soldat d'une bravoure refutée. Est mort pour la France, le 12 avril 1918 à Longueil en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile d'argent."

Sol Jean Baptiste Sarrat
Escadrille SPA 79

Tombe du Sol Jean Baptiste (alias Ernest) Sarrat - Né le 24 juillet 1891 à Luixe (Landes) - Fils de Jean Sarrat et de Jeanne Marsan - Domiciliés à Mézos (Landes) - Profession avant guerre Cultivateur résinier - Classe 1911 - Recrutement de Mont-de-Marsan sous le matricule n° 732 - Ajourné pour un an pour faiblesse - Classé soutien indispensable de famille, le 2 septembre 1913 - Incorporé au 34ème régiment d'infanterie, à compter du 1er octobre 1913 - Classé "Service auxiliaire" par décision du Général commandant la 5ème et 6ème subdivision, le 4 janvier 1915 - Affecté au 62ème régiment d'infanterie, le 4 octobre 1915 - Réformé temporairement 1ère catégorie pour laryngite bacillaire et bronchite chronique par la commision de réforme de Lorient, le 18 juillet 1916 - Classé "service armé" par la commision de réforme de Mont-de-Marsan, le 29 juin 1917 - Affecté au 34ème régiment d'infanterie, le 19 juillet 1917 - Classé "Service auxiliaire" et apte au front pour musculature insuffisante par la commision de réforme de Mont-de-Marsan, le 10 août 1917 - Passé à l'aéronautique militaire, le 12 août 1917 - Employé comme "divers" au Parc n° 6 du 12 aout 1917 au 8 mars 1918 - Fonction de "divers" de l'escadrille SPA 79 du 8 mars au 16 novembre 1918 - Evacué sur l'ambulance 8/1 de Lâon, le 10 novembre 1918 - Décédé des suites d'une maladie contactée en service à l'ambulance 8/1 de Laôn (Aisne), le 16 novembre 1918 - Jean Baptiste Sarrat repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Fiche matricule du département des Landes - MpF - Dernière mise à jour : 13 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sol Louis Valentin
Escadrille V 114

Tombe du Sol Louis Valentin - Né le 31 juillet 1894 à Rouy (Nièvre) - Fils de Joseph Valentin et de Jeanne Taillon - Domiciliés à St-Eloi (Nièvre) - Profession avant guerre Manoeuvre - Classe 1914 - Recrutement de Nevers sous le matricule n° 1921 - Mobilisé au 56ème régiment d'infanterie, le 1er septembre 1914 - Arrivé à l'unité, le 5 septembre - Affecté au 95ème régiment d'infanterie, le 13 décembre 1914 - Affecté au 13ème régiment d'infanterie, le 1er décembre 1915 - Classé "Service Auxiliaire" pour forte myopie, supérieure à 12 dyoptries, par la commision de réforme de Bourges, le 18 décembre 1915 - Maintenu "Service Auxiliaire" par la commision de réforme de Bourges, le 5 avril 1916 - Affecté au 95ème régiment d'infanterie, le 22 mars 1916 - Passé au 1er groupe d'aviation de l'aéronautique militaire, le 28 novembre 1916 - Présent à Dijon, jusqu'au 12 décembre 1916 - Affecté à la RGA, le 12 décembre 1916 - Manutentionnaire du Parc 101 du 28 au 30 décembre 1916 - Manutentionnaire de l'escadrille V 114 du 30 décembre 1916 au 16 mai 1918 - Tué au cours d'un bombardement aérien par des avions allemands sur le terrain de Passy-en-Valois, dans le nuit du 15 au 16 mai 1918 - Corps déposé à l'hôpital civil et militaire de la Ferté-Milon (Aisne), le 16 mai 1918 - Louis Valentin repose dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Pam - Fiche matricule du département de la Nièvre - MpF - Dernière mise à jour : 23 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Sgt Louis Marssac
Escadrille C 4

Tombe du Sgt Louis Pierre (dit "André") Marssac - Né le 28 septembre 1895 à Rochefort (Charente-Maritime) - Fils de Louis Ainé Marssac et d'Eglantine Marguerite Eglantine Girard - Domiciliés à Rochefort (Charente Maritime) - Brevet de pilote civil délivré par l'aéroclub de France, le 3 août 1914 - Profession avant guerre Aviateur civil - Domicilié à Villacoublay (Yvelines) - Classe 1915 - Recrutement de la Rochelle sous le matricule n° 856 - Mobilisé au 57ème régiment d'infanterie, à compter du 16 décembre 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 2 avril 1915 - Brevet de pilote militaire n° 961 obtenu à l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 21 mai 1915 - Nommé Caporal, le 14 juin 1915 - Pilote de la RGA, jusqu'au 8 juin 1915 - Pilote de l'escadrille C 51 du 8 au 15 juin 1915 - Blessé au cours d'un accident d'avion et évacué sur l'hôpital d'Amiens, le 15 juin 1915 - Affecté à la RGA du XXX au 25 février 1916 - Hospitalisé et convalescence d'un mois du 9 novembre 1915 au 25 février 1916 - Pilote de l'escadrille MF 7 du (2ème trimestre 1916) au 10 juillet 1916 - Croix de Guerre et citation à l'ordre de l'aéronautique de la 2ème armée, en date du 18 mai 1916 - Pilote de l'escadrille C 4 du 10 juillet 1916 au 3 juin 1917 - Nommé Sergent, le 16 août 1916 - Tué lors d'un atterrissage, aux commandes d'un Caudron G 6, au retour d'une mission de reconnaissance, sur le terrain de Mont-Saint-Martin (Aisne), le 3 juin 1917, le 3 juin 1917 - Il faisait équipage avec le Slt Marcel Emile Umbdenstock (obs) qui a également perdu la vie - Inhumé initialement tombe n° 5 dans le cimetière communal de Mont-St-Martin (Aisne) - Louis Marssac repose désormais dans la nécropole nationale de Soupir (Aisne) - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - Fiche matricule du département de Charente-Maritime - CCC de l'escadrille C 51 - CCC escadrille MF 7 - CCC de l'escadrille C 4 - MpF - Dernière mise à jour : 19 octobre 2016 - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Sgt Louis Pierre Marssac, pilote à l'escadrille C 4, en date du 20 juin 1917 : "Depuis deux ans en escadrille sur le front. Adroit et brave, a livré de durs combats et accompli de nombreuses missions très difficiles. A été tué le 3 juin 1917, au retour d'une reconnaissance."

