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Insignes collectifs
de l'escadrille 213

Premier insigne collectif de l'unité, le chardon associé à une devise en vieux français "Oncque s'y frotte" - Dessin Albin Denis.

Une photo du premier insigne de l'unité, le chardon associé à une devise en vieux français "Oncque s'y frotte" peint sur un Caudron R IV de l'escadrille R 213 sur le terrain du Plessis-Belleville, en septembre 1917 - Photo famille Talenton que je remercie pour son aide.

La tête de lama, choisie par le Cne Victor Guichard, pour rappeler les liens qu'il avait en Argentine - Dessin d'après photo Albin Denis.

Bande tricolore de fuselage qui était associée aux deux derniers insignes de la BR 213, à savoir la tête de lama et le goéland - Dessin Albin Denis.

Détail du Breguet 14 A2 n° 734 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil, en mars 1918 - Remarquez la bande tricolore noir/jaune/noir associée à la tête de Lama peinte sur un fond noir - Cet insigne a été choisi par le Cne Victor Guichard pour rappeler les liens qu'il avait avec l'Argentine - Photo M. Borderelle que je remercie pour son aide.

Le dernier insigne collectif de l'escadrille BR 213, un goéland en vol - Dessin Albin Denis.

Symbolique

L'escadrille 213 a adopté 3 insignes successifs :

Le premier, peint sur les Caudron R IV, consistait en un chardon pourvu de longues feuilles sous lequel il était écrit une devise en vieux français "Oncque s'y frotte".
Le second, choisi par le Cne Victor Guichard, était une tête de lama pour rappeler ses liens qu'il avait avec l'Argentine.
Et pour finir, le Cne Emile Pierrot fait adopter un goéland en vol.

Les deux derniers insignes étaient associés à une bande tricolore noir / jaune / noir et peints sur les Breguet XIV A2.

 

Historique succinct

 

A venir

 

 

 

Insignes individuels
de l'escadrille BR 213

Détail du Breguet 14 A2 n° 2505 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil en mars 1918 - Remarquez sur la dérive peinte en rouge, un cor de chasse certainement la marque d'un pilote issu d'un régiment de chasseurs à cheval - Photo M. Borderelle que je remercie pour son aide.

Détail du fuselage du Breguet 14 A2 n° 2505 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil en mars 1918 - Le coq de combat (dit de Boutin) de la SPA 62 a été peint sur le fuselage car cette unité utilise avec ses pilotes et observateurs d'armée les avions de la 213 - Il faut dire qu'à cette époque, le SPAD XI, qu'utilise la SPA 62 au combat, est jugé peu fiable en raison du comportement inconstant du moteur qui l'équipe - L'arrivée sur le terrain de Breguet 14A2 "Photo" tous neufs a été une bénédiction pour les observateurs aériens très spécialisés de la SPA 62 - Il est peu probable que cet avion ait été affecté à la 62 qui garda ses moyens aériens - Il s'agit simplement d'un emprunt d'un bon matériel pour une série de missions hautement spécialisées - Photo M. Borderelle que je remercie pour son aide.

 

 

Unités détentrices des traditions de l'escadrille BR 213

Les traditions de l'escadrille BR 213 n'ont pas été reprises depuis le 8 juillet 1919, date de sa dissolution.

 

 

Appellations successives

Lieux de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Rattachements de l'escadrille

Batailles et missions importantes
de l'escadrille 213

 

Liste à venir

 

Commandants de l'escadrille

Décorations

 

Personnel de l'escadrille 213

A venir

Types d'avions utilisés

Numéros des avions connus


 

Morts: en rouge / Blessés et indemnes : en jaune


 

Les hommes

Cne Victor Jules Camille Guichard - Né le 26 novembre 1882 à Paris 8ème (75) - Fils de Robert François Charles Guichard et d'Henriette Modeste Mélanie Depret - Domiciliés au 38, quai de Billy à Paris- Classe 1902 - Recrutement du 3ème bureau de la Seine sous le matricule n° XXX - Engagé à l'école spéciale militaire de St-Cyr, le 1er octobre 1903 - Nommé Lieutenant, le 1er octobre 1907 - Affecté au 8ème régiment de cuirassiers en 1909 -  Marié avec Françoise Joret-Desclosières à Sucy-en-Brie (Val-de-Marne), le 30 juin 1910 - Domicilié au 24 boulevard St-Michel à Paris - Ils ont eu ensemble 5 enfants (2 garçons et 3 filles) - Affecté au 15ème régiment de Dragons - Affecté au 14ème régiment de Dragons - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 12 février 1916 - Brevet de pilote militaire n° 3644 obtenu, le 7 juin 1916- Pilote de l'escadrille R 217 du 21 septembre 1916 au 6 mars 1917 - Citation n° 38 à l'ordre de l'armée, en date du 28 février 1917 - Commandant de l'escadrille R 213 / BR 213 du 6 mars 1917 au 18 mars 1918 - Citation n° 365 à l'ordre du corps d'armée, en date du 29 mars 1917 - Une victoire aérienne homologuée contre un avion abattu à l'Ouest du Mont Haut, le 27 mai 1917 - Nommé Capitaine à titre temporaire, le 8 juin 1917 - Citation n° 900 à l'ordre de l'armée, en date du 14 juin 1917 - A suivi une instruction sur les gaz de combat du 16 au 22 janvier 1918 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 4 au 15 février 1918 - Nommé Adjoint technique de l'aéronautique de la VIème armée, le 17 mars 1918 - Citation n° 576 à l'ordre de l'armée, en date du 12 mai 1918 - Citation n° 581 à l'ordre de l'armée, en date du 12 juin 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur, le 10 juillet 1918 - Total des heures de vol à la fin de la guerre 230 heures - Affecté au 33ème régiment d'aviation, le 24 janvier 1921 - Affecté à l'entrepôt spécial d'aviation n° 1, le 25 mai 1923 - Affecté au 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique - Nommé Commandant en 1927 - Commandant du bureau central d'incorporation et d'archives de l'armée de l'Air n° 267 (BCIAAA 267) -  Profession Agriculteur - Domicilié au Domaine de la Pommeraie à la Chapelle-sur-Creuse (Yonne) - Officier de la Légion d'Honneur, le 30 juin 1953 - Décédé le 13 mars 1964 à Longues-sur-Mer (Calvados) - Photo Victor Guichard transmise par François Guichard , son petit-fils, que je remercie pour son aide - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - LO - CCC escadrille BR 213 - JORF - Dernière mise à jour : 16 juillet 2020.

