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Insignes collectifs
de l'escadrille BR 224

Insigne de l'escadrille BR 224 - Il a été choisi par le Cne Paul-Louis Weiller, commandant de l'unité du 5 septembre 1917 au 23 juillet 1918 - Il représente un canard faisant la chasse à un papillon portant la croix de fer - Il a été dessiné par Jacques Nam - Il s'agit de l'évocation du lourd Breguet XIV B2 donnant la chasse aux Fokker Dr I et D VII, beaucoup plus légers - Dessin Albin Denis.

Symbolique

 

 

Historique succinct

 

 

Insignes individuels
de l'escadrille BR 224

 

 

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille BR 224

 

 

Appellations successives

Lieux de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Rattachements de l'escadrille

 

Batailles et missions importantes
de l'escadrille BR 224

 

 

Commandants de l'escadrille

 

Décorations

 

 

Personnel de l'escadrille BR 224

A venir

Types d'avions utilisés

 

 

Numéros des avions connus


 

Morts: en rouge / Blessés et indemnes : en jaune

 

 

 

Les hommes

Adj Jean Arcaute - Né le 5 août 1890 au 47, rue de Révol à Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques) - Fils de Jean-Pierre Arcaute (marchand de vins) et de Jeanne Saradar (ménagère) - Profession avant guerre aide-contremaître dans une tannerie - Classe 1910 - Recrutement de Pau (Pyrénées-Atlantiques) sous le matricule n° 1211 - A bénéficié d'un sursis pour l'année 1911 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 1er groupe d'aéronautique de Lyon-Bron, le 10 octobre 1912 - Nommé Caporal, le 11 novembre 1913 - Affecté au 1er groupe d'aviation, le 28 novembre 1913 - Remis au grade de soldat de 2ème classe, sur sa demande, le 29 septembre 1914 - Affecté comme mécanicien au 3ème groupe à l'école d'aviation militaire de Pau - Affecté comme mécanicien à l'école d'aviation militaire de Dijon - Mécanicien de l'escadrille BL 10 - Mécanicien affecté au CRP - Envoyé à l'école d'aviation de Pau pour effectuer sa formation élémentaire d'élève pilote - Brevet de pilote militaire n° 1851 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 23 octobre 1915 - Pilote de l'escadrille C 89 / C 389 du front d'Orient (future escadrille 505) du 22 novembre 1915 au (après le 4ème trimestre 1916) - Nommé Caporal, le 2 mars 1916 - En décollant de Salonique, a rejoint la capitale roumaine, Bucarest, via Sofia en survolant les lignes ennemies, pour y porter des ordres, soit un périple de 1150 km dont 800 km sur les territoires occupés par l'ennemi - A été décoré de la Vertu militaire roumaine - Citation à l'ordre de l'aéronautique en juin 1916 - En subsistance au Parc d'aviation du 1er juillet au 2 août 1916 - Nommé Sergent, le 1er juillet 1916 - Citation à l'ordre de l'armée en septembre 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 octobre 1916 - En subsistance au parc d'aviation, le 1er novembre 1916 - En convalescence jusqu'au 4 septembre 1917 - Pilote du GDE du 4 au 21 septembre 1917 - Pilote de l'escadrille C 224 / BR 224 du 21 septembre 1917 au 22 novembre 1918 - Nommé Adjudant, le 21 septembre 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 6 février 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 mai 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, le 20 septembre 1918 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, le 9 octobre 1918 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 17 novembre 1918 - Médaille de la bravoure de Belgique - Pilote de l'escadrille BR 231 du 26 novembre 1918 au 2 mars 1919 - Pilote de l'escadrille BR 35 du 2 mars au 1er juillet 1919 - En mission du 16 au 25 avril 1919 - Démobilisé, le 23 août 1919 - Pilote d'essai de la Société d'aviation SIA - Domicilié à la maison SIA à Angers (Maine-et-Loire), à compter du 23 août 1919 - Domicilié au 48, faubourg Poissonnière à Paris (75), à compter du 29 novembre 1919 - Affecté, dans la réserve, au 31ème régiment d'aviation d'observation, le 25 mai 1921 - A effectué une période de réserve au 31ème régiment d'aviation