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Insignes collectifs
de l'escadrille BR 207

 

 

 

Symbolique

 

 

Historique succinct

 

 

Insignes métalliques des unités
détentrices de ses traditions

Insigne de la 2ème escadrille du GR I/55 en argent - L'extémité de la lunette est absente - Fixation par une épingle dotée d'un système de verrouillage - Fabrication A. Augis Lyon - Insigne collection Patrice Gout que je remercie pour son aide.

Insigne de la 2ème escadrille du GR I/55 - Fixation par deux anneaux et une épingle - Sans marque de fabricant - Photos droits réservés.

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille BR 207

Insignes métalliques des unités
détentrices de ses traditions

Insigne de la 2ème escadrille du GR I/55 fabriqué sans autorisation par l'escadron des services de la circulation aérienne (ESCA) 1C / 133 de la base aérienne 133 de Nancy-Ochey - Fabrication par APS (Aviation Patch supplies des Pays-Bas) - Fixation par une épingle - Comme les traditions des escadrilles SAL 263 / BR 207 n'ont pas été transférées à l'ESCA 1C/133, les personnels ne peuvent pas porter cet insigne de manière officielle - A classer dans les insignes non homologués car fabriqué sans autorisation de l'état-major de l'armée de l'Air et du service symbolique et traditions du service historique de la Défense du château de Vincennes - Photos droits réservés.

 

Appellations successives

Lieux de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Rattachements de l'escadrille

 

Batailles et missions importantes
de l'escadrille BR 207

 

 

Commandants de l'escadrille

 

Décorations

 

 

Personnel de l'escadrille BR 207

A venir

Types d'avions utilisés

 

 

Numéros des avions connus


 

Morts: en rouge / Blessés et indemnes : en jaune

 

 

 

Les Hommes

Photo du Cal Jacques de Sars

Cal Jacques Ulmar Philippe Joseph de Sars - Né le 9 mai 1897 à Gonnehem (Pas-de-Calais) - Fils de Raymond Henri de Sars (propriétaire) et de Marie Clémence Thérèse Joséphe Aronio de Romblay - Domiciliés à Gonnehem (Pas-de-Calais), puis Chemin des Viaducs à Limoges (Haute Vienne) pendant la 1ère GM - Profession avant guerre Apprenti mécanicien - Classe 1917 - Recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) sous le matricule n° 179 - Engagé volontaire pour quatre ans au titre du 2ème groupe d'aviation, le 29 septembre 1915 - Envoyé à l'école d'aviation militaire du Crotoy pour suivre la formation de pilote militaire, le 23 janvier 1916 - Brevet de pilote militaire n° 3898 obtenu à l'école d'aviation militaire du Crotoy, le 11 juillet 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux du 12 juillet au 11 août 1916 - Nommé Caporal, le 7 août 1916 - Pilote de l'escadrille C 207 du 12 août au 28 octobre 1916 - Fait prisonnier, en compagnie du Slt Louis Rességuier (observateur), le 28 octobre 1916 - A été contraint de poser son Caudron G 4 dans les lignes allemandes dans les environs de Péronne (Aisne), au cours d'un combat aérien contre le Ltn Friedrich Mallinckrodt appartenant au Jasta 6 - Ce combat marque la première victoire du pilote allemand - Il a terminé la guerre avec 6 victoires homologuées - De Sars a été blessé à la main gauche par une balle de mitrailleuse - Il a été évacué sur le Lazarett I/VII (hôpital de campagne) de St-Quentin (Aisne) - Interné initialement dans le camp de prisonnier d'Alten-Grabow (Allemagne), à partir du 8 novembre 1916 - Citation n° 430 à l'ordre de l'armée, en date du 27 mai 1917 - Transféré sur le camp de prisonniers de Wittenberg (Allemagne), le 11 septembre 1917 - Libéré et rentré d'Allemagne, le 20 décembre 1918 - Envoyé au 5ème régiment du génie à Versailles (Yvelines), le 21 novembre 1918 - Affecté, dans la réserve, à la 1ère compagnie d'ouvriers d'aviation, le 16 avril 1919 - Dirigé sur le 1er groupe d'aviation de Dijon-Longvic, le 19 février 1919 - Entré à l'hôpital de Dijon pour soins, à compter du 22 mars 1919 - Démobilisé, le 1er octobre 1919 - Domicilié au 4, place du marché à Paris (75), à compter du 1er octobre 1919 - Marié avec Mlle Henriette Marie Françoise de Menthon-Lornay à la mairie du 2ème arrondissement de Lyon (Rhône), le 22 mars 1920 - Ils ont eu huit enfants - Domicilié au 51, rue d'Inkermann à Roubaix (Nord), à compter du 28 mai 1920 - Domicilié Place Bellecour à Lyon, à compter du 16 mars 1921 - Affecté, dans la réserve, à la 7ème compagnie d'ouvriers d'aviation, le 23 juin 1922 - Affecté, dans la réserve, au 33ème régiment d'aviation, le 14 mai 1923 - Médaille Interalliée - Médaille commémorative de la Grande Guerre - Domicilié rue de Villeneuve à Saint-Alban-Leysse (Savoie), à compter du 24 juin 1963 - Sa blessure par balle à la main gauche a été reconnue blessure de guerre, le 10 décembre 1976 - Médaille Militaire, en date du 20 avril 1978 - Décédé à Sainte-Marie-d'Alloix (Isère), le 5 octobre 1988 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 23) de la commune de Gonnehem (Pas-de-Calais) - Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille C 207 - Bailey / Cony - Site Internet du CICR - Site Internet du fichier des décès de l'INSEE - JORF - Site internet The Aerodrome - Dernière mise à jour : 10 août 2022.