Sgt Fabien Louis Lambert - Né le 4 janvier 1892 à Thin-le-Moutier (Ardennes) - Fils d'Emile Paulin Lambert (garde-forestier) et de Marie Camille Charles - Domiciliés à Menneuret commune de Wassigny (Aisne) en 1912 - Profession avant guerre Comptable aux Chemins de fer - Classe 1912 - Recrutement de St-Quentin (Aisne) sous le matricule 1642 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 151ème régiment d'infanterie, le 9 octobre 1913 - Nommé Caporal, le 10 avril 1914 - Toujours affecté à cette unité lors de la mobilisation générale du 2 août 1914 - Nommé Sergent, le 2 août 1914 - Blessé par un éclat d'obus à la cuisse droire à Zilleberck, le 15 décembre 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme personnel d'encadrement à St-Cyr, le 20 mars 1916 - Proposé pour changement d'armes par décision de la commission de réforme de Quimper, le 5 février 1916 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux, à compter du 3 août 1916 - Breveté mitrailleur à l'école de tir aérien de Cazaux - Stage à l'école d'aviation militaire de Pau jusqu'au 8 octobre 1916 - Parti au Parc n° 2 stationné à Amiens / Saint-Fuscien, le 10 octobre 1916 - Passé élève pilote à compter du 2 avril 1917 - A l'école d'aviation militaire de Dijon, le 2 avril 1917 - Brevet de pilote militaire n° 7059 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Etampes, le 18 juin 1917 - A Etampes, jusqu'au 20 juin 1917 - GDE du 20 juin au 23 septembre 1917 - Lâché sur avion Caudron, le 12 juillet 1917 - Pilote de l'escadrille R 213 / BR 213 du 23 septembre 1917 au 10 avril 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 29 octobre 1917 - Citation n° 558 à l'ordre de l'armée, en date du 28 février 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 62 du 10 avril au 27 juillet 1918 - Médaille Militaire et citation n° 6810 à l'ordre de l'armée, en date du 31 mars 1918 - Citation n° 6 à l'ordre de l'aéronautique de l'armée, en date du 22 mai 1918 - Blessé par balle au cours d'un combat aérien, le 24 juillet 1918 - Nommé Adjudant, le 25 juin 1918 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, le 10 octobre 1918 - Démobilisé, le 1er août 1919 - Marié avec Mlle Yvonne Charlotte Fluchart à la mairie de Wassigny (Aisne), le 15 septembre 1919 - Domicilié à Wassigny (Aisne), à compter du 20 décembre 1919 - Classé dans l'affectation spéciale au titre de la compagnie des chemins de fer comme expéditionnaire, à compter du 5 janvier 1920 - Affecté au 1er régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz, le 30 décembre 1920 - Remis à la disposition de l'infanterie, le 28 janvier 1921 - Classé dans l'affectation spéciale au titre de la section de chemin de fer - Démission d'officier de complément acceptée par décision présidentielle, le 25 mai 1921 - Proposé pour une pension temporaire de 10 % pour plaie transfixante à hauteur du pli fessier droit par la commission de réforme du 25 septembre 1922 - Proposé dans le maintien dans les cadres avec pension temporaire de 10 % pour légère gêne fonctionnelle du membre inférieur droit par la commission de réforme de Sedan, en date du 29 avril 1924 - Proposé dans le maintien dans les cadres avec pension temporaire de 15 % pour légère gêne fonctionnelle du membre inférieur droit par la commission de réforme d'Amiens, en date du 27 août 1926 -Affecté, dans la réserve, au 38ème régiment d'aviation de chasse, le 20 novembre 1927 - A effectué une période de réserve volontaire au centre d'entrainement d'Orly du 2 au 16 mai 1928 - Nommé Lieutenant de réserve, le 23 décembre 1928 - A effectué une période d'entrainement volontaire au centre d'entrainement d'Orly du 17 juin au 1er juillet 1929 - Affecté au centre de mobilisation d'aviation n° 88, le 7 décembre 1929 - A effectué une période d'entrainement au centre de mobilisation d'aviation n° 88 du 1er au 15 juin 1931 -Affecté au centre de mobilisation d'aviation n° 31, le 1er avril 1933 - Domicilié à Vouël par Tergnier, à compter du 15 avril 1933 - Décédé à Fergnier (Aisne), le 14 juin 1950 - Photo Fabien Lambert transmise par Jean-Michel Téron, son petit-fils, que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 3) de la commune de Thin-le-Moutier (Ardennes) - Pam (2 fiches) - Fiche matricule conservée aux archives départementales de l'Aisne - LO - Dernière mise à jour : le 21 septembre 2021 -

* Citation n° 520 à l'ordre de l'armée du Sgt Fabien Louis Lambert, pilote de l'escadrille R 213 en date du 29 octobre 1917 : "Sous-officier remarquable par son énergie, son mépris du danger. A eu de nombreux combats aériens dans la Somme, comme mitrailleur. Passé pilote, a réglé des tirs importants aux dernières opérations, sur une gare lointaine. A soutenu de durs combats, le 12 et le 24 octobre 1917."

* Citation n° 558 à l'ordre de l'armée du Sgt Fabien Louis Lambert, pilote de l'escadrille R 213 en date du 28 février 1918 : "Excellent pilote. Chargé le 16 février 1918 d'accomplir une mission photographique à plus de 100 kilomètres dans les lignes, a continué sa mission, bien que l'appareil chargé de l'escorter eut été obligé d'atterrir. A été attaqué à 80 km dans les lignes par huit monoplaces ennemis, a soutenu brillamment le combat jusqu'à épuisement de ses munitions et réussi à regagner nos lignes."

* Médaille Militaire et citation n° 6810 à l'ordre de l'armée du Sgt Fabien Louis Lambert, du 151ème régiment d'infanterie, pilote de l'escadrille BR 213, en date du 31 mars 1918 : "Sous-officier d'élite, pilote de tout premier ordre. Grièvement blessé dans l'infanterie et inapte à cette arme, a demandé à passer dans l'aviation. A soutenu comme mitrailleur d'abord, de durs combats aux offensives de la Somme; pilote, s'est distingué par son allant et son mépris du danger, s'offrant toujours pour les missions les plus périlleuses. S'est signalé de façon particulière dans l'exécution d'expéditions photographiques d'une grande hardiesse. Au cours d'une de ces missions, attaqué par six appareils ennemis. A abattu un de ses adversaires et mis les autres en fuite; a dû atterrir avec un appareil gravement endommagé. deux citations."

* Citation n° 6 à l'ordre de l'aéronautique de l'armée, en date du 22 mai 1918 : "Pilote de tout premier ordre, donne chaque jour le plus bel exemple d'entrain et d'audace. Envoyé en mission sur les lignes, a profité d'une excellente visibilité pour accomplirspontanément une reconnaissance photographique à plus de 60 km chez l'ennemi."

* Citation n° 582 à l'ordre de l'armée, le 12 juin 1918 : Sgt Fabien Louis Lambert, du 151ème régiment d'infanterie, détaché à l'escadrille SPA 62, en date du 11 juin 1918 : "Sous-officier pilote d'une rare énergie, brave juqu'à la témérité. A exécuté sept reconnaissances pour le répèrage de pièces tirant sur Paris, est rentré plusieurs fois avec un avion criblé d'éclats d'obus. A fait volontairement seul une mission lointaine dans les lignes ennemies et rapprochant des renseignements de la plus haute importance. Depuis, a exécuté des missions à basse altitude au milieu d'une aviation ennemie très mordante. Le ..., a participé à un combat des plus durs et fait preuve d'un cran remarquable en attaquant à plusieurs reprises l'avion ennemi qui a été contraint d'atterrir."

* Citation n° 278 à l'ordre du corps d'armée, en date du 17 septembre 1918 : "Sous-officier d'élite. Pilote de biplace, a toujours exécuté avec un entrain admirable les missions qui lui étaient confiées. Pilote de monoplace, a protégé personnellement et avec une rare énergie le biplace de reconnaissance, le 24 juillet 1918 au cours d'une mission quoique grièvement blessé en combat, a pu regagner les lignes et atterrir normalement sur son terrain. A fait preuve aussi, d'un sang-froid et d'une volonté admirables."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Slt Fabien Louis Lambert, en date du 16 juin 1920 : "Après une brillante conduite dans l'infanterie, a accompli dans l'aviation un travail considérable et précieux, spécialement dans les réglages d'artillerie et les missions photographiques mointaines. A été griévement blessé, le 27 juillet 1918, au cours d'une de ces missions, en soutenant un combat inégal et acharné, contre cinq avions ennemis. Deux blessures, cinq citations."