Ltt Albert Richet
Sgt Henri Lods
Escadrille BR 117

Tombe du Ltt Albert Richet (pilote) et le Sgt Henri Lods (mitrailleur) tués au cours d'une mission de bombardement, dans les environs d'Anisy-le-Château (02), le 29 août 1918 - Cette tombe se trouve à l'ouest de Pinon, au nord de la voie ferrée - Photo Gaspard que je remercie pour son aide.

Détail de la tombe du Ltt Albert Richet (pilote) et le Sgt Henri Lods (mitrailleur) tués au cours d'une mission de bombardement, dans les environs d'Anisy-le-Château (Aisne), le 29 août 1918 - Cette pièce est un carter inférieur de moteur Renault équipant leur Breguet 14B2 - Cette tombe se trouve à l'ouest de Pinon, au nord de la voie ferrée - Photo Gaspard que je remercie pour son aide.

Ltt Albert Richet - Né le 10 décembre 1888 à Paris 7ème (75) - Fils de Charles Richet (médecin) et d'Amélie Aubry - Profession avant guerre Ingénieur (pilote d'essai chez Breguet) - Classe 1908 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous la matricule n° 621 - Entré en service actif en octobre 1908 au 39ème régiment d'infanterie - Passé au 1er groupe d'aérostation - Brevet de pilote militaire n° 668 en date du 29 janvier 1915 - Pilote de l'escadrille V 21 bis (future SAL 50) du XX février au 9 mars 1915 - Pilote de l'escadrille MF 22 du 9 mars 1915 au (2ème trimestre 1915) - Nommé Caporal, le 23 mars 1915 - Affecté à la 31ème section d'aviation du (2ème trimestre) 1915 au 5 septembre 1915 - Affecté à l'escadrille 2 DE (2ème division de l'escadre Breguet-Michelin) au 5 septembre 1915 au 5 février 1916 - Stage à Chalais-Meudon - Pilote de l'escadrille BM 117 du 5 février 1916 au XX septembre 1916 - Nommé Sous-lieutenant, à titre temporaire, et affecté au 92ème régiment d'infanterie, le 1er mai 1916 - Commandant de l'escadrille BR 117 du XX septembre 1916 au 29 août 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 15 août 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 10 octobre 1917 - Tué au cours d'une mission de bombardement, dans les environs de Brancourt et d'Anizy-le-Château, le 29 août 1918 - Repose, en compagnie de son mitrailleur, le Sgt Henri Lods, dans une tombe collective sur le territoire de la commune de Pinon, proche d'Anizy-le-Château (Aisne) - Sources : Pam - MpF - LO - JORF - Liste de brevets militaires - CCC escadrille BR 117 - CCC escadrille MF 22 - CCC escadrille 2 Bregeut-Michelin - JMO de la Division Aérienne - Dernière mise à jour : 19 juin 2016.

Sgt Marcel Emile Lods - Né le 21 novembre 1889 à Chenebier (Haute-Saône) - Fils d'Emile Lods et de Marie Mettey - Profession avant guerre Mécanicien ajusteur - Classe 1909 - Recrutement de Vesoul (Haute-Saône) sous le matricule n° 1177 - Service militaire au 23ème régiment d'infanterie, à compter du 4 octobre 1910 - Nommé Caporal, le 4 septembre 1911 - Envoyé dans la disponibilité, le 25 septembre 1912 - Classé Service Auxiliaire à la 5ème section de chemin de fer de campagne comme employé permanent de la compagnie des chemins de fer du Nord du 3 juillet 1913 au 6 juillet 1914 - Classé Service Auxiliaire à la 6ème section de chemin de fer de campagne comme employé permanent de la compagnie des chemins de fer de l'Est du 1er août 1914 au 3 avril 1915 - Affecté au 42ème régiment d'infanterie, à compter du 20 avril 1915 - Blessé par une balle au cou à Quennevières, le 16 juin 1915 - Croix de Guerre et citation à l'ordre du 42ème régiment d'infanterie, en date du 16 juin 1915 - Blessé par éclat d'obus aux deux jambes, au fort de Vaux (Meuse), le 27 février 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur, à compter du 31 juillet 1917 - Certifié mitrailleur à l'école du tir de Cazaux, le 10 novembre 1917 - Stage de bombardement à l'école d'aviation militaire du Crotoy du 8 janvier au 7 février 1918 - Bombardier / mitrailleur de l'escadrille BR 117 au 7 février au 29 août 1918 - Nommé Sergent, le 11 avril 1918 - Tué au cours d'une mission de bombardement, dans les environs de Brancourt et d'Anizy-le-Château, le 29 août 1918 - Repose, en compagnie de son pilote, le Ltt Albert Richet, dans une tombe collective sur le territoire de la commune de Pinon, proche d'Anizy-le-Château (Aisne) - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 4 janvier 1923 - Sources : Pam - CCC de l'escadrille BR 117 - FM du département de la Haute-Saône - MpF - Dernière mise à jour : 19 août 2017.

