Photo du Cne Henri Constans de Saint-Sauveur
Cne Henri Marie Saturnin Constans de Saint-Sauveur - Né le 8 septembre 1887 à St-Sauveur Gaillac (Tarn) - Classe 1907 - Recrutement de la Seine sous le matricule n° 291 - Entré en service, le XX septembre 1907 - Marié et domicilié au 91, rue de Courcelles à Paris (75) - Profession avant guerre Rentier - Affecté au 19ème régiment de Dragons - Brevet de pilote civil n° 1825 délivré par l'Aéroclub de France et délivré sur Maurice Farman, le 1er avril 1915 - Brevet de pilote militaire n° 814 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 16 avril 1915 - Pilote de la RGA du XXX au 10 mai 1915 - Pilote de l'escadrille F 54 du 10 mai 1915 au 23 juin 1917 - Victime d'un accident aérien, pendant un vol de nuit, le 18 mai 1916 - Hospitalisé du 18 au 28 mai 1916 - Titularisé dans l'armé active, le 5 octobre 1916 - Détaché au GDE du 27 novembre au 21 décembre 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 12 décembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 38 du 23 juin 1917 au 18 juillet 1917 - Pilote de l'escadrille N 94 du 18 juillet 1917 au 10 novembre 1917 - Pilote détaché à l'escadrille N 150 du 10 novembre 1917 au 20 décembre 1917 - Commandant de l'escadrille SPA 157 du 20 décembre 1917 au 15 février 1919 - En mission, le 20 avril 1918 - En mission du 22 avril au 3 mai 1918 - Nommé Capitaine, à titre temporaire, le 16 mai 1918 - Affecté au DMA 2, le 15 février 1919 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 25 décembre 1922 - Nommé Commandant en 1939 - Sources : Pam - Revue l'Aérophile - CCC escadrille F 54 - CCC escadrille N 94 - CCC escadrille N 150 - CCC escadrille N 157 / SPA 157 - JORF - Dernière mise à jour : 19 novembre 2016.
* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Henri Marie Saturnin Constans de Saint-Sauveur, pilote à l'escadrille F 54, en date du 12 décembre 1916 : "Le 4 septembre 1916, n'a pas hésité à survoler à moins de 400 mètres les lignes ennemies par un vent d'Ouest d'extrême violence. A reçu plusieurs balles dans son appareil. A cependant réussi à maintenir une liaison constante entre l'infanterie et le commandement. Le 6 septembre, a suivi la ligne d'infanterie pendant l'attaque. A survolé les lignes ennemies à moins de trois cents mètres, ramenant sa mission terminée, son appareil atteint de plusieurs balles. Le 7 septembre, a assuré la surveillance du champ de bataille à moins de cinq cents mètres pendant l'attaque du corps voisin. Fait preuve, depuis le début de la campagne, des plus belles qualités militaires. A fait, comme observateur, en fin 1914 et début 1915, des reconnaissances à longue distance dans des conditions particulièrement difficiles. A donné le plus bel exemple de courage d'énergie et d'endurance depuis son arrivée comme pilote à l'escadrille 54, demandant toujours à accomplir les missions périlleuses et difficiles. Sérieusement contusionné dans un accident au cours d'un vol de nuit, en mai 1916."
