Menu
Cliquez sur la bande titre pour revenir sur le menu

Si vous avez des documents écrits ou photographiques pouvant corriger ou compléter les données de cette page, veuillez contacter l'auteur du site.

Insignes collectifs
de l'escadrille VR 200

 

 

 

Symbolique

 

 

Historique succinct

 

 

Insignes individuels
de l'escadrille VR 200

 

 

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille VR 200

 

 

 

Appellations successives

Lieux de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Rattachements de l'escadrille

 

Batailles et missions importantes
de l'escadrille VR 200

 

 

Commandants de l'escadrille

 

Décorations

 

 

Personnel de l'escadrille VR 200

A venir

Types d'avions utilisés

 

 

Numéros des avions connus


 

Morts: en rouge / Blessés et indemnes : en jaune

 

 

 

Les hommes

Photo de l'Adj Georges Viard

Slt Georges Auguste Viard - Né le 23 mars 1893 à Bétoncourt-les-Ménétriers (Haute-Saône) - Fils de Jules Albert Viard et de Marie Anne Célestine Mignot - Domiciliés à Bétoncourt-les-Ménétriers - Profession avant guerre Cultivateur - Classe 1913 - Recrutement de Vesoul sous le matricule n° 471 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 18ème régiment de Dragons, le 27 novembre 1913 - Nommé Dragon de 1ère classe, le 1er décembre 1914 - Détaché au 1er groupe d'aviation de Dijon, le 13 février 1916 - Brevet de pilote militaire n° 3933 obtenu, le 15 juillet 1916 - Stages de perfectionnement et de spécialisation du 16 juillet au 1er octobre 1916 - Pilote de l'escadrille V 110 / F 110 du 1er octobre 1916 au 17 août 1918 - Citation n° 884 à l'ordre de la 4ème armée en 1917 - Nommé Maréchal des Logis, le 25 août 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 27 mars 1918 - Nommé Adjudant, le 25 juin 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 11 août 1918 - Affecté au CIACB de Perthes, à compter du 17 août 1918 - En subsistance à l'escadrille 200 à compter du 17 octobre 1918 - Participe à d'une mission spéciale avec l'escadrille 200, le 21 octobre 1918 - Elle consiste, avec 5 Voisin-Renault, à déposer deux agents, par avion, derrière les lignes allemandes - Ceux-ci sont chargés de couper les voies ferrées de la vallée de la Meuse, dans le nord des Ardennes, notamment le tunnel de Laifour et de couper la navigation sur la Meuse, en détruisant les écluses - Posés dans les environs de Bourseigne-Neuve, l'équipage, composé du Slt Lucien Emrich, du Cne Evrard et de Léon Leblanc, est surpris par les Allemands - Plusieurs coups de feu sont échangés et l'avion, touché au réservoir, ne peut plus repartir - Le pilote met le feu à son Voisin et rejoint ses deux camarades - Trois autres Voisin-Peugeot ont faits demi-tour sur panne et le 4ème s'est posé, lui aussi en panne, en territoire ennemi - Ses trois membres d'équipage, composés des Adj Auguste Viard, MdL Emile Pathé et Cal Joseph Lange) ont réussi à échapper à l'ennemi, ont tenté de rejoindre le premier équipage, en vain et ont réussi à regagner les lignes - Leur disparition sur le front a fait l'objet d'une demande auprès des Allemands, par l'intermédiaire du CICR à Genève - Comme les Allemands n'avaient pas mis la main sur eux, cette demande n'a pas été jusqu'à son terme - Rentré de mission, le 17 novembre 1918 - Médaille militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 16 novembre 1918 - Croix de guerre avec trois palmes de bronze - Médaille interalliée - Médaille commémorative de la Grande Guerre - Mission en Pologne du 14 avril 1919 au 29 août 1920 - Rengagé pour un an, au titre du 14ème régiment de Hussards, le 22 septembre 1919 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 26 septembre 1919 - Nomination au grade de sous-lieutenant annulé, le 29 décembre 1919 - Affecté au 4ème régiment d'aviation, le 15 janvier 1920 - Rengagé pour deux ans, à compter du 23 septembre 1920 - Affecté au 34ème régiment d'aviation, le 1er octobre 1920 - Rengagé pour deux ans, à compter du 23 septembre 1922 - Affecté à la 10ème compagnie du 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique, le 15 juin 1925 - Nommé Sous-lieutenant, le 18 juillet 1924 - Mis à la disposition du sous-secrétariat d'état de l'aéronautique et des transports aériens, le 23 juillet 1924 - Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 10 juillet 1926 - Certificat de capacité à la conduite des voitures automobiles de tourisme en 1928 - Nommé Capitaine, le 25 septembre 1933 - Affecté au 38ème régiment d'aviation de Thionville, le 1er décembre 1933 - N'a pas rejoint - Affecté à la 21ème escadre d'aviation lourde de défense, le 15 janvier 1934 - Nommé Commandant - Médaille de l'aéronautique, le 11 juin 1973 - Sources : Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Haute-Saône - CCC de l'escadrille V 110 / F 110 - CCC de l'escadrille 200 - JORF - LO non communicable - CICR - Revue Les Ailes - Dernière mise à jour : 9 février 2021.