La même tombe photographiée en 2019 - Elle se trouve maintenant en limite d'un lotissement d'habitations qui a été construit à l'ouest de Pinon - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

La même tombe des aviateurs Richet et Lods photographiée en 2019 - Elle se trouve maintenant en limite d'un lotissement d'habitations qui a été construit à l'ouest de Pinon - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Slt Paul de Larminat
Escadrille N 48

Tombe du Slt Paul de Larminat, tué au combat lors d'un mitraillage de tranchées, aux commandes du Spad VII n° 1178, dans les environs de Bourg-et-Comin (Aisne), le 16 avril 1917 - Paul de Larminat repose dans le cimetière communal de Beaurieux (Aisne) - Photos Ludovic Spy que je remercie pour son aide.

Slt Paul Marie Alexandre de Larminat - Né le 23 septembre 1887 à Vertou (Loire-Atlantique) - Fils d'Henry Marie Etienne de Larminat (militaire) et d'Elisabeth Marie Thérèse Jeanne du Bochet de La Porte - Classe 1907 - Recrutement de Nantes (Loire-Atlantique) sous le matricule de recrutement n° 276 - Service militaire au 3ème régiment de Dragons, à compter du 1er octobre 1908 - Profession avant guerre Agent d'assurances - Mobilisé au 3ème régiment de Dragons, le 2 août 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 20 mai 1915 - Observateur de l'escadrille MS 23 du 22 mai au 25 août 1915 - Observateur de l'escadrille C 61 du 25 août au 13 novembre 1915 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 6 novembre 1915 - Brevet de pilote militaire n° 2976 obtenu à l'école d'aviation de Chartres, le 15 mars 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Juvisy - Stage de spécialisation à l'école d'aviation militaire d'Avord - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux - Stage de "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 10 août 1916 - Pilote du GDE du 10 août au 9 septembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 48 du 9 septembre 1916 au 16 avril 1917 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 27 décembre 1916 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 26 avril 1917 - En mission du 27 février au 15 mars 1917 - Tué au combat lors d'un mitraillage de tranchées, aux commandes du Spad VII n° 1178, dans les environs de Bourg-et-Comin (Aisne), le 16 avril 1917 - Paul de Larminat repose dans le cimetière communal de Beaurieux (Aisne) - Sources : Pam - Liste PN - CCC de l'escadrille MS 23 - CCC de l'escadrille C 61 - CCC de l'escadrille N 48 / SPA 48 - LO - JORF - MpF - Dernière mise à jour : 18 août 2017.

Sgt Camille Casallès
Escadrille BR 205

Tombe du Sgt Camille Casallès - Né le 18 novembre 1888 à Mont-de-Marsan (Landes) - Fils de François Emmanuel Casallès et de Justine Louise Duthil - Domiciliés au 33, rue Saint-James à Bordeaux (Gironde) - Profession avant engagement employé de commerce - Classe 1908 - Recrutement de Bordeaux (Gironde) sous le matricule n° 2808 - Engagé volontaire pour trois ans au titre du 17ème régiment d'infanterie, à compter du 26 novembre 1906 - En Tunisie du 20 juin au 20 novembre 1907 - Affecté au 111ème régiment d'infanterie, le 21 novembre 1907 - Affecté au 17ème régiment d'infanterie, le 12 janvier 1908 - En Tunisie du 17 janvier au 20 mai 1908 - Fin d'engagement, passage dans la réserve de l'armée d'active et retour à la vie civile, le 29 novembre 1909 - Profession avant guerre Artiste dramatique - Plusieurs condamnations à de la prison ferme pour escroquerie, tentative d'escroquerie et pour l'exercice du métier de souteneur avec abus de confiance entre 1911 et 1914 - Marié et domicilié au 27, rue Saint-James à Bordeaux (Gironde) - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 6 août 1914 - Affecté au 34ème régiment d'infanterie, à la même date - Nommé Caporal, le 13 décembre 1914 - Nommé Caporal fourrier, le 30 janvier 1915 - Croix de Guerre avec étoile de bronze et citation à l'ordre du 34ème régiment d'infanterie, le 30 mars 1915 - Nommé Sergent fourrier, le 3 janvier 1916 - Nommé Sergent, le 5 juin 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 18 juin 1917 - Brevet de pilote militaire n° 8139 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Ambérieu, le 22 août 1917 - Stage de perfectionnement "bombardement" à l'école d'aviation militaire d'Avord, jusqu'au 19 décembre 1917 - Lâché sur Breguet 14 A2, le 27 janvier 1918 - Pilote de l'escadrille BR 205 du 10 au 25 mars 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion à Combernon (Aisne), le 25 mars 1918 - Son corps a été entièrement carbonisé - Ses restes mortels ont été déposés à l'ambulance 3/69 de la Fère-en-Tardenois - Le Sol Georges Faÿs, mitrailleur, qui faisait équipage avec lui, a également perdu la vie - Il a été inhumé dans le cimetière communal de la Fère-en-Tardenois (Aisne), le 28 mars 1918 - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille BR 205 - Fiche Matricule du département de la Gironde - MpF - Dernière mise à jour : 5 décembre 2017.
Attention, le patronyme inscrit sur la croix est erroné, il s'agit bien de "Casallès", information confirmée par les bases de données "Pam" et "MpF" du site "Mémoire des Hommes" et sa fiche matricule archivée aux AD de la Gironde.

* Croix de Guerre avec étoile de bronze et citation à l'ordre du 34ème régiment d'infanterie, le 30 mars 1915 : "Pour avoir conduit d'une manière intelligente et exécuter avec audace, la patrouille du 23 février 1915."