du 12 au 26 septembre 1921 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre définitif, le 18 novembre 1922 - Pilote de la société Latécoère à Toulouse (Haute-Garonne) - A été un des premiers pilotes a réaliser le trajet Toulouse-Casablanca - Sera plus tard chef des centres de Dakar, Bron et Bordeaux - Affecté, dans la réserve, au 36ème groupe d'aviation de Pau, le 1er avril 1923 - Nommé Lieutenant de réserve, le 9 octobre 1924 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 8 novembre 1926 - A effectué une période de réserve au 36ème groupe d'aviation du 1er au 15 mars 1928 - A effectué une période de réserve supplémentaire au 36ème groupe d'aviation du 2 au 16 avril 1929 - A effectué une période de réserve au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 1er au 15 octobre 1930 - Placé en "Affectation spéciale" au titre du gouvernement militaire de Paris, le 23 décembre 1930 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 26 juin au 1er juillet 1931 et 5 au 13 juillet 1931 - Nommé Capitaine, le 25 décembre 1931 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 12 au 26 septembre 1932 - Rayé de l'affectation spéciale et réintégré au centre de mobilisation d'aviation n° 71, le 17 décembre 1932 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 1er au 6 septembre 1933 - S'est entrainé et a réalisé 10h35 de vol au centre des réserves d'Orly en 1934 - A conçu un estimateur de vitesse et une grille de dérive pour régler les problèmes posés par la navigation à l'estime - Domicilié à San Mardi Viléo à Praia dans les Iles du Cap Vert Calseta, à compter du 30 mars 1935 - Proposé pour le maintien dans les cadre avec pension d'invalidité temporaire de 10 % pour séquelles de paludisme avec insuffissance hépatique par la commission de réforme de Bordeaux (Gironde), le 8 octobre 1936 - Pension temporaire de 10 % accordée du 8 octobre 1936 au 7 octobre 1938 - A accompli une période d'exercices volontaire à la 101ème escadre du 27 janvier au 15 février 1936 - Affecté à la base aérienne de Toulouse-Francazal, le 1er décembre 1936 - Classé comme "Cadre navigant pilote", le 2 février 1937 - Croix de 3ème classe des services aériens volontaires, le 21 avril 1937 - Grade d'officier de la Légion d'Honneur, en date du 7 mai 1937 - Nommé Commandant de réserve, le 9 juin 1937 - A effecté une période d'exercices volontaires à la 23ème escadre du 19 au 27 mai et du 16 au 21 juin 1937 - Maintenu dans le cadre navigants des officiers de réserve de l'Air, le 25 novembre 1937 - Décédé à Pau, le 29 avril 1938 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 123) de la ville d'Oloron-Ste-Marie (Pyrénées-Atlantiques) - Pam - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales des Pyrénées-Atlantiques - CCC de l'escadrille C 89 / C 389 / 505 - CCC de l'escadrille C 224 / BR 224 - CCC de l'escadrille BR 231 - CCC de l'escadrille BR 35 - JORF - Journal "Le Patriote des Pyrénées" - Journal "Les Jeunes" - Revue "Les Ailes" - Dernière mise à jour : 14 janvier 2022.

* Citation à l'ordre de l'armée du Sgt Jean Arcaute, pilote à l'escadrille C 389, en date du 7 octobre 1916 : "Pilote de premier ordre. Bravoure et conscience au-dessus de tout éloge. A exécuté en Orient de nombreuses reconnaissances à l'intérieur des lignes ennemies et contribué à établir la plupart des photographies des organisations défensives bulgares sur le front de (censuré). Nombreux bombardements dont plusieurs difficiles et à grande distance."

* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, en date du 6 février 1918 : "Pilote des plus hardis, faisant sans cesse preuve de la plus merveilleuse bravoure en exécutant de nombreuses reconnaissances photographiques à longue portée. Entre autres le (censuré) où il en a exécuté deux très éloignées le même jour. Le (censuré), ayant eu son avion criblé d'éclats d'obus tout autour de lui, au passage des lignes, n'en termina pas moins sa mission poussant loin en territoire ennemi et en rapportant les plus remarquables renseignements photographiques."

* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, en date du 7 mai 1918 : "Pilote photographe hors de pair, modèle d'audace et h'abileté. A exécuté jusqu'à deux fois par jour, dans un secteur très dangereux, des missions éloignées, et a rapporté chaque fois de précieux renseignements malgré les combats violents qu'il dut livrer aux patrouilles ennemies."

* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, le 9 octobre 1918 : "Pilote photographe hors de pair, modèle d'audace et d'habileté. A exécuté jusqu'à deux fois par jour, dans un secteur très dangereux, des missions éloignées, et a rapporté chaque fois de précieux renseignements, malgré les combats violents qu'il dut livrer aux patrouilles ennemies."

* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, le 20 septembre 1918 : "pilote photographe, spécialiste des missions éloignées et des grands raids accomplis parfois, à plus de 100 kilomètres chez l'ennemi. A donné au cours de leur exécution les plus magnifiques preuves d'énergie et de courage. Le 28 juin, au cours d'une reconnaissance, a tenu tête à 4 avions ennemis et, manœuvrant avec le plus grand sang-froid, a permis à son observateur d'en abattre un dans ses lignes. Une blessure. Cinq citations."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Jean Arcaute, pilote au 36ème groupe d'aviation, en date du 8 novembre 1926 : "13 ans de services, 5 campagnes. A accompli une période d'entrainement aérien volontaire. A été blessé et cité."

* Grade d'officier de la Légion d'Honneur du Cne Jean Arcaute, en date du 7 mai 1937 : "24 ans de services, 4 campagnes. A été blessé et cité. Chevalier de la Légion d'Honneur du 8 novembre 1926. A accompli dix périodes d'entrainements aérien volontaires."

Remise des décorations aux Sgt Alfred Motte (pilote de la section d'artillerie lourde C 224), Brig Louis Bellanger, Slt Georges Madon (pilote de l'escadrille SPA 38) sur le terrain de Bonne-Maison, près de Fismes (Marne), le 14 juillet 1917 - Les avions en arrière plan sont les Dorand AR 1 de l'escadrille AR 52 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo collection Michel Julien que je remercie pour son aide.

 