Sgt Georges Joseph Charles Bazaine - Né le 6 décembre 1895 à Sept-Fontaines à Fagnon (Ardennes) - Fils de Charles Bazaine (jardinier) et de Marie Orphise Colas - Domiciliés place de Namur à Floing (Ardennes) en 1915 - Profession avant guerre Mécanicien - Domicilié au 31, rue Proudhon à Paris 12ème (75) - Classe 1915 - Recrutement du 4ème bureau de la Seine (75) sous le matricule n° 2262 - Mobilisé au 170ème régiment d'infanterie, à compter du 20 décembre 1914 - Affecté au 407ème régiment d'infanterie, le 1er avril 1915 - Citation à l'ordre du régiment, en date du 1er septembre 1915 - Nommé Caporal, le 13 octobre 1915 - Nommé Sergent, le 9 novembre 1915 - Blessé par une balle au thorax à Givenchy, le 21 février 1916 - Croix de Guerre et citation n° 178 à l'ordre du 9ème corps d'armée, en date du 2 mars 1916 - Blessé par éclat d'obus à l'aisselle droite, le 16 juin 1916 - Cette blessure provoque une gêne des mouvemensts du bras - Hospitalisé et convalescence jusqu'au 31 août 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme mitrailleur, le 1er septembre 1916 - Stage de mitrailleur à l'école de tir aérien de Cazaux, du 1er septembre au 2 décembre 1916 - Breveté mitrailleur à Cazaux, le 30 septembre 1916 - Mitrailleur du GDE du 2 décembre 1916 au 30 janvier 1917 - Mitrailleur de l'escadrille R 213 / BR 213 du 30 janvier 1917 au 10 mars 1918 - En subsistance à l'escadrille F 63 du 1er au 16 mars 1917 - Une victoire non homologuée ou probable contre un avion, le 29 mai 1917 - Citation n° 431 de l'ordre de la RGAé, en date du 12 novembre 1917 - Détaché à l'école d'aviation militaire de Dijon (tests de sélection et cours théorique) comme élève pilote, le 12 mars 1918 - Formation élémentaire de pilote militaire à l'école d'aviation militaire d'Istres - Victime d'un accident d'avion en école, provoquant une entaille profonde de l'arcade sourcilliaire gauche, le 17 mai 1918 - Hospitalisé et convalescence jusqu'au 1er juin 1918 - Brevet de pilote militaire n° 14.549 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Istres, le 12 juillet 1918 - Affecté à l'école d'aviation militaire d'Istres - Victime d'un accident d'avion en école provoquant une entaille profonde de l'arcade sourcilliaire gauche, le 9 avril 1919 - Hospitalisé et convalescence jusqu'au 5 mai 1919 - Rengagé pour deux ans, à compter du 29 septembre 1919 - Nommé Adjudant, le 9 octobre 1919 - Affecté au 141ème régiment d'infanterie, le 2 janvier 1920 - Reste détaché à l'école d'aviation militaire d'Istres - Affecté à la 15ème sections d'ouvriers d'aviation, le 1er avril 1920 - Affecté au 1er régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz, le 30 juin 1920 - Médaille militaire, le 4 septembre 1920 - Rengagé pour un an, au titre du 1er régiment d'aviation de chasse, à compter du 29 septembre 1921 - A participé au Meeting internationnal de Bruxelles du 23 au 25 juin 1922 - Sept pilotes français y participèrent : Cne Fernand Bonneton (9 victoires homologuées) - Ltt Pellet - Ltt Degennes - Ltt Seigneurie - Adj Rousseau - Adj Bazaine - Sgt Adam - Tous pilotent un Nieuport-Delage NiD 29 à moteur Hispani-Suiza de 300 Hp - Bonneton, à cette époque, était commandant du 3ème groupe du 38ème régiment d'aviation mixte, se tuera pendant les démonstrations aériennes, le 24 juin - Réengagé pour deux ans, au titre du 1er régiment d'aviation de chasse, à compter du 29 septembre 1922 - Affecté au 38ème régiment d'aviation mixte de Thionville-Basse-Yutz (Moselle) par changement de dénomination du régiment - Réengagé pour deux ans, au titre du 38ème régiment d'aviation mixte, à compter du 29 septembre 1924 - Nommé Adjudant-chef, le 1er janvier 1926 - Blessé d'une contusion au nez et par des lésions au genou et bras gauche lors d'un accident d'avion à Mourmelon, le 24 juillet 1926 - Réengagé pour deux ans, au titre du 38ème régiment d'aviation de chasse, à compter du 29 septembre 1926 - Nommé Sous-lieutenant, le 1er octobre 1928 - Tué au cours d'un accident d'avion, aux commandes d'un Nieuport-Delage NiD-29, pendant les manoeuvres du camp de Mailly (Marne), le 30 juillet 1929 - Son avion est entré en collision avec un autre appareil, alors qu'ils volaient à 500 mètres d'altitude, au-dessus du territoire du village de Saint-Ouen-Domprot (Marne) - Le NiD 29 du Slt Bazaine, gravement endommagé, est tombé en vrille - Le Slt Bazaine évacua son avion en parachute mais fut rejoint par son avion en perdition - L'hélice le décapita en presque totalité - Le cadavre de l'officier et les débris de son avion s'écrasèrent près de St-Ouen - L'autre avion, privé de son hélice, mais non gravement touché, put atterrir sans dommages, près d'une route voisine. L'autre pilote n'a pas été blessé - Le corps du Slt Bazaine a été déposé et veillé à l'hôpital militaire du camp de Mailly - Il a été déposé dans un fourgon plombé à destination de Thionville, lieu de stationnement de son unité et de son domicile, le 3 août 1929 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 9 novembre 1929 - Photo transmise par Mme Viviane Boquant-Bazaine, sa petite-fille que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 11) de la commune de Fagnon (Ardennes) - Pam - CCC de l'escadrille R 213 / BR 213 - Liste des brevets militaires - JORF - Fiche matricule du 4ème bureau de la Seine conservée par les archives départementales de Paris - Dernière mise à jour : 26 août 2022.

* Citation n° 178 à l'ordre du 9ème corps d'armée, en date du 2 mars 1916 : "Sous-officier d'une bravoure exemplaire. Est resté toute la journée du 21 février 1916 dans la tranchée complétement bouleversée par le bombardement. Blessé grièvement, n'a cessé d'encourager ses hommes."

* Citation n° 431 de l'ordre de la RGAé, en date du 12 novembre 1917 : "A participé comme mitrailleur avion à toutes les grandes opérations depuis avril 1917. A soutenu de nombreux combats au cours desquels son avion a été plusieurs fois atteint. Le 29 mai 1917, a contraint son adversaire à piquer, désemparé dans les lignes. Cité antérieurement à l'ordre du corps d'armée."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Slt Georges Joseph Charles Bazaine, pilote du 38ème régiment d'aviation, en date du 9 novembre 1929 : "Modèle de l'officier parfait. Pendant 14 ans et 7 mois de services, n'a connu que son devoir et a été constamment un exemple pour tous. Une fois blessé dans l'infanterie, trois fois dans l'aviation, titulaire de deux citations, médaillé militaire, 1.480 heures de vol, joignant à une fois militaire ardente, la plus noble conception des devoirs de l'officier, est mort pour la France, en service aérien commandé, à la tête de la patrouille dont il était le chef. Laissera dans l'esprit de tous ceux qui l'ont connu le souvenir impérissable d'un grand coeur et d'une belle figure d'officier de l'aviation française." Cité à l'ordre de la 6ème région, par application de l'article 227 de l'instruction sur le service courant.