Carré militaire du
cimetière de Blérancourt

Carré militaire du cimetière communal de Blérancourt - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Slt Gustave Audrain
59ème compagnie d'aérostiers

Slt Gustave Audrain - Né le 24 juin 1891 à Sierre (Suisse) - Affecté au 29ème régiment d'artillerie - Détaché à la 59ème compagnie d'aérostiers - Classe 1911 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 795 - Tué au cours d'une attaque aérienne du ballon qu'il occupait dans les environs de Blérancourdelle, le 12 avril 1918 - Gustave Audrain repose dans le cimetière communal de Blérancourt - Photo Mickaël Lepage que je remercie pour son aide - Sources : MpF - Dernière mise à jour : 9 novembre 2017.

Ltt Jean Ducruzel
Escadrille V 121

Tombe du Ltt Jean Louis Fernand Ducruzel - Né le 12 octobre 1885 à Brouzils (Vendée) - Fils d'Ernest Louis Eugène Ducruzel et de Césarine Rose Bougot - Domiciliés au 4, rue La Fontaine à la Roche-sur-Yon (Vendée) - Profession avant service militaire Etudiant en droit - Classe 1905 - Recrutement d'Angers (Maine-et-Loire) sous le matricule n° 403 - Service militaire au 135ème régiment d'infanterie, à compter du 6 octobre 1906 - Affecté au 118ème régiment d'infanterie caserné à Quimper, le 5 décembre 1906 - Nommé Caporal, le 16 juillet 1907 - Fin de service militaire et envoi dans la disponibilité, le 25 septembre 1908 - Domicilié au 31, rue Nationale aux Sables-d'Olonne, à compter du 7 juillet 1911 - A accompli une période d'exercice au 135ème régiment d'infanterie du 31 août au 22 septembre 1911 - Domicilié au 6, rue Donizetti à Paris 16ème, à compter du 1er mars 1913 - A accompli une période d'exercice au 135ème régiment d'infanterie du 5 au 21 novembre 1913 - Domicilié au 2, rue Emile Duchanel à Paris 16ème, à compter du 23 juin 1914 - Profession avant guerre Ingénieur - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale au 135ème régiment d'infanterie, le 4 août 1914 - Nommé Sergent, le 1er janvier 1915 - Citation à l'ordre de la 118ème brigade, en date du 20 mars 1915 - Nommé Adjudant, le 22 mars 1915 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 5 janvier 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 16 mai 1917 - Brevet de pilote militaire n° 7313 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 3 juillet 1917 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, du 8 juillet au 15 octobre 1917 - Pilote du GDE du 15 octobre 1917 au 25 février 1918 - Pilote de l'escadrille V 121 (GB 7) du 25 février au 13 avril 1918 - Evacué sur l'hôpital 41 de Creil du 15 au 25 novembre 1917 - A bénéficié de 20 jours de convalescence à sa sortie de l'hôpital - Tué au cours d'un accident d'avion sur le terrain d'aviation de Cramailles (Aisne) dans la nuit du 12 au 13 avril 1918 - Son corps a été déposé à l'ambulance 3/69 d'Oulchy-le-Château (Aisne) - Le Brig Jean Lagoutte (mitrailleur), qui faisait équipage avec lui, a été blessé - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 11 mai 1918 - Chevalier de la Légion d'honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 8 juillet 1922 - Jean Louis Ducruzel repose dans le carré militaire du cimetière communal de la Fère-en-Tardenois (Aisne) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - Fiche matricule du département du Maine-et-Loire - CCC de l'escadrille V 121 - JORF - MpF - dernière mise à jour : 5 décembre 2017.

* Citation à l'ordre de la 118ème brigade, en date du 20 mars 1915 : "A fait preuve d'énergie et d'entrain dans le commandement de sa demu-section soumise à un feu intense d'artillerie."

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Slt Jean Louis Fernand Ducruzel, détaché du 335ème régiment d'infanterie, pilote à l'escadrille BR 131, en date du 11 mai 1918 : "Officier de la plus haute valeur et pilote de tout premier ordre. Exemple d'allant, de courage et d'esprit de devoir. A trouvé une mort glorieuse au cours du deuxième bombardement qu'il exécutait dans la nuit du 13 avril 1918, malgré des circonstances atmosphériques défavorables."

* Chevalier de la Légion d'honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Ltt Jean Louis Fernand Ducruzel, pilote à l'escadrille BR 131, en date du 8 juillet 1922 : "Officier de la plus haute valeur et pilote de tout premier ordre, exemple d'allant, de courage et d'esprit de devoir. A trouvé une mort glorieuse au cours du deuxième bombardement qu'il exécutait dans la nuit du 12 avril 1918, malgré les circonstances atmosphériques défavorables. A été cité. "

Cal Charles Guillain
Escadrille BR 127

Tombe du Cal Charles Julien Guillain - Né le 26 mai 1886 à Mourmelon-le-Grand (Marne) - Fils de René Guillain et de Constance Amélie Leblanc - Classe 1906 - Recrutement de Châlons-sur-Marne (Marne) sous le matricule n° 299 - Engagé volontaire pour cinq ans au titre du 132ème régiment d'infanterie, le 7 août 1907 - Victime d'une entorse tibio-Tarsienne du pied droit en effectuant le mouvement "Franchir la barre" au cours d'une séance de Gymnastique, le 21 mars 1911 - Fin d'engagement et retour à la vie civile, le 7 août 1912 - Profession avant guerre Patissier - Domicilié au 43, rue Victor Hugo à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), à compter du 27 novembre 1912 - Domicilié au 47, Faubourg de Pierre à Mézières (Ardennes), à compter du 14 mai 1914 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 2 août 1914 - Affecté au 294ème régiment d'infanterie - Blessé au pied gauche par éclat d'obus, le 26 août 1914 - Blessé par balle à l'avant bras gauche, le 21 novembre 1914 - Affecté au 94ème régiment d'infanterie - Croix de guerre avec étoile d'argent et citation à l'ordre de la Division, en date du 15 juillet 1915 - Maintenu "service armé" mais déclaré inapte à l'infanterie pour plus de 6 mois pour gêne de la marche suite à une ancienne arthrite traumatique purulente du genou droit par la commission de réforme du camp de Coetquidan, le 19 juillet 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur, le 2 septembre 1916 - Breveté mitrailleur à l'école de tir aérien de Cazaux, le 29 septembre 1916 - Affecté à l'école d'aviation militaire d'Ambérieu du XXX au 5 janvier 1917 - Affecté au Groupe 199, le 29 avril 1917 - Affecté au groupe d'aviation de renfort du GAN, le 20 mai 1917 - Affecté à l'escadrille VC 113 (opérations spéciales) du 29 juin au 16 août 1917 - Mitrailleur de l'escadrille PS 127 / BR 127 du 16 août 1917 au 3 juin 1918 - Nommé Caporal, le 11 avril 1918 - Tué au cours d'une mission dans la région d'Oulchy-le-Château (Aisne), le 3 juin 1918 - Il faisait équipage avec le Slt Jacques Xambo (pilote) qui a également perdu la vie - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 26 novembre 1919 - Charles Guillian repose dans le cimetière communal de Villeneuve-sur-Fère - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide - Sources : Pam - CCC de l'escadrille VC 113 - CCC de l'escadrille BR 127 - Fiche Matricule du département de la Marne - JORF - MpF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 4 décembre 2017.