* Citation n° 884 à l'ordre de la 4ème armée en 1917 : "Pilote plein d'allant et de courage, s'est particulièrement distingué dans la nuit du 29 avril 1917, sur un Voisin canon, il a attaqué un bimoteur ennemi, fortement armé et a été contraint à la suite du combat, d'atterrir en campagne avec des avaries à son appareil et à son moteur."

* Citation à l'ordre de l'armée du MdL Georges Viard au 18ème régiment de dragons, pilote à l'escadrille V 110 (escadre n° 11), en date du 27 mars 1918 : "Excellent pilote, d'un allant exceptionnel. S'est particulièrement distingué, les 4 et 5 septembre 1917, en exécutant cinq bombardements en deux nuits et, récemment en effectuant deux bombardements sur des objectifs éloignés."

* Citation à l'ordre de l'armée du MdL Georges Viard au 18ème régiment de dragons, pilote à l'escadrille V 110 (escadre n° 11), en date du 11 août 1918 : "Pilote d'une modestie, d'un courage et d'une conscience exemplaires. A exécuté depyis sa dernière citations, 54 bombardements de nuit, obtenant les meilleurs résultats, notamment le 21 avril, les 16 et 30 mai incendiant les objectifs visés, grâce à la précision de son tir."

* Médaille militaire et citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Georges Viard, pilote à l'escadrille V 110, en date du 16 novembre 1918 : "Très bon pilote, des plus consciencieux, après avoir fait de 90 bombardements, a demandé à exécuter le transport dangeureux dans les lignes ennemies, d'un détachement d'une mission de destruction. Obligé d-atterrir brusquement dans les lignes adverses avec l'équipe transportée, est demeuré avec elle, tentant de rejoindre le chef de l'expédition et a ainsi séjourné 19 jours dans les lignes ennemies, surmontant tous les dangers et toutes les privations."

 