Sgt Georges Joseph Charles Bazaine - Mitrailleur de l'escadrille R 213 / BR 213 du 30 janvier 1917 au 10 mars 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Mme Viviane Boquant-Bazaine, sa petite-fille que je remercie pour son aide.

 

Photo de l'Adj Lucien Blanchet

Adj Ernest Henri Augustin Lucien Blanchet (dit de Beuvraines) - Né à Châtillon-sur-Loire (Loiret), le 4 mai 1892 - Fils d'Ernest Théophile Blanchet et de Marthe Marie Loiseau - Domiciliés au 333, rue des Pyrénées à Paris 20ème (75) - Classe 1912 - Recrutement du 1er bureau de la Seine (75) sous la matricule n° 2086 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre de la 25ème bataillon du Génie du 5ème régiment du Génie, le 17 novembre 1910 - Affecté à la compagnie 6/5 d'aérostiers du 3ème régiment du Génie, le 21 novembre 1910 - Nommé Caporal, le 14 octobre 1911 - Nommé Sergent, le 23 septembre 1912 - Passé au 2ème groupe aéronaitique par organisation, le 1er octobre 1912 - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité, le 17 novembre 1913 - Profession avant guerre Comptable - Affecté, dans la réserve, à la 18ème compagnie d'ouvriers d'aviation, le 31 juillet 1914 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 3 août 1914 - Fait prisonnier, le 8 septembre 1914 - Evadé d'Allemagne et rentré en France, le 25 mars 1916 - Affecté au 2ème groupe d'aviation, le 12 septembre 1916 - Nommé Adjudant, le 4 octobre 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 15 septembre 1916 - Formation théorique à l'école d'aviation militaire de Dijon - Brevet de pilote militaire n° 5015 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Etampes, le 6 décembre 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux - Moniteur de pilotage à l'école d'aviation militaire d'Etampes - Stage de spécialisation à l'école d'aviation militaire d'Avord, jusqu'au 21 mars 1918 - Pilote du GDE du 21 mars au 18 juillet 1918 - Pilote de l'escadrille BR 213 du 18 juillet au 1er août 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion, à bord d'un Caudron R 11, sur le terrain d'aviation de Matouges, le 1er août 1918 - Les trois membres de l'équipage, composé de l'Adj Lucien Blanchet (pilote), du Sgt François Allombert (mitrailleur), du Sol Robert Carrelet (mitrailleur), ont été tués - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille BR 213 - Fiche matricule du 1er bureau de la Seine conservée aux archives départementales de Paris - MpF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 10 mars 2021.

Les hommes

De gauche à droite : MdL Clotaire Henri Durand (pilote) - Cal Michel Bernaudand (pilote) - Sgt Jacques Fournier (pilote) - MdL Jean Sillan (pilote) - MdL Michel Lambert (pilote) - MdL Fernand Masurel (pilote) - Au milieu : Cal Jean Arsène Lange (pilote) - Adj Georges Coudray (pilote) - Slt Louis Batailler (obs) - Slt Maurice Petit (obs) - Slt Pierre Massimi (obs) - Slt Georges Charles Bridoux (radio) - Cal René Claude (pilote) - Assis : Slt Pierre Boulmier (obs) - Ltt Georges Pantin (obs) - Ltt Jean Germain Thène (obs) - Cne Emile Pierrot (commandant l'escadrille BR 213) - Ltt Pierre Lamy de la Chapelle (pilote) - Slt Pierre Nautet (obs) - Ltt Emile Enselme (obs) - Slt André Boulommier (obs) - Photo datée de mai 1918 - Si un correspondant possède cette photo bien nette, qu'il prenne contact avec l'auteur de ce site - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo La Vie Aérienne n° 110.

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Personnels navigants de l'escadrille BR 213 photographiés en 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Maurice Petit transmise par Jean-Pierre Petit, son fils, que je remercie pour son aide

Ltt Clément Mitre Plane - Né le 26 novembre 1892 à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) - Fils de Joseph Alphonse Philippe Plane (maire du village d'Oraison) et de Anne Honorine Augusta Roux - Domiciliés à Oraison - Profession avant engagement Etudiant - Classe 1912 - Recrutement de Digne (Alpes-de-Haute-Provence) sous le matricule n° 788 - Engagé volontaire pour trois ans au titre du 61ème régiment d'infanterie, le 29 avril 1911 - Nommé Caporal, le 25 septembre 1911 - Nommé Sergent, le 15 octobre 1912 - Nommé Sergent fourrier, le 1er octobre 1913 - Rengagé pour 6 mois, à compter du 29 avril 1914 - Affecté au 261ème régiment d'infanterie, le 3 août 1914 - Nommé Aspirant, le 8 août 1914 - Croix de Guerre et citation à l'ordre du régiment, en date du 8 août 1915 - Nommé Sous-lieutenant, à titre temporaire, le 25 juillet 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 7 janvier 1916 - Observateur de l'escadrille MF 44 du 8 janvier au 10 juin 1916 - Observateur de l'escadrille F 14 du 10 juin au 28 août 1916 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 23 juillet 1916 - Détaché à l'école de pilotage militaire de Chartres, à compter du 28 août 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4713 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 9 octobre 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Châteauroux - Pilote du GDE du XXX au 23 mars 1917 - Pilote de l'escadrille R 213 du 23 mars au 4 octobre 1917 - Nommé Lieutenant, à titre temporaire, le 6 juillet 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 10 septembre 1917 - Pilote de l'escadrille AR 59 du 4 octobre 1917 au 30 janvier 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 29 octobre 1917 - Détaché au GDE du 22 janvier au 1er février 1918 - Pilote de l'escadrille AR 32 du 8 au 17 février 1918 - Tué au combat, aux commandes d'un Letord, le 17 février 1918 - Il faisait équipage avec le Slt René Garrier, observateur et le MdL René Mail, mitrailleur qui ont également été tués - Leur avion a été atteint en plein fouet par un obus et s'est écrasé en prenant feu à son arrivée au sol dans les environs de Vaux-les-Palameix (Meuse) - Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 9 mars 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre du 261ème régiment d'infanterie, à titre posthume, en date du 5 février 1920 - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille MF 44 - CCC de l'escadrille F 14 - CCC de l'escadrille R 213 - CCC de l'escadrillr AR 59 - CCC de l'escadrille AR 32 - Fiche Matricule du département des Alpes de Haute-Provence - MpF (2 fiches) - JORF - Dernière mise à jour : 15 août 2018.