* Croix de Guerre avec étoile d'argent et citation à l'ordre de la Division, en date du 15 juillet 1915 : "A pris part à deux attaques successives dans la même journée comme volontaire."

* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Cal Charles Julien Guillain, mitrailleur à l'escadrille BR 127, en date du 26 novembre 1919 : "Mitrailleur de premier ordre, consciencieux, adroit et plein d'allant, ayant à maintes reprises fait preuve de grand sang-froid et de bravoure. Disparu au cours d'un combat en soutenant une lutte inégale contre dis-huit avions ennemis. Deux blessures. Mort glorieusement pour la France. A été cité."

MdL Jean Planiol
Escadrille SPA 68

Détail de la tombe du MdL Jean Planiol, pilote de l'escadrille SPA 68 du 27 septembre 1917 au 29 juin 1918 - Tué au cours d'un combat aérien dans les environs de Faverolles (Aisne), le 29 juin 1918 - Jean Planiol repose dans le cimetière communal de Faverolles (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

Tombe du MdL Jean Marcel François Planiol - Pilote de l'escadrille SPA 68 du 27 septembre 1917 au 29 juin 1918 - Tué au cours d'un combat aérien dans les environs de Faverolles (Aisne), le 29 juin 1918 - Jean Planiol repose dans le cimetière communal de Faverolles (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide.

MdL Jean Marcel François Planiol - Né le 2 octobre 1896 à Paris 6ème (75) - Fils de Marcel Fernand Planiol et de Madeleine Jean Claudel - Domiciliés au 56, rue d'Assas à Paris 6ème (75) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1916 - Recrutement du 3ème bureau de la Seine sous le matricule n° 1774 - A obtenu un sursis d'incorporation - Engagé pour la durée de la Guerre, au titre du 24ème régiment de Dragons, le 3 janvier 1915 - Nommé Brigadier, le 13 janvier 1916 - Passé l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 23 février 1917 - Brevet de pilote militaire n° 7026 obtenu à l'école d'aviation militaire de Tours, le 17 juin 1917 - Stage de perfectionnement l'école d'aviation militaire de Châteauroux - Stage de spécialisation à l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 29 août 1917 - Pilote du GDE du 29 août au 27 septembre 1917 - Pilote de l'escadrille N 68 / SPA 68 du 27 septembre 1917 au 29 juin 1918 - En mission du 1er au 6 novembre 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 18 décembre 1917 - Nommé Maréchal des Logis, le 1er janvier 1918 - En mission du 1er au 7 avril 1918 - En mission du 18 au 21 mai 1918 - Tué au cours d'un combat aérien dans les environs de Faverolles (Aisne), le 29 juin 1918 - Sources : Pam - CCC de l'escadrille N 68 / SPA 68 - Fiche matricule des archives départementales de Paris - MpF - JORF - Dernière mise jour : 8 octobre 2018.

Sgt Fernand Henninot
Escadrille V 116

Photo du carré militaire du cimetière communal de Moy de l'Aisne (Aisne) - Le Sgt Fernand Henninot, bombardier de l'escadrille V 116 du 28 septembre au 16 octobre 1917, y repose - Sa tombe est marquée d'une croix - Il a été tué au cours d'un accident d'avion, sur le terrain d'aviation de Montagne-Fayel (Aisne), le 18 juin 1918 - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Tombe du Sgt Fernand Henninot, bombardier de l'escadrille V 116 du 28 septembre au 16 octobre 1917 - Tué au cours d'un accident d'avion, sur le terrain d'aviation de Montagne-Fayel (Aisne), le 18 juin 1918 - Il repose dans le carré militaire du cimetière communal de Moy de l'Aisne (Aisne) - Photo Mickael Lepage que je remercie pour son aide.