Photo de l'Adj René Bois
Adj René Gaston Bois - Né le 25 octobre 1893 à St-Ciers-sur-Bonnieure (Charente) - Fils de Louis Aristide Bois et de Françoise Suraud - Domiciliés à Vars (Charente) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1913 - Recrutement d’Angoulême sous le matricule n° 529 - Service militaire au 15ème régiment de Dragons, à compter du 20 octobre 1913 - Nommé Brigadier, le 5 janvier 1916 - Passé à l’aéronautique militaire comme élève pilote, le 16 septembre 1916 - Brevet de pilote militaire n° 5059 obtenu à l’école d’aviation militaire d’Etampes, le 18 décembre 1916 - Stage de perfectionnement à l’école d’aviation militaire d’Avord - Stage de spécialisation à l’école d’aviation militaire de Pau, jusqu’au 19 avril 1917 - Pilote du GDE du 19 avril au 3 mai 1917 - Pilote de l’escadrille N 88 du 6 au 21 mai 1917 - Pilote de l’escadrille N 95 du 21 mai au 21 septembre 1917 - Blessé au cours d’un combat aérien, le 3 juillet 1917 - Nommé Maréchal des Logis, le 12 août 1917 - Une victoire homologuée, en coopération avec le Cal Stehlin contre un biplace abattu en flammes dans les environs de Laffaux-Allemant (Aisne), le 8 septembre 1917 - Croix de guerre et citation à l’ordre de l’armée en date du 25 septembre 1917 - Hospitalisé, le 20 septembre 1917 - Rentré de convalescence, le 9 mars 1918 - Pilote du GDE du 9 mars au 12 mai 1918 - Lâché sur SPAD VII, le 5 janvier 1918 - Lâché sur SPAD XIII, le 24 mars 1918 - Stage de tir, le 24 avril 1918 - Pilote de l’escadrille SPA 157 du 12 mai au 6 novembre 1918 - En mission, les 6 et 7 juin 1918 - Nommé Adjudant, le 20 août 1918 - Une victoire homologuée, en coopération avec le Cal Teyssonneau de la SPA 157 et l’Adj Vanier de la SPA 57 contre un biplace abattu en flammes, au Nord de Châlons-en-Champagne, le 15 août 1918 - Citation à l’ordre de l’armée, en date du 3 septembre 1918 - Pilote de l’escadrille SPA 175 du 6 novembre 1918 au 16 février 1919 - En mission à Habay-la-Neuve (Belgique) du 23 au 26 novembre 1918 - Affecté au dépôt des matériels d’aviation n° 2, le 16 février 1919 - Démobilisé, le 23 août 1919 - Profession après guerre pilote aviateur - Affecté, dans la réserve, au 32ème régiment d’aviation, le 1er août 1920 - Médaille Militaire et citation à l’ordre de l’armée, en date du 1er décembre 1922 - Affecté, dans la réserve, au 3ème régiment d’aviation, le 18 juillet 1924 - Affecté, dans la réserve, au 5ème groupe d’ouvriers d’aéronautique, le 22 janvier 1926 - A effectué une période d’exercices au 5ème groupe d’ouvriers d’aéronautique du 10 au 24 avril 1930 - A effectué une période d’exercices à l’école pratique d’aviation d’Avord du 16 au 30 novembre 1931 - Domicilié au 50, route de Flandre au Blanc-Mesnil (Seine-et-Oise), à compter du 11 mai 1932 - A effectué une période d’exercices à l’école pratique d’aviation d’Avord du 17 au 31 octobre 1932 - Affecté au 5ème bataillon de l’air, le 1 er août 1933 - A effectué une période d’exercices à l’école pratique d’aviation d’Avord du 28 août au 2 septembre 1933 - Affecté, dans la réserve, à la 11ème compagnie de l’air, le 24 avril 1935 - Domicilié Hôtel de France à Béthune, à compter du 26 juillet 1935 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne d’Etampes, le 20 novembre 1936 - Domicilié Hôtel de France, rue Victor Hugo à Châteauroux, à compter du 7 janvier 1937 - Domicilié au 2, rue Montesquieu à Limoges, à compter du 13 septembre 1938 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne de Limoges, le 25 janvier 1939 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, le 3 septembre 1939 - Rappelé à l’activité et affecté à l’école de pilotage n° 32, le 2 novembre 1939 - Administré par le bataillon de l’air 127 à compter du 23 novembre 1939 - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l’escadrille N 88 - CCC de l’escadrille N 95 - CCC de l’escadrille SPA 157 - CCC de l’escadrille SPA 175 - Fiche matricule du département de la Charente - Dernière mise à jour : 25 juin 2017.
* Croix de guerre et citation n° 510 à l’ordre de l’armée, en date du 25 septembre 1917 : "Pilote adroit et courageux, a livré de nombreux combats. Le 8 septembre 1917, a attaqué à deux reprises différentes un avion ennemi qui est tombé en flammes dans ses lignes."
* Citation à l’ordre de l’armée, en date du 3 septembre 1918 : "Pilote énergique et audacieux. Le 15 août 1918, a abattu en flammes un avion ennemi."