Photo du MdL Emile Pathé

MdL Emile Pathé - Né en 1891 - Classe 1911 - Observateur de la 16ème compagnie - Détaché à l'escadrille 200, le 1er octobre 1918 - En subsistance du 1er au 22 octobre 1918 - Participe à d'une mission spéciale avec l'escadrille 200, le 21 octobre 1918 - Elle consiste, avec 5 Voisin-Renault, à déposer deux agents, par avion, derrière les lignes allemandes - Ceux-ci sont chargés de couper les voies ferrées de la vallée de la Meuse, dans le nord des Ardennes, notamment le tunnel de Laifour et de couper la navigation sur la Meuse, en détruisant les écluses - Posés dans les environs de Bourseigne-Neuve, l'équipage, composé du Slt Lucien Emrich, du Cne Evrard et de Léon Leblanc, est surpris par les Allemands - Plusieurs coups de feu sont échangés et l'avion, touché au réservoir, ne peut plus repartir - Le pilote met le feu à son Voisin et rejoint ses deux camarades - Trois autres Voisin-Peugeot ont faits demi-tour sur panne et le 4ème s'est posé, lui aussi en panne, en territoire ennmi - Ses trois membres d'équipage, composés des Adj Auguste Viard, MdL Emile Pathé et Cal Joseph Lange, ont réussi à échapper à l'ennemi, ont tenté de rejoindre le premier équipage, en vain et ont réussi à regagner les lignes - Rentrés de mission, le 17 novembre 1918 - En subsistance du 17 au 20 novembre 1918 - A bénéficié d'une permission de détente de 12 jours - A regagné son unité d'origine à l'issue de sa permission - Sources : CCC de l'escadrille 200 - Dernière mise à jour : 12 février 2021.

> Je cherche des renseignements d'état-civil (date et lieu de naissance) sur Emile Pathé.

 

Photo du Cal Joseph Lange

Cal Joseph Lange - Né en 1896 - Classe 1916 - Bombardier - Détaché à l'escadrille 200 - Rentré de mission le 17 novembre 1918 - En subsistance du 17 au 19 novembre 1918 - A bénéficié d'une permission de détente de 12 jours - A regagné son unité d'origine à l'issue de sa permission - Sources : CCC de l'escadrille 200 - Dernière mise à jour : 12 février 2021.

> Je cherche des renseignements d'état-civil (date et lieu de naissance) sur Joseph Lange.

 

 