* Croix de Guerre et citation à l'ordre du régiment, en date du 8 août 1915 : "A maintenu ses hommes sur la ligne de feu avec la plus grande énergie malgré un violent bombardement durant les journées des 1er, 2, 3 juillet."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Clément Plane au 261ème régiment d'infanterie, pilote à l'escadrille 213 (ALGP), en date du 10 septembre 1917 : "Excellent pilote, actif et courageux. Compte de nombreuses heures de vol dans les lignes. Le 21 août, attaqué par cinq avions ennemis, a réussi à abattre un de ses adversaires. Une fois cité."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Clément Plane pilote à l'escadrille F 59, en date du 29 octobre 1917 : "Excellent pilote, adroit, zélé et courageux. passé depuis plusieurs mois sur avion triplace, a livré de nombreux combats. Le 16 octobre 1917, au cours d'une mission photographique, a été contusionné par un éclat d'obus, a livré successivement plusieurs combats contre des avions ennemis et a abattu l'un d'eux (2ème avion)."

* Citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, du Ltt Clément Mitre Plane au 261ème régiment d'infanterie, pilote à l'escadrille AR 32, en date du 9 mars 1918 : "Pilote merveilleux de courage, d'habileté et de sang-froid. S'est distingué maintes fois en accomplissant des reconnaissances difficiles et périlleuses, notamment pendant les attaques de l'Aisne (octobre 1917). Le 17 février 1918, a trouvé une mort glorieuse au cours d'une mission dans les lignes ennemies."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre du 261ème régiment d'infanterie, à titre porthume, du Ltt Clément Mitre Plane, détaché à l'escadrille AR 32, en date du 5 février 1920 : "Pilote merveilleux de courage, d'habileté et de sang-froid. S'est distingué maintes fois en accomplissant des reconnaissances difficiles et périlleuses, notamment pendant les attaques de l'Aisne (octobre 1917). Le 17 février 1918, a trouvé une mort glorieuse au cours d'une mission dans les lignes ennemies. A été cité."

Slt Maurice Marie Joseph Jules Elie Petit - Né le 16 mars 1897 à Salbris (Loir-et-Cher) - Fils de Jean Pierre Maurice Petit et de Jeanne Hélène Montprofit - Domiciliés place de la Bascule à Uzerche (Corrèze) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1916 (engagement) / 1917 (normale) - Recrutement de Tulle (Corrèze) sous le matricule n° 1737 - Engagé volontaire pour la durée de guerre, au titre du 13ème régiment de Dragons, le 14 juillet 1915 - Affecté au 11ème escadron du 13ème régiment de Dragons, le 18 juillet 1915 - Affecté au 12ème escadron du 13ème régiment de Dragons, le 12 août 1915 - Affecté au 32ème régiment d'artillerie de campagne, le 26 juin 1916 - Dirigé sur le centre d'instruction de l'artillerie de tranchée (CIAT), le 1er juillet 1916 - Nommé Brigadier, le 16 septembre 1916 - Affecté le 5ème régiment d'artillerie de campagne, le 29 septembre 1916 - Affecté à la 102ème batterie du 28ème régiment d'artillerie de campagne, le 13 mars 1917 - Suit les cours d'élève officier de l'école d'artillerie de Fontainebleau du 10 avril au 26 juillet 1917 - Nommé Aspirant et affecté au 34ème régiment d'artillerie de campagne, le 21 juillet 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève observateur du GDE, le 4 septembre 1917 - Détaché au 71ème régiment d'artillerie lourde à grande portée (ALGP), le 5 septembre 1917 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 2 au 21 octobre 1917 - Observateur de l'escadrille R 213 / BR 213 du 21 octobre 1917 au 26 mars 1919 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 1er janvier 1918 - Blessé à l'oeil gauche par un éclat d'obus, à bord d'un SPAD XI, le 13 mars 1918 - Transféré sur l'hôpital de St-Gilles - Rentré de convalescence, le 13 avril 1918 - Citation n° 2 à l'ordre de la 6ème armée, en date du 5 avril 1918 - Titularisé observateur en avion, le 17 avril 1918 - Citation n° 45 à l'ordre du 4ème corps d'armée, en date du 28 juillet 1918 - Termine la guerre 1914-1918 avec 233 heures de vol - Evacué sur l'hôpital de Cézanne, le 22 février 1919 - Observateur d'artillerie lourde affecté à l'aéronautique de la 10ème armée du général Fayolle, le 26 mars 1919 - Démobilisé, le 24 octobre 1919 - Proposé pour une pension temporaire de 20 % par la commission de réforme de Limoges pour diminution de la vision de l'oeil gauche (V : 4/10), le 6 mai 1920 - Nommé Maréchal des Logis, rétroactivement en date du 1er juillet 1917 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 16 juin 1920 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 1er juillet 1920 - Affecté, dans la réserve, au 41ème régiment d'artillerie, le 15 juillet 1920 - Maintenu, dans la réserve, au 34ème régiment d'artillerie de campagne, le 20 juillet 1921 - Profession après guerre Pharmacien - Affecté, dans la réserve, au 36ème régiment d'aviation, le 20 septembre 1923 - Pension permanente de 25 % pour troubles de l'oeil gauche avec cicatrice de plaie palpèbre conjonctivale de la paupière inférieure et conjonctivité chronique, légère atrophie papillaire oeil gauche 3/10ème, troubles fonctionnels cardiaque légers sans lésions organiques par la commission de réforme de Limoges, le 2 mai 1924 - Affecté, dans la réserve, au centre de mobilisation d'aviation n° 36, le 4 décembre 1928 - Affecté, dans la réserve, au centre de mobilisation d'aviation n° 12, le 28 novembre 1930 - Lauréat de l'école des Sciences Politiques - Domicilié au 4, avenue de la Gare à Deuil-La-Barre (Seine-et-Oise) en 1936 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne de Reims (Marne), le 1er décembre 1936 - A effectué une période de réserve au bataillon de l'air 112 du 28 juin au 18 juillet 1937 - Affecté à la 1ère section du bataillon de l'air 112 de la Malmaison, le 11 mai 1938 - Rappelé à lactivité pour une période d'exercices pour une durée indéterminée à la base aérienne de la Malmaison, le 30 août 1939 - Affecté à la compagnie de l'air n° 70/112, le 28 novembre 1939 - Affecté à la compagnie de l'air 3/112 en date du 10 février 1940 - Pendant la 2ème guerre mondiale, a été chef du réseau "Jean-Marie Buckmaster" des forces françaises combattantes (FFC) - Médaille de la Résistance et citation à l'ordre du régiment, en date du 31 mars 1947 - Croix de guerre 1939-1945 avec palme et citation n° 11 à l'ordre de l'armée, en date du 14 janvier 1948 - Domicilié au 4, avenue de la Gare à Deuil-la-Barre (Seine-et-Oise) - Officier de la Légion d'Honneur en date du 31 décembre 1951 - Cette décoration lui a été remise par le Col Maurice Guillotin au cours d'une prise d'armes sur la base aérienne de Compiègne, le 14 février 1952 - Décédé au 92, avenue de Ceinture à St-Gratien (Val-d'Oise), le 30 juin 1971 - Repose dans le caveau de famille du cimetière de Deuil-la-Barre (Seine-et-Oise) - Photo Maurice Petit transmise par Jean-Pierre Petit, son fils, que je remercie pour son aide - Sources : Extrait de naissance de la commune de Salbris (Loir-et-Cher) - Pam - Etat des services - Fiche matricule du département de la Corrèze - CCC de l'escadrille BR 213 - LO - JORF - Titres, homologations et services pour faits de résistance (SHD) - Dernière mise à jour : 14 septembre 2018.