Photo du Cal Roger Aventurier
Cal Roger Henri Joseph Aventurier - Né le 9 juin 1898 à Teil (Ardèche) - Fils de Jean Pierre Aventurier (employé au chemins de fer) et de Victoire Gaillard (ménagère) - Domiciliés au 2, rue Spinoza à Nîmes - Profession avant guerre Mécanicien - Classe 1917 - Recrutement de Nîmes sous le n° matricule 129 - Mobilisé au 2ème groupe d'aviation de Lyon-Bron comme mécanicien, le 27 novembre 1916 - Formation aéronautique et affectation à Lyon-Bron jusqu'au 19 novembre 1917 - Mécanicien de l'escadrille N 157 du 20 au 26 décembre 1917 - 1er Mécanicien de l'escadrille N 150 du 26 décembre 1917 au 8 juillet 1918 - (un 1er mécanicien est affecté à un pilote et à en charge son avion) - Affecté au 1er groupe d'aviation de Dijon-Longvic comme élève pilote, le 8 juillet 1918 - Brevet de pilote militaire n° 17.201 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Istres, le 23 novembre 1918 - Domicilié au 2, rue Spinoza à Nimes (Var) - Nommé Commis expéditionnaire du ministère des Finances, le 3 septembre 1920 - Nommé Expéditionnaire de 4ème classe de l'administration centrale des finances, le 18 décembre 1920 - Marié avec Mlle Marie Barre à Paris (75), le 28 novembre 1931 - Décédé à Monaco, le 24 janvier 1976 - Sources : Registre des naissances de la commune du Teil (Ardèche) - Pam - Liste des brevets militaires - JORF - Dernière mise à jour : 28 octobre 2018.
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Adj Charles Froissart, pilote de l'escadrille SPA 157 du 16 avril 1918 au 25 février 1919 - Son SPAD VII est baptisé "Ma Reine" du prénom d'une infirmière qui deviendra sa femme, le 10 juin 1919 - Le haut de l'insigne de la SPA 157 est visible sur le fuselage - Photo Charles Froissart, transmise par René Lemaire par l'intermédiaire de Michel baron que je remercie tous les deux pour leur aide.
Slt Charles Jean Pierre Froissart - Né le 1er janvier 1896 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) - Fils d'Anatole Froissart et d'Adrienne François Lerique - Domiciliés au 36, rue Voltaire à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) - Profession avant engagement Etudiant des Arts et Métiers - Classe 1916 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 630 - Engagé pour quatre ans au titre du 3ème régiment de Génie, à compter du 25 août 1914 - Sapeur-mineur et affecté à la 3ème compagnie de la section de projecteurs, le 5 septembre 1914 - Croix de guerre et citation à l'ordre du régiment en septembre 1915 - Affecté au 5ème régiment d'artillerie à pied, le 4 septembre 1916 - Affecté au poste fixe de DCA n° 53 du 62ème régiment d'artillerie de campagne, le 1er octobre 1916 - Blessé au bras gauche par éclat d'obus au réduit d'Avaucourt (Verdun) - Nommé Brigadier, le 20 décembre 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 28 février 1917 - Sélection et cours théorique à l'école d'aviation militaire de Dijon, le 28 février 1917 - Cours élémentaires de pilotage à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, le 6 mars 1917 - Brevet de pilote militaire n° 6315 obtenu à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, le 10 mai 1917 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord, le 23 mai 1917 - Brevet de pilote civil délivré par l'Aéroclub de France, le 12 juin 1917 - Stage à l'école de perfectionnement de Pau du 24 juin au 9 juillet 1917 - Parti au 2ème groupe d'aviation à Lyon, le 9 juillet 1917 - Pilote de l'escadrille 508 d'Orient du 15 août au 16 décembre 1917 - Nommé Maréchal des logis, le 25 octobre 1917 - Evacué pour paludisme, le 16 décembre 1917 - Après rapatriement et convalescence, rejoint le dépôt du 3ème groupe d'aviation, le 10 février 1918 - Pilote du GDE du 18 mars au 15 avril 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 157 du 15 avril 1918 au 25 février 1919 - Une victoire homologuée, en compagnie du Sgt Gatineau, contre un avion abattu dans les environs de Bouleuses, le 31 mai 1918 - Une victoire homologuée, en compagnie du Sgt Gatineau, contre un Drachen abattu dans les environs de Jonchery, le 31 mai 1918 - Une victoire homologuée, en compagnie de l'Adj Viguier, contre un avion, le 15 juillet 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 26 juillet 1918 - Nommé Adjudant, le 1er août 1918 - Détaché à la RGA du Bourget-Dugny pour effectuer un convoyage avion du 2 au 5 septembre 1918 - Nommé Sous-lieutenant, le 3 octobre 1918 - Dirigé sur le centre d'instruction de l'aviation de chasse et de bombardement de Perthes (CIACB), le 14 février 1919 - Pilote de l'escadrille SPA 