Sgt Fernand Henninot - Né le 23 juillet 1887 à Maretz (Nord) - Fils de Léandre Henninot (cultivateur) et de Julia Charlotte Gosselin (cultivatrice) - Domiciliés en 1907 à Moy (Aisne) - Classe 1907 - Recrutement de St-Quentin (Aisne) sous le matricule n° 1852 - Appelé pour le service militaire, au titre du 128ème régiment d'infanterie, le 8 octobre 1908 - Nommé Caporal, le 16 octobre 1909 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 25 septembre 1910 - A effectué une période de réserve au 128ème régiment d'infanterie du 28 août au 19 septembre 1913 - Affecté, dans la réserve, au 148ème régiment d'infanterie, le 1er avril 1914 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 5 août 1914 - Nommé Sergent, le 21 décembre 1914 - Affecté au 418ème régiment d'infanterie (création d'unité), le 10 mars 1915 - Affecté au 84ème régiment d'infanterie, le 9 mars 1916 - Affecté au 33ème régiment d'infanterie, le 19 mars 1916 - Blessé au combat, le 6 septembre 1916 - Evacué sur l'hôpital d'évacuation n° 15 - Transféré sur l'hôpital auxiliaire n° 3 de Nogent-le-Retrou - Fin h'ospitalisation, le 12 octobre 1916 - Rentré au dépôt du 33ème RI et affecté à la 31ème compagnie, le 22 octobre 1916 - Stage d'instruction de mitrailleur au CIM du camp de la Courtine, le 22 janvier 1917 - Dirigé sur le groupement des militaires de la 46ème brigade d'Angoulême, le 8 mai 1917 - Pointeur / mitrailleur du GDE du 20 au 26 septembre 1917 - Bombardier / mitrailleur de l'escadrille V116 du 26 septembre 1917 au 18 juin 1918 - Détaché à Calais (Pas-de-Calais) du 28 septembre au 16 octobre 1917 - Croix de guerre et citation n° 9 à l'ordre de l'escadre n° 11, en date du 25 avril 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion, sur le terrain d'aviation de Montagne-Fayel (Aisne), le 18 juin 1918 - Il faisait équipage avec le Ltt Maurice Guérin (pilote) qui a également perdu la vie dans l'accident - Fernand Henninot repose dans le carré militaire du cimetière communal de Moy de l'Aisne (Aisne) - Sources : Registre des naissances de la commune de Maretz (Nord) - CCC de l'escadrille V 116 - Fiche matricule du département de l'Aisne - JORF - Bailey/Cony - Site Internet MémorialGenWeb - Dernière mise à jour : 13 octobre 2018.

* Croix de guerre et citation n° 9 à l'ordre de l'escadre n° 11, en date du 25 avril 1918 : "Blessé trois fois dans l'infanterie, passé dans l'aviation, s'est tout de suite fait remarquer par son courage, a exécuter 15 bombardements de nuit. "

* Citation à l'ordre de l'escadre n° 11, à titre posthume, en date du XXX : "Bombardier remarquable par son audace et son courage, accomplissant toujours avec la conscience la plus absolue toutes les missions qui lui ont été confiées. Mort glorieusement pour la France alors qu'il exécutait son 30ème bombardement. "

Slt Constant Plessis
Escadrille SPA 65

Tombe du Slt Constant Plessis, pilote de l'escadrille SPA 65 - Constant Plessis repose dans le cimetière de Saint-Quentin (Aisne) - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide.

Tombe du Slt Constant Emmanuel Plessis - Né le 11 novembre 1890 à Angers (Maine-et-Loire) - Fils d'Emmanuel François Plessis et de Radegonde Briant - Domiciliés à Chaville (Seine-et-Oise) - Classe 1910 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 4743 - Appelé pour effectuer son service militaire au titre du 18ème régiment de chasseurs à cheval, le 2 octobre 1911 - Marié avec Mlle Charlotte Limasset et domiciliés au 66, rue Vallier à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) - Profession avant guerre Cimentier - Domicilié au 23, rue Dagobert à Clichy (Hauts-de-Seine), à compter du 9 novembre 1913 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale au titre du 18ème régiment de chasseurs à cheval, le 1er août 1914 - Affecté au 7ème régiment de chasseurs à cheval - Nommé Brigadier, le 30 mai 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 14 août 1916 - Tests de sélection et cours théorique à l'école d'aviation militaire de Dijon - Brevet de pilote militaire n° 5030 obtenu à l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 13 décembre 1916 - Stage "Avions rapides" à l'école d'aviation militaire d'Avord - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux - Stage à l'école d'aviation militaire de Pau - Stage à l'école d'aviation militaire de Buc, jusqu'au 19 avril 1917 - Pilote du GDE du 19 avril au 6 mai 1917 - Convoyage d'un Nieuport depuis le GDE, le 2 mai 1917 - Pilote de l'escadrille N 88 / SPA 88 du 6 mai 1917 au 26 janvier 1918 - Nommé Sergent, le 25 juin 1917 - Blessé avec des contusions à la face et au genou, après un combat aérien, en atterrissant avec un avion criblé de balles et complétement désentoilé, le 27 juillet 1917 - En mission du 5 au 7 octobre 1917 - Nommé Adjudant, le 12 janvier 1918 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 26 janvier 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 65 du 4 février 1918 au 9 avril 1919 - En convalescence du 29 mars au 30 avril 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre et citation à l'ordre de l'armée, en date du 26 octobre 1918 - Profession après guerre Garagiste au 14, rue des Etats-Généraux à St-Quentin (Aisne) - Décédé à Bernes (Somme), le 1er juin 1930 - Constant Plessis repose dans le cimetière de Saint-Quentin (Aisne) - Photo Yves Castelain que je remercie pour son aide - Sources : Pam (2 fiches) - Site Internet Léonore - CCC de l'escadrille N 88 / SPA 88 - CCC de l'escadrille SPA 65 - Liste des brevets militaires - Extrait d'acte de décès - Dernière mise à jour : 20 décembre 2019.

* Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre et citation n° 10.872 à l'ordre de l'armée du Slt Constant Emmanuel Plessis, au 7ème régiment de Chasseurs, pilote à l'escadrille SPA 65, en date du 26 octobre 1918 : "Pilote remarquable. Officier d'élite. Depuis plus de deux ans dans l'aviation, s'est partout imposé, comme un superbe exemple d'audace, de bravoure et d'absolu mépris du danger. A volé 500 heures sur l'ennemi et a livré plus de 100 combats au cours desqules il a abattu un Drachen et 5 avions allemands, s'est particulièrement distingué au cours des dernières opérations, mitraillant à faible altitude des rassemblements ennemis et en faisant seul des reconnaissances lointaines qui ont permis de donner au commandement de précieux renseignements. Une blessure. Médaille militaire pour faits de guerre. Quatre citations."