* Citation n° 430 à l'ordre de l'armée du Cal Jacques Ulmar Philippe Joseph de Sars, pilote à l'escadrille C 207, en date du 27 mai 1917 : "Très bon pilote, qui a donné toutes preuves de courage et de dévouement. En particulier, le 28 octobre, charge d'une mission périlleuse, n'a pas hésité à l'accomplir, malgré la tempête; a disparu an cours de cette mission."

 

Photo du Slt Louis Rességuier

Slt Louis Jérémie Rességuier - Né le 9 janvier 1886 à Escoutilles, commune de Varaire (Lot) - Fils de Jean Ressèguier et de Cécile Cervières - Domiciliés à Varaines (Lot), puis à la ruche méridionale, au 105, route de Cahors à Agen (Lot-et-Garonne) en 1916 - Classe 1906 - Recrutement de Montauban (Tarn-et-Garonne) sous le matricule n° 468 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre du 9ème régiment d'infanterie, le 15 septembre 1905 - Nommé Caporal, le 16 avril 1906 - Nommé Sergent, le 21 avril 1907 - Rengagé pour deux ans, à compter du 15 septembre 1908 - Nommé Sergent fourrier (comptable), le 16 février 1909 - Nommé Sergent, le 26 juin 1909 - Rengagé pour deux ans, à compter du 15 septembre 1910 - Rengagé pour un an, à compter du 15 septembre 1912 - A été accusé d'avoir giflé un soldat de son régiment parce qu'il trouvait qu'il ne le secondait pas comme il fallait, le 13 octobre 1912 - Après être passé devant le conseil de guerre (justice militaire), il a été déclaré non coupable et acquitté, le 17 novembre 1912 - - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité, le 15 septembre 1913 - Domicilié au 60, rue de Noisy à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) - Affecté dans la réserve au régiment d'infanterie d'Agen - Marié avec Mlle Marie Andréa Robert à la mairie de Bon-Encontre (Lot-et-Garonne), le 30 juillet 1910 - Profession avant guerre Commerçant - Domicilié au 42, avenue Michelet à Agen (Lot-et-Garonne) - Domicilié au 105, route de Cahors à Agen, à compter du 26 mars 1914 - Rappelé à l'activité, au titre du 9ème régiment d'infanterie, par la mobilisation générale, le 3 août 1914 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 14 novembre 1914 - Affecté au 9ème régiment d'infanterie jusqu'au 16 août 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 16 août 1916 - Affecté au GDE du 16 août au 16 septembre 1916 - Observateur de l'escadrille N 73 du 16 septembre au 19 octobre 1916 - Observateur de l'escadrille C 207 du 19 au 28 octobre 1916 - Fait prisonnier, en compagnie du Cal Jacques de Sars (pilote), le 28 octobre 1916 - Ont été contraints de poser leur Caudron G 4 dans les lignes allemandes dans les environs de Péronne (Aisne), au cours d'un combat aérien contre le Ltn Friedrich Mallinckrodt appartenant au Jasta 6 - Ce combat marque la première victoire du pilote allemand - Il a terminé la guerre avec 6 victoires homologuées - Ressèguier n'a pas été blessé - Interné dans le camp de prisonniers de la Maisonnette (Aisne), le 29 octobre 1916 - Transféré dans le camp de prisonniers d'Osnabrück (Allemagne), le 7 novembre 1916 - Croix de guerre avec palme et citation à l'ordre de la 6ème armée, en date du 20 décembre 1916 - Nommé lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 11 août 1917 - Rapatrié d'Allemagne, le 10 janvier 1919 - Démobilisé, le 20 avril 1919 - Domicilié Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 17 septembre 1918 - Démissionnaire de son état d'officier de l'armée territoriale acceptée, le 21 mai 1921 - Rayé des cadres de territoriale à la même date - Affecté, dans la réserve, au 11ème régiment d'infanterie de Montauban avec le grade de sergent, à la même date - Classé en affectation spéciale en qualité de commis de 2ème classe à la compagnie du Midi à Agen du 24 septembre 1921 au 2 janvier 1924 - Démissionnaire de la compagnie du Midi, le 3 janvier 1924 - Affecté dans la réserve au 16ème régiment de tirailleurs coloniaux de Montauban, à compter du même jour - Réintégré dans l'affectation spéciale, en qualité de facteur enregistrant à la compagnie du Midi à Marmande du 26 juin 1924 au 16 février 1925 - Démissionnaire de la compagnie, le 16 février 1925 - Affecté, comme sergent, au 9ème régiment d'infanterie d'Agen, à compter du même jour - Domicilié rue de la Mure à Montbrison, à compter du 20 mars 1925 - Réintégré dans le grade de Lieutenant et affecté au 38ème régiment d'infanterie, le 30 décembre 1925 - Domicilié à Blagnac (Lot), à compter du 21 avril 1927 - Affecté au centre de mobilisation d'infanterie n° 131, le 12 août 1927 - Placé en position Hors cadre, le 29 juillet 1929 - Rayé de l'affection spéciale, le 9 juillet 1931 - Affecté au centre de mobilisation d'infanterie n° 131, le 28 août 1931 - Domicilié à Puy l'Evèque, à compter du 15 mai 1931 - Affecté au centre mobilisateur d'infanterie n° 172, le 8 février 1932 - Rayé des cadres, le 17 octobre 1933 - Décédé à Puy-l'Evêque (Lot), le 3 janvier 1967 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 1) de la commune de Varaire (Lot) - Pam - CCC de l'escadrille N 73 - CCC de l'escadrille C 207 - Fiche matricule conservée aux archives départementales du Lot et Garonne - Bailey / Cony - Site internet du CICR - JORF - Journal Le Quercy à Paris - Dernière mise à jour : 10 août 2022.