Les hommes

Slt Lucien Jules Emrich - Né à Sidi-Bel-Abbès (Algérie), le 30 octobre 1892 - Fils de Philippe Charles Emrich et d'Adèle Daubanton - Domicilié rue Mogador à Sidi-Bel-Abbès (Algérie) - Profession avant engagement Mécanicien - Classe 1912 - Recrutement d'Oran (Algérie) sous le matricule n° 1075 - Engagé volontaire pour quatre ans, au titre du 11ème régiment de cuirassiers, le 4 avril 1913 - Nommé Brigadier, le 28 novembre 1913 - Nommé Maréchal des logis, le 18 avril 1915 - Affecté au 13ème régiment de chasseurs à cheval, le 21 novembre 1915 - Passé en Orient à l'aéronautique militaire comme mécanicien, le 10 février 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 18 février 1916 - Affecté au parc aéronautique de Salonique (armée d'Orient) - Retour à Lyon-Bron - Passé élève pilote - Formation théorique à l'école d'aviation militaire de Dijon, le 15 juillet 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4693 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Ambérieu, le 4 octobre 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux - Stage à l'école d'aviation maritime de St-Raphael jusqu'au 20 janvier 1917 - Pilote de l'escadrille VC 110 / F 110 du 12 mars 1917 au 8 septembre 1918 - Blessé au cours de l'atterrissage au retour d'une mission de bombardement de nuit, le 14 avril 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 5 juillet 1917 - Réalise une mission de bombardement, en compagnie du Ltt Baronna, sur plus de 200 km entièrement en territoire ennemi, dans la nuit du 6 au 7 juillet 1917 - A bord de leur Voisin-Peugeot, ils emportaient 250 kgs de bomnas et un rayon d'action de 5 heures en essence - Nommé Adjudant, le 21 juillet 1917 - Dans les nuits du 3 au 5 septembre 1917, ils réalisent l'exploit d'accomplir 10 missions de bombardements - Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 27 mars 1918 - Ils larguent plus de 900 kg de bombes en trois missions sur les gares et voies ferrées de la région de Noyon, Guiscard, Péronne et Ham dans la nuit du 28 mars 1918 - Ils descendent à moins de 100 mètres pour mitrailler les convois et tirent plus de 1.500 cartouches - Croix de guerre et citation à l'ordre de l'armée, en date du 26 mai 1918 - Du 29 mai au 7 juin, ils totalisent 17 bombardements entre 300 et 1000 mètres - Du 1er au 26 juin, ils déclenchent avec leurs projectiles 10 incendies - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 1er juin 1918 - Citation à l'ordre de l'escadre 11, en date du 22 août 1918 - Affecté au CIACB de Perthes, le 8 septembre 1918 - En subsistance à l'escadrille 200, le 1er octobre 1918 - Auteur d'une mission spéciale avec l'escadrille 200, le 21 octobre 1918 - Elle consiste, avec 5 Voisin-Renault, à déposer deux agents, par avion, derrière les lignes allemandes - Ceux-ci sont chargés de couper les voies ferrées de la vallée de la Meuse, dans le nord des Ardennes, notamment le tunnel de Laifour et de couper la navigation sur la Meuse, en détruisant les écluses - Posés dans les environs de Bourseigne-Neuve, l'équipage, composé du Slt Lucien Emrich, du Cne Evrard et de Léon Leblanc, est surpris par les Allemands - Plusieurs coups de feu sont échangés et l'avion, touché au réservoir, ne peut plus repartir - Le pilote met le feu à son Voisin et rejoint ses deux camarades - Trois autres Voisin-Peugeot ont faits demi-tour sur panne et le 4ème s'est posé, lui aussi en panne, en territoire ennmi - Ses trois membres d'équipage, composés des Adj Auguste Viard, MdL Emile Pathé et Cal Joseph Lange) ont réussi à échapper à l'ennemi, ont tenté de rejoindre le premier équipage, en vain et ont réussi à regagner les lignes - De son côté, le trio Emrich / Evrard / Leblanc fait sauter le barrage de Fumay pour bloquer la navigation sur la Meuse - Souffrant du froid et de la faim, ils sont hébergés pendant 19 jours par le curé et le docteur Vignon de Ville-en-Tardenois - Ont réussi à regagner les lignes françaises - Rejoint l'escadrille 200, le 17 novembre 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur, Médaille militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 16 novembre 1918 - Cesse la subsistance, le 24 novembre 1918 - Affecté à la RGA, le 22 décembre 1918 - Affecté à l'armée du Danube, le 11 avril 1919 è Démobilisé, le 21 octobre 1919 - Replacé dans son grade d'Adjudant, le 28 février 1920 - Affecté au 4ème régiment d'aviation d'observation, le 10 juin 1920 - Dirigé vers l'armée du Levant et affecté au 5ème régiment d'observation de Lyon-Bron, le 22 juin 1920 - En campagne au Levant du 19 juillet 1920 au 12 février 1921 - Citation à l'ordre de l'aéronautique de l'armée du Levant, en date du 11 février 1921 - Affecté au 12ème régiment d'aviation de Neustadt, le 28 avril 1921 - En Rhénanie du 9 mai 1921 au 4 juin 1930 - Rengagé pour un an, à compter du 13 juillet 1921 - Rengagé pour 6 mois, à compter du 13 juillet 1922 - Rengagé pour un an au titre du 21ème régiment d'aviation de bombardement de nuit de Nancy-Essey, à compter du 13 janvier 1923 - Rengagé pour un an au titre du 21ème régiment d'aviation de Nancy-Essey, à compter du 13 janvier 1924 - Rengagé par contrats successifs en 1925 et 1926 - Nommé Adjudant-chef, le 1er octobre 1925 - Affecté au 33ème régiment d'aviation - Rengagé par contrats successifs en 1927 et 1928 - Admis dans le corps des sous-officiers de carrière, le 13 juillet 1928 - Affecté à la section d'entrainement du 33ème régiment d'aviation de Mayence (Allemagne) en 1928 - Nommé Sous-lieutenant, le 23 avril 1931 - Affecté au 21ème régiment d'aviation de Nancy, le 1er août 1931 - Breveté observateur en avion, le 26 février 1932 - Passé au bataillon de dépôt de la base aérienne de Nancy, le 1er octobre 1932 - Affecté à la 1ère escadre de bombardement, le 1er avril 1933 - Affecté à la 21ème escadre d'aviation lourde - Nommé Lieutenant, le 23 avril 1933 - Affecté à la 21ème demi-brigade de la base aérienne n° 121, le 1er janvier 1934 - Apte à exercer les fonctions de chef de bord des avions multiplaces - Officier de la Légion d'Honneur, en date du 29 juin 1934 - Commandant de l'escadron d'entrainement, le 18 décembre 1935 - Désigné pour servir à l'aéronautique de l'Indochine - Embarqué à Marseille (Bouches-du-Rhône), le 20 août 1936 - Rayé des contrôles de la base aérienne 121, le 21 août 1936 - Affecté à la 12ème escadre aérienne, le 4 décembre 1936 - Affecté à la 33ème escadre aérienne, le 30 décembre 1936 - Rayé des contrôle de la base aérienne de Reims, le 30 décembre 1936 - Nommé Commandant, le 15 mars 1940 - Admis à la retraite, le 30 octobre 1949 - Photo La guerre aérienne illustrée - Sources : Pam - CCC de l'escadrille VC 110 - CCC de l'escadrille 200 - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives nationales d'outre-mer - JORF - Dernière mise à jour : 8 février 2021.

* Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 5 juillet 1917 : "Sous-officier d’une ardeur extraordinaire, s’est distingué au cours de nombreux bombardements de nuit, le 12 mai, surpris par 8 avions ennemis au cours d’une reconnaissance sur les lignes, a fait face bravement et a forcé ses adversaires à abandonner le combat. A dû atterrir de suite, son avion gravement endommagé par les projectiles ennemis."

* Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 27 mars 1918 : "Sous-officier merveilleux d’entrain et de courage, toujours volontaire pour toutes missions. S’est particulièrement distingué le 7 juillet 1917 en exécutant un bombardement de plus de 200 kms sur les lignes ennemies, les 3, 4 et 5 septembre 1917, par dix bombardements effectués en 3 nuits consécutives et le 1er octobre 1917, en exécutant un bombardement important à 200 m d’altitude."

* Citation à l'ordre de l'escadre 11, en date du 22 août 1918 : "Pilote de bombardement de nuit absolument exceptionnel. Modèle d’audace, d’endurance et de ténacité, accomplissant presque chaque nuit deux expéditions et toujours à une altitude inférieure à 1000 mètres. A exécuté, depuis sa dernière récompense, 52 bombardements, en incendiant à onze reprises les objectifs qui lui avaient été assignés."

* Chevalier de la Légion d’honneur, Médaille militaire et citation n° 7521 à l'ordre de l'armée, en date du 16 novembre 1918  : "Pilote d’une audace et d’un courage admirables. A demandé à faire partie d’un détachement chargé d’une mission très périlleuse à l’intérieur des lignes allemandes. Donnant par son audace l’exemple aux autres pilotes du détachement, a atterri en zone ennemie et a coopéré à la destruction d’une des voies de transport les plus importantes pour l’adversaire. Pour accomplir cette mission, est resté pendant 19 jours dans les lignes ennemies, surmontant les dangers et les privations les plus sévères. A réussi à gagner le territoire ami avec le détachement. Médaillé militaire pour faits de guerre. Six citations. "

* Officier de la Légion d'Honneur du Ltt Lucien Jules Emrich de la 21ème escadre aérienne, en date du 29 juin 1934 : "21 ans de services, 10 campagnes, 1 blessure, 2 citations, 17 ans de bonifications pour services aériens. Chevalier de la Légion d'Honneur du 16 novembre 1918."

 

Les avions

 

Les avions

 

 

Couleurs des avions

Couleurs des avions

 

Souvenirs en rapport

 

Souvenirs en rapport

 

Remerciements à :

-

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire "1912" à l'Armée de l'Air "1976" par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien

 

Si vous avez des documents écrits ou photographiques pouvant compléter les données de cette page, veuillez contacter l'auteur du site.

Escadrille 201 Escadrille 176

 

 

pas de fiche > 1918