Slt Georges Moro
Escadrille BR 210

Tombe actuelle du Slt Georges Moro - Observateur de l'escadrille 210 - Tué à Buzancy, le 30 octobre 1917 - Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Tombe actuelle du Slt Georges Moro - Observateur de l'escadrille 210 - Tué à Buzancy, le 30 octobre 1917. Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Détail de l'épitaphe de la Tombe actuelle du Slt Georges Moro, Observateur de l'escadrille 210 Tué à Buzancy, le 30 octobre 1917. Photo Serge Hoyet que je remercie pour son aide.

Sgt René Millioud
Escadrilles BM 119 et BR 120

Sgt Jean René Millioud - Né le 26 décembre 1895 au 59, faubourg de Montmélian à Chambéry (Savoie) - Fils de Louis Emile Millioud (employé au chemin de fer) et de Marie Adolphine Taborin - Profession avant guerre Ajusteur mécanicien - Classe 1915 - Recrutement de Chambéry (Savoie) sous le matricule n° 1995 - Mobilisé, au titre du 30ème régiment d'infanterie, caserné à Annecy (Savoie), le 15 décembre 1914 - Nommé Caporal, le 5 juillet 1915 - Blessé par balle à la cuisse gauche à Perthes (Haute-Marne), le 25 septembre 1915 - Citation n° 253 à l'ordre du 30ème régiment d'infanterie, en date du 3 août 1916 - Hospitalisé du 25 septembre 1915 au 25 septembre 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur - En formation sur avion Breguet-Michelin sur l'aérodrome d'Aulnat (Puy-de-Dôme), jusqu'au 5 février 1917 - Observateur / mitrailleur de l'escadrille BM 119 du 5 février au 4 septembre 1917 - Mitrailleur de l'escadrille BR 120 du 4 septembre 1917 au 9 juin 1918 - Citation n° 36 à l'ordre de l'armée, en date du 25 octobre 1917 - Nommé Sergent, le 20 février 1918 - Tué au cours d'une mission de bombardement, à bord d'un Breguet 14B2, le 9 juin 1918 - Il faisait équipage avec le MdL Boulanger (pilote) qui a également perdu la vie - Leur avion s'est écrasé au Sud de Belloy (Oise) - Deux Bréguet 14B2 de la BR 120 sont entrés en collision en plein vol, l'autre appareil était monté par l'équipage composé du MdL Ropartz (pilote) / Ltt Menaud (obs) - Les deux bombardiers ont été observés tombant en vrille - La mission consistait à engager en masse sur les rassemblements allemands dans la région d'Orvillers et de Cuvilly - Les forces d'un régiment massé dans le village de Cuvilly ont été dispersées - Elle rassemblait 77 Breguet 14B2, mais seuls 71 ont largués leurs bombes, pour un poids total de 15 tonnes - Citation n° 7852 à l'ordre du corps d'armée, en date du 13 juin 1918 - Médaille militaire et citation à l'ordre du 30ème régiment d'infanterie, à titre posthume, en date du 15 mai 1924 - René Millioud repose dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 438) de la ville de Chambéry (Savoie) - CCC de l'escadrille BM 119 - CCC de l'escadrille BR 120 - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Savoie - JMO de la 1ère division aérienne - MpF - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 9 décembre 2022.

* Citation n° 253 à l'ordre du 30ème régiment d'infanterie du Cal Jean Millioud, en date du 3 août 1916 : "Chef d'une patrouille chargée de reconnaitre l'emplacement d'une mitrailleuse, qui par suite de son tir de place, génait la progression de sa compagnie, a mis en fuite les servants de la pièce et a été blessé au cours de sa mission."

* Croix de Guerre et citation n° 36 à l'ordre de l'armée du Cal Jean Millioud, mitrailleur à l'escadrille BR 120 (GB 5), en date du 25 octobre 1917 : "Observateur hors de pair. Ayant eu son pilote blessé au cours d'un combat, pendant un bombardement éloigné, a continué à se défendre avec énergie, permettant ainsi à son pilote de rentrer dans nos lignes."

* Citation n° 7852 à l'ordre du corps d'armée du Sgt Jean Millioud, mitrailleur à l'escadrille BR 120, en date du 13 juin 1918 : "Mitrailleur bombardier d'une bravoure et d'un sang-froid remarquables. Tireur de premier ordre, a soutenu de nombreux combats souvent très durs lors de bombardements lointains et à basse altitude. Une blessure et deux citations."

* Médaille militaire et citation à l'ordre du 30ème régiment d'infanterie, à titre posthume, du Sgt Jean René Billioud, mitrailleur à l'escadrille BR 120, en date du 15 mai 1924 : "Sous-officier énergique et brave, ayant toujours donné le plus bel exemple à ses hommes. Glorieusement tombé pour la France, le 9 juin 1918, au cours d'un combat aérien livré dans la région de Belloy. Croix de guerre avec étoile d'argent."