94, le 1er avril 1919 - Affecté au DMA 2, le 11 avril 1919 - Marié avec Reine Georgette Augustine Flanet, le 10 juin 1919 - Fait mouvement pour Weilbach (Allemagne), le 19 juillet 1919 - Fait mouvement sur Thionville-Basse-Yutz (Moselle), le 6 décembre 1919 - Affecté au 1er régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz (Moselle), le 1er janvier 1920 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre définitif, le 25 juillet 1920 - Démobilisé, le 18 novembre 1920 - Affecté, dans la réserve, au 1er régiment d'aviation de chasse, le 10 septembre 1921 - Passé à l'arme de l'aéronautique, le 20 juin 1923 - Affecté au 38ème régiment d'aviation (changement d'appellation du 1er RAC) de Thionville-Basse-Yutz, le 1er janvier 1924 - Nommé Lieutenant de réserve, le 25 juillet 1924 - Légèrement blessé au cours d'un accident aérien, pendant une exhibition sur le champ de courses d'Enghein, aux commandes d'un SPAD 120 HP qui s'écrase dans un champ, le 3 juillet 1927 - En 1927, 1929 et 1930 participe à des meetings aériens donnés au profit des écoles - Chevalier de la Légion d'Honneur, le 2 janvier 1828 - Participe à un meeting aérien à Laval, le 7 juillet 1929 -
Participe à un meeting aérien de l’Aéroclub club Vauclusien en 1929 - Nommé Capitaine de réserve, le 25 décembre 1932 - Participe à un meeting aérien de l’Aéroclub club Vauclusien en 1934 - Marié avec Jeanne Fernande Capdeville à Marmande, le 1er août 1937 - Admis à servir en situation d'activité et affecté à la 5ème escadre de chasse, le 1er août 1937 - Affecté au GAR 561, le 12 juin 1939 - Nommé Commandant en second du GAR I/561, le 1er octobre 1939 - Le GAR 561 devient le GC II/10, le 1er janvier 1940 - Renvoyé dans ses foyers, le 19 août 1940 - Officier de la Légion d'Honneur, le 25 décembre 1940 - Nommé Commandant de réserve, le 1er janvier 1941 - Participe aux mouvements de résistance dans la région de Marmande de 1940 à 1944 - Rappelé sous les drapeaux et affecté
à l’état-major de la 3ème Région aérienne à Bordeaux, le 1er avril 1945 - Démobilisé, le 27 juillet 1946 - Premier pilote instructeur de l'Aéroclub de Marmande en juillet 1946 - Deviendra ensuite le président de l'Aéroclub de Marmande où il a formé plus de 50 pilotes - Nommé Lieutenant-colonel de réserve, le 1er janvier 1950 - Rayé des cadres, le 1er janvier 1957 - Participe au RSA de Saintes aux commandes d'un Jodel 112 de Marmande - Décédé, le 8 novembre 1978 - Sources : Etats des services militaires - Pam - Archives familiales - JORF - Dernière mise à jour : 17 novembre 2016.
* Citation à l'ordre de l'armée du MdL Charles Jean Pierre Froissart du 62ème régiment d'artillerie de campagne, détaché à l'escadrille SPA 157, en date du 26 juillet 1918 : "Le 15 juillet 1918, au cours d'une patrouille, a dégagé un de ses camarades vigoureusement attaqué par une patrouille d'avions ennemis; a abattu l'un d'entre eux, remportant ainsi sa troisième victoire."
* Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Charles Jean Pierre Froissart du 38ème régiment d'aviation, en date du 2 janvier 1828 : "12 ans de service, 5 de campagnes, A été blessé et cité. A accompli trois périodes d'entrainement aérien volontaires et effectué régulièrement des vols comme pilote civil."
Photo du Cal Robert Simon
Cal Robert Léon Alfred Simon - Né le 8 mai 1899 à Paris 17ème (75) - Fils de Marc Simon et de Marcelle Robert - Domiciliés au 10 bis rue Descombes à Paris 17ème (75) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1919 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 138 - Engagé au 95ème régiment d'infanterie, le 16 juin 1916 - Affecté au 37ème régiment d'artillerie de campagne - Affecté au 6ème régiment d'artillerie de campagne - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 25 septembre 1917 - Brevet de pilote militaire n° 11.436 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Istres, le 10 février 1918 - Nommé Caporal, le 25 février 1918 - Stage de perfectionnement "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 11 juillet 1918 - Lâché sur SPAD VII, le 17 août 1918 - Stage du CIACB du 27 août au 1er octobre 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 157 du 1er au 19 octobre 1918 - Tué au cours d'un combat aérien, aux commandes d'un SPAD VII, dans les environs de Vandy (Ardennes), le 19 octobre 1918 - Robert Simon repose dans le cimetière Montparnasse de Paris (75) - Sources : Pam - CCC Escadrille SPA 157 - Liste des brevets militaires - MpF - Dernière mise à jour : 13 mars 2016.
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