* Croix de guerre avec palme et citation à l'ordre de la 6ème armée, en date du 20 décembre 1916 : "Observateur en avion dans un secteur d'attaque, a effectué de nombreuses reconnaissances dans des circonstances périlleuses. Le 28 octobre, chargé d'une mission particulièrement dangeureuse, n'a pas hésité à l'accomplir, malgré le temps défavorable. A disparu au cours de cette attaque."

Les Hommes

Photo de l'Adj Marcel Calliat

Adj Marcel Pierre Adolphe Calliat - Né le 1er décembre 1890 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) - Fils de Marie Albert Calliat et de Blanche Moreau - Parents domiciliés au 23, rue d'Orléans à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) - Classe 1910 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 4365 - Appelé pour effectuer son service militaire au titre de la 22ème section de commis et ouvriers d'administration (COA), le 10 octobre 1911 - Nommé Caporal, le 30 mars 1912 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 8 septembre 1913 - Nommé Sergent, le 11 octobre 1913 - Affecté, dans la réserve, à la 22ème section de COA - Profession avant guerre Ingénieur agronome - Domicilié au 3, rue l'amiral de Joinville à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), à compter du 16 janvier 1914 - Rappelé à l'activité à la 22ème section de COA par la mobilisation générale, le 3 août 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 17 février 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4015 obtenu à l'école d'aviation militaire de (Chartres), le 23 juillet 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, jusqu'au 11 août 1916 - Pilote du GDE du 11 août au 11 septembre 1916 - Pilote de l'escadrille C 207 du 11 septembre 1916 au 25 décembre 1917 - Citation n° 305 à l'ordre de la 3ème armée, en date du 30 avril 1917 - Nommé Adjudant, le 25 août 1917 - Citation n° 350 à l'ordre de la 3ème armée, en date du 18 octobre 1917 - Entré à l'hôpital HOE 7, le 25 décembre 1917 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 31 janvier 1918 - Démobilisé par le 1er groupe d'aviation à Saint-Cyr, le 14 août 1919 - Domicilié au 1320, rue de Tocqueville à Paris 17ème (75), à compter du 14 août 1919 - Affecté, dans la réserve, au 34ème régiment d'aviation, le 1er août 1920 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre définitif, le 22 juillet 1921 - Affecté, dans la réserve, au centre de mobilisation d'aviation n° 34 au Bourget - A réalisé une période de réserve à la base aérienne n° 4 du 2 au 22 octobre 1933 - Domicilié au 17a rue de Tocqueville à Paris 17ème, à compter du 31 mai 1934 - Affecté à la base aérienne du Bourget - Dugny, le 1er décembre 1935 - A effectué une période obligatoire de 21 jours de réserve en 1936 - Affecté au bataillon de l'air n° 107, le 1er août 1938 - Radié du personnel navigant et passé dans le cadre sédentaire du corps des officiers de réserve de l'air, 26 octobre 1938 - Affecté au bataillon de l'air n° 117, le 28 mars 1939 - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille C 207 - Fiche matricule du 1er bureau de la Seine conservée aux archives départementales de Paris - Journal Le Temps - Dernière mise à jour : 5 décembre 2019.