* Citation n° 2 à l'ordre de la 6ème armée, en date du 5 avril 1918 : "Jeune observateur qui s'est tout de suite fait remarquer par son courage et son mordant. A insisté pour faire partie des missions photographiques exécutées en janvier et février pour l'armée et a rapporté de précieux documents. Le 16 février, empêché de passer sur l'objectif par une patrouille ennemie, a soutenu le combat avec l'adversaire puis est revenu prendre ses clichés bien que sachant que ses avions d'accompagnement ne pouvaient le suivre. A rapporté les renseignements demandés."

* Citation n° 45 à l'ordre du 4ème corps d'armée, en date du 28 juillet 1918 : "Officier observateur de grande valeur au courage et à l'entrain tout à fait remarquable sérieusement malade n'a pas voulu interrompre son travail et a accompli une tâche précieuse en accomplissant sur les arrières ennemis à la veille des attaques le 28 et 30 juin, 2 et 4 juillet 1918, des missions photographiques pleinement réussies dans des conditions très délicates."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Ltt Maurice Marie Joseph Jules Petit, en date du 16 juin 1920 : "Officier aviateur du plus grand courage, une blessure grave, deux citations."

* Citation n° 401 à l'ordre du régiment, en date du 31 mars 1947 : "Résistant, organisa la diffusion des tracts et journaux clandestins, déployant à la tête des services secrets une grande activité."

* Citation n° 11 à l'ordre de l'armée du Ltt Maurice Marie Joseph Jules Petit, aviateur des Forces Françaises de l'Intérieur, en date du 14 janvier 1948 : "Engagé volontaire en 1915, officier aviateur, blessé en avion par un éclat d'obus. Chevalier de la Légion d'Honneur avec trois citations à l'ordre de l'armée, a été résistant de la première heure. Dès 1942, ayant contacté le FN, a collaboré à la rédaction de la Marseillaise. En 1942-1943, cache chez lui plusieurs chefs de la Résistance traqués sur la Gestapo, deux de ses résistants furent par la suite, furent fusillés. Ne cessant dans la clandestinité d'apporter le constant et périlleux de son activité inlassable, de son dévouement et de son intelligence. En 1943, dans les chantiers de la Lore, à St-Denis, le sabotage de trois moteurs destinés à la Marine Allemande. En avril 1944, choisi comme adjoint au commandant du secteur "Paris" du réseau Jean-marie, d'un courage tranquille, a donné en toutes circonstances de la plus grande maîtrise de soi. A été au PC un auxiliaire précieux donnant de sa personne en maintes circonstances."

Lettre envoyée par le Slt Jules Petit, observateur de l'escadrille BR 213 à son père, le 12 mai 1918 :
"Mes chers parents,
Je ne vous ai jamais présenté la chose comme une affaire faite. Je vous ai dit que j'irais peut-être faire un stage de perfectionnement de photo pour une spécialisation, mais rien n'est moins sûr. Ici pas grand travail pour moi tout au moins je fais uniquement de l'interprétation de photos, l'étude des photos des pièces tirant sur Parisq et d'ailleurs les plus passionnantes. Je m'ennuie à parler franc car je ne vole pas."

et brouillon d'un rapport consacré à la recherche des Paris Kanonen :
"Impression d'ensemble :
Les trois emplacements sont évacués.
Emplacement Alpha. On voit très nettement sur cet emplacement deux tronçons de voie ferrées entièrement libres. Non seulement la pièce n'est plus visible mais encore qui se trouvait en arrière du tube a complétement disparu. Aucun trou d'obus n'a été rebouché. Autour de la voie de droite, le sol est piétiné.
Emplacement Béta. Les deux voies sont là aussi visibles. A l'endroit prècis où, sur les photos antérieures, on distinguait la pièce, on ne voit plus rien. Or, on ne peut admettre qu'un camouflage ait été tendu au desus de la pièce car la lumière n'est accrochée par aucune partie saillante. On a l'impression d'un trou vide au milieu des arbres environnants. Quelques trous d'obus nouveaux dans la clairière visible dans le bois derrière la pièce.
Emplacement Gamma. Plus que jamais, on peut affirmer qu'il n'y a rien en gamma. La rame de wagons que l'on voyait dans les photos précédentes sur l'épi situé en 37.33 est disparue, le 10 mai."

Slt Pierre Nautet - Né le 12 avril 1887 à Navarreux (Basse-Pyrénéees) - Fils d'Auguste Nautet et de Françoise Salanbert - Service militaire au 14ème régiment d'artillerie à cheval à compter du 6 octobre 1908 - Mobilisé dans la même unité, le 2 août 1914 - Brevet de pilote militaire n° 421 obtenu le 16 février 1914 - Pilote de l'escadrille BL 18 du 2ème trimestre 1914 au 27 août 1914 - Nommé Adjudant, le 20 mars 1915 - Pilote de l'escadrille C 28 du 2 février au 26 octobre 1915 - Détaché à la RGA du 29 avril au 2 mai 1915 - Détaché à la RGA du 26 octobre 1915 au 18 janvier 1916 - Evacué sur l'hôpital complémentaire de Rennes, à compter du 26 octobre 1915 - Pilote de l'escadrille C 34 du 18 janvier au 18 juin 1916 - GDE à compter du 18 juin 1916 - Convoyage d'un Caudron R 4 du 28 au 31 juillet 1916 - Détaché à l'escadrille MF 16 du 7 au 11 août 1916 - Pilote de la RGA du 11 au 13 août 1916 - Convoyage d'un Caudron R 4 de la GDE du 13 au 20 août 1916 - Pilote de l'escadrille MF 52 du 24 août au 25 décembre 1916 - Pilote de l'escadrille R 213 du 25 décembre 1916 au 2 février 1919 - Nommé sous-lieutenant à titre temporaire, le 23 mars 1918 - En subsistance à l'escadrille R 207 du 1er au 5 novembre 1918 - Affecté au Parc 117 à compter du 2 février 1919 - Médaille Militaire - Croix de Guerre - 2 citation à l'ordre de l'armée.