Sol Alexandre Recourse
Parc n° 8

Sol Alexandre Marc Recoursé - Né le 17 février 1874 à Saint-Vran (Côtes-d'Armor) - Fils de Jean Recoursé (laboureur) et de Jeanne Marie Moulin (ménagère) - Profession avant guerre Laboureur - Classe 1894 - Recrutement de St-Brieuc (Côtes-d'Armor) sous le matricule n° 2056 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 71ème régiment d'infanterie, le 12 novembre 1896 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 18 septembre 1897 - Passé dans la réserve, le 1er novembre 1898 - A effectué une période d'exercices au 71ème régiment d'infanterie du 26 août au 22 septembre 1901 - Marié avec Mlle Céline Marie Françoise Moisiard à la mairie de Saint-Vran (Côtes-d'Armor), le 3 juillet 1904 - A effectué une période d'exercices au 71ème régiment d'infanterie du 6 octobre au 2 novembre 1904 - Domicilié à Laureman (Côtes-d'Armor), à compter du 27 août 1907 - Passé dans l'armée territoriale, le 1er octobre 1908 - A effectué une période d'exercices du 74ème régiment d'infanterie territorial du 2 au 10 juin 1910 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, au titre du 74ème régiment d'infanterie territorial, le 14 août 1914 - Affecté au 80ème régiment d'infanterie, le 14 novembre 1916 - Affecté au Parc n° 8, le 8 décembre 1917 - Le Parc n° 8 était affecté à la 1ère armée - Décédé des suites d'un accident en service commandé à l'ambulance 7/13 à Hattencourt (Somme), le 9 novembre 1918 - Alexandre Recourse repose dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 7) de la commune de Saint-Vran (Côtes-d'Armor) - Fiche matricule conservée aux archives départementales des Côtes-d'Armor - MpF - Dernière mise à jour : 8 décembre 2022.

Sol Antoine Garrabos
28ème compagnie d'aérostation

Sol Antoine Garrabos - Né le 13 août 1872 à Lugaut (Landes) - Fils de Jean Garrabos (tailleur d'habits) et de Marie Manbaret - Domiciliés à Roquefort (Landes) - Classe 1892 - Recrutement de Mont-de-Marsan (Landes) sous le matricule n° 144 - Ajourné de service militaire pour faiblesse en 1893 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 158ème régiment d'infanterie, le 13 novembre 1894 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 22 septembre 1896 - Domicilié au 76, rue de Vertbois à Paris, à compter du 23 septembre 1896 - Passé dans la réserve, le 1er novembre 1896 - Domicilié au 20, rue Oberkampf à Paris, à compter du 19 avril 1898 - A accompli une période d'exercices au 34ème régiment d'infanterie du 20 septembre au 17 octobre 1899 - A accompli une période d'exercices au 34ème régiment d'infanterie du 22 septembre au 19 octobre 1902 - Passé à l'armée territoriale, le 1er octobre 1906 - A accompli une période d'exercices au 141ème régiment d'infanterie du 28 juillet au 5 août 1909 - Domicilié au 40, rue Marc Séguin à Paris, à compter du 1er août 1914 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale au titre du 141ème régiment d'infanterie territorial, le 28 novembre 1914 - Domicilié au 69, rue du château des Rentiers à Paris, à compterd du 11 avril 1915 - Affecté au 1er groupe d'aérostation à St-Cyr (Yvelines), le 11 août 1915 - Formation à la compagnie de dépôt du 11 août au 25 septembre 1915 - Affecté à la 28ème compagnie d'aérostiers du 25 septembre 1915 au 6 décembre 1917 - Placé en observation à l'ambulance 2/21 du 6 au 9 juillet 1916 - Dirigé vers l'hôpital d'évacuation de Vesoul (Haute-Saône) du 28 janvier au 25 mars 1917 - Détaché à la 49ème compagnie d'aérostiers du 1er au 20 juin 1917 - Evacué sur l'HOE de Soissons (Aisne), le 6 juillet 1917 - Rentré à l'unité, après permission, le 1er octobre 1917 - Evacué sur l'HOE n° 7 d'Ham, le 30 novembre 1917 - Décédé des suites d'une maladie contactée en service à l'hôpital d'évacuation n° 7 de Ham (Somme), le 6 décembre 1917 - Antoine Garrabos repose dans la nécropole nationale d'Attencourt (Aisne) - Photo Claude Dannau que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 26) de la commune de Lugaut (Landes) - Fiche matricule conservée aux archives départementales des Landes - CCC de la 28ème compagnie d'aérostiers - MpF - Dernière mise à jour : 9 décembre 2022.

 

Remerciements à :

- M. Serge Hoyet pour l'envoi des photos prises dans le département de l'Aisne.
- M. Guy Capdevila pour l'envoi des photos prises dans le département de l'Aisne.
- M. Michel Chevalier pour l'envoi des photos prises dans le département de l'Aisne.
- M. Arnaud Héry du site "Arnaud Mémorial" pour l'envoi des photos.
- M. Gilles Deschamps pour l'envoi de ses photos prises dans le département de l'Aisne.
- M. Didier Mahu pour les photos des tombes de Louis Duchemin et de la famille Lefèvre.
- M. Claude Dannau pour ses photos des tombes des aviateurs reposant dans les cimetière de l'Aisne.
- M. Régis Godderidge pour l'envoi du monument de la forêt d'Orainville.
- M. Frédéric Pillet pour l'envoi des photos de la tombe du Ltt Henri Balasse.
- M. Yves Castelain pour l'envoi des tombes d'aviateurs reposant dans les cimetières du département de l'Aisne.
- M. Gaspard pour l'envoi des photos de la tombe des aviateurs Richet et Lods.
- M. Ludovic Spy pour l'envoi de ses photos de la tombe du Slt Paul de Larminat.
- M. Mickaël Lepage pour l'envoi des photos des tombes d'aviateurs du département de l'Aisne.
- M. Sébastien Gauchet pour l'envoi de la photo de la tombe du MdL Hervé Chambrun d'Uxeloup de Rosemont.

Bibliographie :

- L'Aviation Maritime Française pendant la Grande Guerre - par Morareau - Feuilloy - Courtinat - Le Roy - Rossignol - publié par l'ARDHAN en 1999 - Voir ce lien
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien
- Site Internet " Pages 14-18 " de Joël Huret.

Si vous connaissez des monuments ou des tombes en rapport avec l'aviation militaire française de la période 1910 à 1920, veuillez contacter l'auteur du site.

Ain 01 Allier 03

 

 

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