* Citation n° 305 à l'ordre de la 3ème armée du Sgt Marcel Pierre Calliat, pilote à l'escadrille C 207, en date du 30 avril 1917 : "Pilote excessivement consciencieux et qui a donné à maintes reprises les preuves des plus belles qualités de courage et de ténécité. Le 6 avril 1917, attaqué par un avion de chasse ennemi au cours d'un accompagnement et ramené par ce dernier à 200 mètres du sol, a continué sa mission, bien que la solidité de son appareil fût compromise par de nombreuses atteintes de balles dans les parties essentielles. N'est revenu au terrain que lorsque l'avion qu'il protégeait fut complétement en sureté. A soutenu déjà de nombreux combats, toujours avec le plus grand courage."

* Citation à l'ordre de l'artillerie lourde du (2ème ou 11ème) corps d'armée : "Très bon pilote courageux et plein d'entrain, spécialisé dans les prises de photos aériennes. Le 24 août 1917, malgré le mauvais temps, a exécuté sur la demande de l'artillerie un vol de surveillance du front d'attaque de longue durée, et à basse altitude dans des conditions les plus pénibles."

* Citation n° 350 à l'ordre de la 3ème armée de l'Adj Marcel Pierre Calliat, pilote à l'escadrille C 207, en date du 18 octobre 1917 : "Pilote courageux, énergique et d'une haute valeur morale. A soutenu de durs combats contre les avions ennemis, en particulier les 10 et 16 septembre. Le 25 septembre 1917, au cours d'une mission, étant à grand altitude, a eu son avion disloqué à la suite d'un accident. N'a dû qu'à son admirable sang-froid et à son habileté de pilote de pouvoir ramener au sol son avion, au moment où les ailes de détachaient complétement. Déjà deux fois cité."

* Citation à l'ordre du corps d'armée : "Pilote hors ligne d'un courage à toute épreuve et d'une haute valeur morale. Toujours volontaire pour les missions les plus dangereuse. Au cours d'une reconnaissance, est descendu jusqu'à 250 mètres pour faciliter la tâche de son observateur. Ayant eu son réservoir d'essence crevé par les balles de terre, a atterri dans nos premières lignes d'où il reparti pour continuer sa mission malgré les dangers de l'incendie."

* Arrêté ministériel en date du 15 juin 1920 : "Sous-lieutenant d'infanterie du service des fabrications de l'aéronautique, pilote d'une haute valeur morale. A soutenu de 1916 à 1918, de nombreux combats aériens où il a fait preuve d'une bravoure à toute épreuve, d'un sang-froid et d'une habileté remarquables. A toujours réussi à ramener dans nos lignes son appareil gravement endommagé à plusieurs reprises au cours de ces combats. Cinq fois cité à l'ordre dont une fois à l'ordre de l'armée."

 

Les avions

 

Les avions

Caudron G 4 de l'équipage composé du Cal Jacques de Sars (pilote) / Slt Louis Rességuier (observateur) contraint à l'atterrissage dans les lignes allemandes, au cours d'un combat aérien contre le Ltn Friedrich Mallinckrodt du Jasta 6, le 28 octobre 1916 - Le pilote allemand a terminé la guerre avec six victoires homologuées - Il s'agit de la 1ère victoire de ce pilote - Les deux français ont été faits prisonniers - Voir leurs biographies dans le chapitre immédiatement supérieur - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo collection Jörg Mückler que je remercie pour son aide.

 

Couleurs des avions

Couleurs des avions

 

Souvenirs en rapport

 

Souvenirs en rapport

 

Remerciements à :

- M. Jörg Mückler pour l'envoi de la photo du Caudron G 4 de la C 207.

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire "1912" à l'Armée de l'Air "1976" par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien

 

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Escadrille 208 Escadrille 206

 

 

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