MdL Clément Paul Noger - Né le 1er mars 1891 au 9, rue Mian à Béziers (Hérault) - Fils de Julien Joseph Noger (peintre) et de Marie Julie Vernhes - Domiciliés au 32, rue du Coq à Béziers (Hérault) - Profession avant guerre Employé de commerce / Comptable - Classe 1911 - Recrutement de Béziers (Hérault) sous le matricule n° 1244 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 56ème régiment d'artillerie de campagne, le 9 octobre 1912 - Nommé Brigadier, le 8 octobre 1913 - Toujours dans cette unité lors de la mobilisation générale, du 1er août 1914 - Nommé Maréchal des Logis, le 27 janvier 1915 - Affecté au 9ème régiment d'artillerie, le 15 avril 1916 - Citation n° 4 à l'ordre de la 31ème brigade, en date du 12 mars 1917 - Croix de Guerre et ctation n° 233 à l'ordre du 16ème corps d'armée, en date du 13 avril 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 26 juin 1917 - Formation théorique à l'école d'aviation militaire de Dijon-Longvic - Brevet de pilote militaire n° 8842 obtenu à l'école d'aviation militaire de Juvisy, le 23 septembre 1917 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord - Affectation probable comme moniteur à l'école d'aviation militaire d'avord, jusqu'au 21 février 1918 - Pilote en stage au GDE du 21 février au 18 mai 1918 - Lâché sur Salmson 2A2, le 28 février 1918 - Lâché sur Breguet 14A2, le 21 mars 1918 - Pilote de l'escadrille BR 35 du 18 mai 1918 au 13 juin 1919 - Détaché sur le terrain d'aviation de Suzay du 7 au 11 juin 1918 - Détaché du 19 au 27 juin 1918 - Nommé Adjudant, le 5 décembre 1918 - Marié avec Mlle Jeanne Laurent domiciliée à Saint-Just-d'Ardèche (Ardèche) en 1919 - Démobilisé, le 23 août 1919 - Domicilié au 32, rue du Coq à Béziers (Hérault), à compter du 23 août 1919 - Médaille Militaire, en date du 16 juin 1920 - Rengagé pour deux ans au titre du 2ème régiment d'aviation de chasse de Strasbourg-Neuhof, à compter du 24 septembre 1921 - Rengagé pour deux ans au titre du 36ème groupe d'aviation d'observation de Pau, à compter du 24 septembre 1924 - Affecté au 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique, le 2 mars 1925 - Affecté au 35ème régiment d'aviation, le 16 décembre 1925 - Désigné pour effectuer un tour d'opérations en théatre d'opérations extérieures (TOE), le 7 avril 1924 - A refusé, par écrit, de souscrire un nouveau contrat lui permettant d'accomplir un séjour de deux ans en TOE - Nommé Adjudant-Chef, le 9 janvier 1926 - Demande d'engagement de 3 ans refusé par le conseil du 35ème régiment d'aviation, le 11 septembre 1926 - Rengagé pour six mois, au titre du 35ème régiment d'aviation, à compter du 24 septembre 1926 - Affecté, au titre du 37ème régiment d'aviation du 5 novembre 1926 au 31 octobre 1929 - Admis dans le corps des sous-officiers de carrière comme mécanicien, le 10 mai 1928 - Affecté à la 1ère escadre aérienne d'Algérie, le 5 septembre 1935 - Nommé Sous-lieutenant du corps des officiers mécaniciens, le 21 septembre 1935 - Nommé Lieutenant, le 15 septembre 1937 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 21 juin 1939 - Admis à la retraite, le 20 septembre 1940 - Nommé Lieutenant de réserve du corps des officiers mécaniciens, le 20 septembre 1940 - Nommé Capitaine, le 21 septembre 1940 - En poste à la base de Blida (Algérie) en 1940 - Décédé à St-Just-d'Ardéche (Ardèche) , le 29 octobre 1960 - Photo Collection David Amberg / La tranchée de Chattancourt que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 200) de la ville de Béziers (Hérault) - Pam - CCC de l'escadrille BR 35 - Fiche matricule conservée aux archives départementales de l'Hérault - JORF - Liste des brevets militaires - Journal La Dépêche - Journal Le Patriote des Pyrénées - Dernière mise à jour : 27 novembre 2022.

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Clément Paul Noger, en date du 1er juillet 1939 : "26 ans de services, 11 campagnes, 3 citations, 4 ans de bonifications pour services aériens, 47 annuités. Médaillé militaire du 16 juin 1920."

 

Les avions

Caudron R IV n° 1671 codé "2" de l'escadrille R 213 au début 1917 - Photo collection Albin Denis.

Une autre photo du Caudron R IV n° 1671 codé "2" de l'escadrille R 213 au début 1917 - Photo collection Eric Gonin que je remercie pour son aide.

Caudron R IV codé "5" de l'escadrille R 213 sur le terrain du Plessis-Belleville, en septembre 1917- Remarquez le premier insigne de l'unité, le chardon associé à une devise en vieux français "Oncque s'y frotte" - Photo famille Talenton que je remercie pour son aide.

Breguet 14 A2 n° 734 de l'escadrille BR 213 au décollage du terrain de Saconin-Breuil au début 1918 - Cet avion porte la dérive rouge associée à la tête de lama ainsi que la bande tricolore noir / jaune / noir - Photo famille Detraz que je remercie pour son aide.

Breguet 14 A2 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil au début 1918 - Photo famille Detraz que je remercie pour son aide.

Sgt Fabien Louis Lambert pose devant son Breguet 14A2 décoré d'un superbe insigne personnel, "Daisy" probablement le surnom de sa fiancée - Pilote de l'escadrille R 213 / BR 213 du 23 septembre 1917 au 10 avril 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 62 du 10 avril au 27 juillet 1918 - Photo transmise par Jean-Michel Téron, son petit-fils, que je remercie pour son aide.

Le MdL Clément Noger, pilote de l'escadrille BR 35 du 18 mai 1918 au 13 juin 1919, photographié dans le poste de l'observateur d'un Breguet 14 A2 de l'escadrille BR 213 - Cette escadrille a été dissoute sur le terrain de Lyon-Bron, le 5 juillet 1919 - Le goéland en vol est le 3ème et dernier insigne adopté par cette unité - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Collection David Amberg / La tranchée de Chattancourt que je remercie pour son aide.

Les avions

Carte montrant les reconnaissances photos effectuées par les escadrilles SPA 62, SPA 213 pour le compte de l'aéronautique de la 6ème armée, le 25 janvier 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Maurice Petit transmise par Jean-Pierre Petit, son fils, que je remercie pour son aide.

Breguet 14 A2 n° 2505 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil au début 1918 - L'escadrille BR 213, qui a perçu ses Breguet 14A2 au début 1918, a stationné sur ce terrain du 9 janvier au 28 mars 1918 - Remarquez la présence de deux insignes personnels - Sur la dérive, un cor de chasse probablement l'insigne personnel d'un pilote issu d'un régiment de Chasseurs - Il est associé au coq de combat (dit de Boutin) sur le fuselage, souvenir des missions sur les "Paris Kanonen" quand les observateurs d'armée de la SPA 62 dirigèrent les tirs de contre-batteries de l'artillerie lourde française à partir de ces avions de la BR 213 - A cette époque, la SPA 62 disposait de SPAD XI, dont le moteur avait été jugé pas assez fiable pour les missions demandées - La bande tricolore a été héritée des SPAD VII et XI de la SPA 62 - Photo M. Borderelle que je remercie pour son aide.

Breguet 14 A2 n° 734 de l'escadrille BR 213 sur le terrain de la ferme St-Amand à Saconin-Breuil, en début 1918 - L'escadrille BR 213 a stationné sur ce terrain du 9 janvier au 28 mars 1918 - Remarquez la bande tricolore noir/jaune/noir associée à la tête de Lama peinte sur un fond rouge - Cet insigne a été choisi par le Cne Victor Guichard pour rappeler les liens qu'il avait avec l'Argentine - Photo M. Borderelle que je remercie pour son aide.

Breguet 14 A2 n° 77X de l'escadrille BR 213 sur le terrain de St-Amand à Saconin-Breuil, au début 1918 - Photo famille Detraz que je remercie pour son aide.

Caudron R XI codé "5" accidenté sur le terrain de Matouges (51), le 1er août 1918 - Les trois membres d'équipage, l'Adj Lucien Blanchet de Beuvraines (pilote) - le Sgt François Allombert (mitrailleur) - le Sol Robert Carrelet (mitrailleur), ont été tués - Photo Paul Gabriel Rigot transmise par la famille Chefd'homme que je remercie pour son aide.