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Les hommes

Adj Gustave Naudin - Né le 29 mai 1890 à Corberon (Côte-d'Or) - Fils de Claude Naudin (marchand de chiffons) et d'Eugénie Sergent - Avant guerre comptable - Marié avec Mlle Marthe Dameron et domiciliés au 13, rue de Chateau d'Eau à Paris 10ème (75) - Classe 1910 - Recrutement de Auxonne (Côte-d'Or) sous le matricule n° 815 - Engagé volontaire pour quatre ans au titre du 8ème régiment de Hussards, le 13 mars 1909 - Nommé Hussard de 1ère classe, le 15 mars 1911 - Nommé Brigadier, le 12 mars 1913 - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité, le 13 avril 1913 - Affecté, dans la réserve, au 16ème régiment de Chasseurs à cheval caserné à Beaune (Côte-d'Or), le 13 avril 1913 - Domicilié au 13, rue du Château d'Eau à Paris 10ème (75), à compter du 9 juin 1913 - Rappelé à l'activité au 16ème régiment de chasseurs à cheval par la mobilisation générale, le 4 août 1914 - Nommé Maréchal des Logis, le 17 mars 1915 - Parti comme éclaireur au 408ème régiment d'infanterie, le 18 mars 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 7 mars 1916 - Formation militaire et théorique à l'école de Dijon-Longvic - Détaché à l'école d'aviation militaire du Crotoy pour formation élémentaire au pilotage, le 19 mai 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4818 obtenu à l'école du Crotoy, le 22 octobre 1916 - Marié avec Mlle Marie Marthe Danneron en mairie de Paris 10ème (75), le 23 novembre 1916 - Stage perfectionnement à l'école de Châteauroux du 24 octobre au 1er décembre 1916 - Pilote du GDE du 1er décembre 1916 au 5 février 1917 - Pilote de l'escadrille C 224 comme pilote de Caudron G 4 du 5 février au 6 octobre 1917 - Citation à l'ordre du corps d'armée, en date du 14 juin 1917 - Blessé par un éclat d'obus à la jambe, le 12 juillet 1917 - Nommé Adjudant, le 25 juillet 1917 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 13 août 1917 - Stage sur avions Nieuport au GDE du 6 octobre au 16 novembre 1917 - Laché sur avions Nieuport, le 14 octobre 1917 - Pilote de l'escadrille SPA 26 du 16 novembre 1917 au 3 novembre 1918 - En mission du 5 au 7 mars 1918 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation n° 11.130 à l'ordre de l'armée, le 8 mars 1918 - Citation n° 54 à l'ordre de la 1ère armée, en date du 21 juin 1918 - Citation n° 58 à l'ordre de la 1ère armée, en date du 29 juin 1918 - Citation n° 71 à l'ordre de l'armée, en date du 16 juillet 1918 - Citation à l'ordre de l'aéronautique de la 1ère armée, en date du 11 août 1918 - Nommé Adjudant-chef, le 20 août 1918 - Blessé au combat par une balle au pied droit, le 29 septembre 1918 - Hospitalisé à partir du 30 septembre 1918 - Cinq victoires homologuées et 11 non homologuées pendant la Grande Guerre - Réformé temporaire et proposé pour une pension d'invalidité de 20 % pour résection du 1er métatarsien avec gros orteil ballant et raideur des 4 derniers doigts par la 6ème commission de réforme de la Seine, le 30 décembre 1919 - Pension d'invalidité temporaire de 25 % pour pied droit, attitude vicieuse des 1er et 2ème orteils, gros orteil demi-ballant par la 1ère commission de réforme de la Seine, le 30 novembre 1920 - Affecté en service auxiliaire au 16ème régiment de Chasseurs - Pension d'invalidité de 25 % pour ablation du 1er métatarsien, du pied avec gros orteil semi-ballant en retrait de 2 cm et demi et immobilisation des 4 derniers orteils en flexion par la commission de réforme de Limoges, le 31 août 1921 - Maintenu service auxiliaire et pension d'invalidité de 25 % par la 3ème commission de réforme de la Seine, le 12 décembre 1923 - Réformé définitivement n° 1 et pension permanente de 60 % par désarticulation du 1er métatarsien droit, désarticulation des orteils 2, 3, 4 et 5 par la 3ème commission de réforme de la Seine, le 30 mars 1925 - Une pension de 638 francs avec jouissance du 30 décembre 1923 - Une pension de 1530 francs avec jouissance du 30 mars 1925 - Profession après guerre Industriel - Domicilié au 23, boulevard Foch à Rueil-Malmaison, à compter du 15 juillet 1936 - Réformé définitivement avec pension définitive de 80 % pour perte de tous les orteils du pied droit et du 1er métatarsien, moignon très douloureu et douleurs irradiées à tout le pied avec grosse gêne de la marche et du port de la chaussure par le 1er bueau de la commission de réforme de la Seine, en date du 29 décembre 1937 - Engagé volontaire pour la durée de la guerre au titre du bataillon de l'air n° 110, en date du 14 décembre 1939 - Admis dans le personnel non navigant en qualité d'adjudant-chef non breveté, non spécialisé - Affecté à la 1ère compagnie du bataillon de l'air n° 110, le 20 décembre 1939 - Nommé sous-lieutenant de réserve, le 15 mars 1940 - Affecté à la base aérienne 117 (détachement d'Amboise), le 14 mai 1940 - Démobilisé, le 19 mai 1940 - Se retire à Jauze - A servi dans les forces françaises de l'Intérieur au maquis FFI du maquis de Verneuil 31/2 brigade de l'Yonne du 24 août au 4 septembre 1944 - Engagé volontaire pour la durée de la guerre au titre du 1er régiment du Morvan, le 1er octobre 1944 - Nommé Capitaine à titre honoraire, le 19 septembre 1944 - Affecté au 1ermars 1945 - Chef de l'organe liquidateur des régiments du Morvan et de Franche-Comté, à compter du 15 mars 1945 - Rayé des contrôles des réserves, le 29 mai 1945 - Démobilisé par la compagnie 101/8 train, le 3 novembre 1945 - Domicilié à Four-par-Epoisses (Côte-d'Or) - Décédé à Roeschwood (Bas-Rhin), le 16 avril 1978 - Gustave Naudin repose dans le cimetière communal de Roeschwoog (Bas-Rhin) - Photo collection Mathieu Marnay que je remercie pour son aide - Sources : Registre des naissances de la commune de Corbenon (Côte-d'Or) - Pam (2 fiches) - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Côte-d'Or - CCC de l'escadrille C 224 - CCC de l'escadrille N 26 / SPA 26 - Dernière mise à jour : 19 janvier 2020.

* Citation n° 237 à l'ordre de l'armée, en date du 14 juin 1917 : "Excellent pilote d'un entrain, d'une endurance et d'une bravoure remarquables. le 16 avril 1917, a survolé à deux reprises, avec un appareil lent et à moins de 300 mètres d'altitude la région des objectifs d'artillerie lourde pour permettre à son observateur de parler au commandement des renseignements précieux. Rentré de sa mission avec un avion fortement atteint par des balles d'infanterie. Le 5 mai 1917, au cours d'un vol de réglage, a attaqué un convoi qui défilait sur une route à l'intérieur des lignes ennemies."

* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 13 août 1917 : "Pilote dont l'entrain, l'habileté, le courage et le mépris du danger font l'admiration de tous. Le 12 juillet 1917, a résolument attaqué un groupe de trois avions qui évolutait dans ses lignes et est parvenu à abattre un de ses adversaires. Parti une deuxième fois le même jour pour effectuer un réglage. A été blessé par un éclat d'obus, alors qu'il accomplissait bravement sa mission en dépit d'un violent bombardement. Déjà cité à l'ordre."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation n° 11.130 à l'ordre de l'armée, le 8 mars 1918 : "Merveilleux pilote de chasse d'une énergie inlassable. A conduit quotidiennement pendant les six derniers mois de bataille, sa patrouille au combat. A lui-même abattu 6 avions ennemis. A été blessé très grièvement le 29 septembre 1918 en mitraillant à 50 mètres du sol un convoi ennemi en retraite."

* Citation n° 54 à l'ordre de la 1ère armée, en date du 21 juin 1918 : "Très bon pilote qui a continué à servir dans la chasse avec (illisible) dont il avait fait preuve dans le corps d'armée. Le 20 mai 1918, a abattu un avion ennemi après un des combats où il avait eu son avion criblé de balles.

* Citation n° 58 à l'ordre de la 1ère armée, en date du 29 juin 1918 : "Excellent pilote de chasse. A dégagé plusieurs des ses cammarades en se portant à l'attaque d'avions ennemis, bien qu'ayant sa mitrailleuse enrayée Le 11 juin 1918, a abattu son troisième ennemi."

* Citation n° 71 à l'ordre de l'armée, en date du 16 juillet 1918 : "Excellent pilote se révélant chaque jour comme un chasseur émérite. Le 28 juin 1918, a abattu un avion en flammes dans nos lignes. Quatrième avion abattu par ce pilote."

* Citation à l'ordre de l'aéronautique de la 1ère armée, en date du 11 août 1918 : "Excellent pilote d'une énergie inlassable, véritable entraineur pour les jeunes pilotes arrivant à l'escadrille. Le 31 juillet 1918, a abattu avec sa patrouille son 5ème avion ennemi."