Caudron R XI codé "5" accidenté sur le terrain de Matouges (51), le 1er août 1918 - Les trois membres d'équipage, l'Adj Lucien Blanchet de Beuvraines (pilote) - le Sgt François Allombert (mitrailleur) - le Sol Robert Carrelet (mitrailleur), ont été tués - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Joseph Cavaignac transmise par François Cavaignac, son neveu, que je remercie pour son aide

Breguet 14 A2 de l'escadrille BR 213 pendant l'automne 1918 - Le Slt Maurice Petit, observateur, a été affecté à cette escadrille du 21 octobre 1917 au 26 mars 1919 - Remarquez l'intégralité des marquages en vigueur au sein de cette unité : le goéland en vol, adopté pendant la période de commandement du Cne Emille Pierrot et la bande tricolore noir / jaune / noir - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Maurice Petit transmise par Jean-Pierre Petit, son fils, que je remercie pour son aide.

 

Couleurs des avions

 

Couleurs des avions

Caudron R IV n° 1671 codé "2" de l'escadrille R 213 au début 1917 - Dessin David Méchin.

 

Photos aériennes prises
par les équipages

Photo aérienne montrant les 3 emplacements des "Paris Kanonen" dans la forêt de Saint-Gobain, le 11 avril 1918 - Les tirs de contre-batteries ne sont pas significatifs 19 jours après les premiers tirs sur la capitale - Photo collection M. Jacques Guely - Les Amis du Patrimoine de l'Armement de Bourges que je remercie pour leur aide précieuse.

 

Photos aériennes prises
par les équipages

Détail de la photo aérienne montrant un des emplacements des "Paris Kanonen" dans la forêt de Saint-Gobain, le 11 avril 1918 - Photo collection M. Jacques Guely - Les Amis du Patrimoine de l'Armement de Bourges que je remercie pour leur aide.

Détail de la photo aérienne montrant un des emplacements des "Paris Kanonen" dans la forêt de Saint-Gobain, le 11 avril 1918 - Photo collection M. Jacques Guely - Les Amis du Patrimoine de l'Armement de Bourges que je remercie pour leur aide.

Détail de la photo aérienne montrant un des emplacements des "Paris Kanonen" dans la forêt de Saint-Gobain, le 11 avril 1918 - Photo collection M. Jacques Guely - Les Amis du Patrimoine de l'Armement de Bourges que je remercie pour leur aide.

Photos aériennes prises
par les équipages

Photo aérienne verticale de l'entrée ouest du tunnel de Maure prise par un équipage de l'escadrille BR 213, le 5 octobre 1918 - Altitude de prise de vue 400 m - Focale de l'appareil de prise de vue 0,26 m - A cette date l'escadrille BR 213 était stationnée dur le terrain de Melette-L'Epine (Marne) - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photos droits réservés.

Photo aérienne verticale du tunnel de Maure prise par un équipage de l'escadrille BR 213, le 5 octobre 1918 - Altitude de prise de vue 400 m - Focale de l'appareil de prise de vue 0,26 m - A cette date l'escadrille BR 213 était stationnée dur le terrain de Melette-L'Epine (Marne) - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photos droits réservés.

Photo aérienne verticale de la Croix-St-Sulpice prise par un équipage de l'escadrille BR 213, le 5 octobre 1918 - Altitude de prise de vue 400 m - Focale de l'appareil de prise de vue 0,26 m - A cette date l'escadrille BR 213 était stationnée dur le terrain de Melette-L'Epine (Marne) - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photos droits réservés.

Photo aérienne verticale du bois U 71 prise par un équipage de l'escadrille BR 213, le 5 octobre 1918 - Altitude de prise de vue 400 m - Focale de l'appareil de prise de vue 0,26 m - A cette date l'escadrille BR 213 était stationnée dur le terrain de Melette-L'Epine (Marne) - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photos droits réservés.

 

Documents en rapport

Cadre souvenir du Slt Georges Joseph Charles Bazaine - Mitrailleur de l'escadrille R 213 / BR 213 du 30 janvier 1917 au 10 mars 1918 - Une victoire non homologuée ou probable contre un avion, le 29 mai 1917 - Brevet de pilote militaire n° 14.549 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Istres, le 12 juillet 1918 - Croix de Guerre avec deux étoile de bronze - Affecté au 1er régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz, le 30 juin 1920 - Médaille militaire, le 4 septembre 1920 - Affecté au 38ème régiment d'aviation mixte de Thionville-Basse-Yutz (Moselle) par changement de dénomination du régiment - Nommé Sous-lieutenant, le 1er octobre 1928 - Tué au cours d'un accident d'avion, aux commandes d'un Nieuport-Delage NiD-29, pendant les manoeuvres du camp de Mailly (Marne), le 30 juillet 1929 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, à titre posthume, en date du 9 novembre 1929 - Photo transmise par Mme Viviane Boquant-Bazaine, sa petite-fille que je remercie pour son aide.

 

Documents en rapport

Avis de décès de Maurice Petit, observateur de l'escadrille R 213 / BR 213 du 21 octobre 1917 au 26 mars 1919, décédé à St-Gratien (Val-d'Oise), le 30 juin 1971 - Après guerre, il était pharmacien et un grand résistant pendant la 2ème guerre mondiale - Ses obséques religieuses ont eu lieu en l'église Notre-Dame à Deuil-La-Barre, le 5 juillet 1971 - Il a été inhumé dans le caveau de la famille au cimetière de Deuil-La-Barre - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo archives du site Léonore de la Légion d'Honneur.

Carte d'identité militaire n° 4491 du Sgt Fabien Louis Lambert, pilote de l'escadrille R 213 / BR 213 du 23 septembre 1917 au 10 avril 1918, puis de l'escadrille SPA 62 du 10 avril au 27 juillet 1918 - Elle a été établie lors de son passage au GDE, avant son affection en escadrille - Photo transmise par Jean-Michel Téron, son petit-fils, que je remercie pour son aide.

 

Remerciements à :

- M. Borderelle pour l'envoi des photos des Breguet 14A2 de l'escadrille BR 213.
- La famille Detraz pour l'envoi des photos des Breguet 14A2 de l'escadrille BR 213.
- La famille Talanton pour l'envoi de la photo du Caudron R IV de l'escadrille R 213.
- L'ingénieur général de l'armement Jacques Guely pour l'envoi des photos des emplacements des "Paris Kanonen" dans la forêt de St-Gobain.
- au Général Pierre André Moreau, Directeur Général de la division des systèmes d'armes et munitions.
- aux Amis du Patrimoine de l'Armement de Bourges pour la mise à disposition de l'album consacré au "Paris Kanonen".
- la famille Chefd'homme pour la transmission des archives de Paul Gabriel Rigot.
- M. Eric Gonin pour l'envoi de la photo du Caudron R IV n° 1671.
- M. Jean-Michel Téron pour l'envoi des photos de Fabien Lambert, son grand-père.
- M. François Cavaignac pour l'envoi des archives de Joseph Cavaignac, son oncle.
- M. Jean-Pierre Petit pour l'envoi des archives de Maurice Petit, son fils.
- M. François Guichard pour la transmission de la photo de Victor Guichard, son grand-père.
- Mme Viviane Boquant-Bazaine pour la transmission des souvenirs de Georges Bazaine, son grand-père.
- M. David Amberg / La Tranchée de Chattancourt pour l'envoi des photos du MdL Clément Noger.

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire 1912 à l'Armée de l'Air 1976 par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien
- Site Internet La Tranchée de Chattancourt de David Ambert - Voir le lien

 

Si vous avez des documents écrits ou photographiques pouvant compléter les données de cette page, veuillez contacter l'auteur du site.

Escadrille 214 Escadrille 212

 

 

pas de fiche > 1918

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