Slt Marie Jean Ambroise Gabriel Fieux - Né le 1er septembre 1893 à Saint-Lary (Gers) - Fils d'Henri Fieux (cultivateur) et de Julia Gabrielle - Classe 1913 - Recrutement de Auch (Gers) sous le matricule n° 19 - Engagé volontaire pour trois ans au 83ème régiment d'infanterie, le 12 octobre 1911 - Nommé Caporal, le 26 septembre 1912 - Nommé Sergent, le 21 septembre 1913 - Toujours au 83ème régiment d'infanterie, lors de la mobilisation générale, du 2 août 1914 - A participé aux batailles de Charleroi, de Champagne et de Perthe-les-Herlus - Nommé Adjudant, le 25 décembre 1914 - A participé à la bataille de Carency de 1915 - Nommé Sous-lieutenant d'active, à titre temporaire, le 4 février 1915 - Atteint de fièvre paratyphoïdique, le 24 janvier 1916 - Affecté au 88ème régiment d'infanterie, le 10 février 1917 - Bataille d'Arras en mai 1917 - Nommé Lieutenant à titre temporaire, le 11 août 1917 - Affecté au 73ème régiment d'infanterie, le 21 septembre 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 24 mars 1918 - En stage observateur au centre d'instruction de l'aviation d'observation de Sommesous du 24 mars 1918 au 23 avril 1918 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 23 avril au 3 mai 1918 - Observateur de la SAL 39 du 3 mai au 13 juin 1918 - Observateur de la BR 238 du 13 juin 1918 au 26 avril 1919 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 22 octobre 1918 - Bataille des Flandres - Titularisé observateur, le 12 décembre 1918 - Pilote de l'escadrille BR 224 du 30 avril au 13 décembre 1919 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du XXX - Affecté au 54ème régiment d'infanterie, le 14 janvier 1920 - Affecté au 4ème régiment d'aviation d'observation, le 4 juin 1920 - Affecté au 34ème régiment d'aviation, le 1er août 1920 - Marié avec Louise Françoise Simone Pollard, le 9 août 1920 - Participe aux manoeuvres de 1920 - 1921 - 1922 et 1923 comme pilote observateur - Affecté au 1er régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz (Moselle), encadrement du 31ème régiment d'aviation, le 23 novembre 1923 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 29 décembre 1923 - Affecté au 38ème régiment d'aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz, le 1er janvier 1924 - Détaché comme surveillant de l'instruction des boursiers de pilotage à l'école civile d'aviation Caudron du Crotoy (Somme), le 10 janvier 1924 - Cumule 820 heures de vol, à la date du 22 mai 1924 - Chevalier de la Légion d'Honneur, le 9 juillet 1924 - Affecté au 34ème régiment d'aviation, le 22 juin 1925 - Détaché au service de la préparation préliminaire technique de l'état-major de la 1ère brigade d'aéronautique, le 6 juillet 1928 - Médaille de Bronze de l'éducation physique et des sports, le 7 mai 1929 - Nommé Chef de bataillon, le 22 mars 1932 - Affecté à l'aéronautique de l'Indochine - Embarqué à Marseille (Bouches-du-Rhône), le 30 mars 1932 - Débarqué en Indochine, le 5 mai 1932 - Commandant le groupe d'aviation de Cochinchine à Bien Hoa - Au Tonkin du 5 mai 1932 au 24 juillet 1933 - En Cochinchine du 25 juillet 1933 au 25 mai 1935 - Officier de la Légion d'Honneur, le 23 décembre 1933 - Embarqué à Saïgon et débarqué à Marseille, le 20 juin 1935 - A bénéficié d'un congé de fin de campagne de 4 mois et 14 jours - Affecté à l'école militaire et d'application de l'armée de l'Air de Versailles, le 9 novembre 1935 - Nommé Lieutenant-Colonel, le 15 juin 1937 - Affecté à l'état-major du général inspecteur général des forces aériennes des théatres d'opérations terrestres et des réserves de l'air, le 1er avril 1938 - Affecté au quartier général de la zone d'opérations aériennes Sud - Commandeur de la Légion d'Honneur, le 21 juin 1939 - Affecté à l'inspection de renseignement et des réserves de l'armée de l'Air - Nommé Colonel, le 2 septembre 1939 - Nommé Général de brigade aérienne - Décédé, le 17 janvier 1964 - A légué aux orphelins apprentis d'Auteuil, une propriété, qui sera transformée en colonie de vacances, à Lestangue - Gabriel Fieux repose dans le cimetière communal de Castillon-Massas (Gers) - Photo transmise par Nicolas Dubois que je remercie pour son aide - Sources : Acte de naissance - CCC escadrille 39 - CCC escadrille 238 - Fiche matricule conservée aux archives départementales du Gers - LO - JORF - Dernière mise à jour : 2 novembre 2014.

* Croix de Guerre avec étoile d'argent et citation n° 73 à l'ordre de la division, en date du 13 février 1916 : "Excellent officier de campagne depuis le début, modeste autant que brave, sollicite en toutes occasions les missions les plus périlleuses, est un exemple parfait pour sa troupe qu'il a conduit fréquemment à l'assaut particulièrement aux attaques de décembre 1914."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Gabriel Ambroise Fieux, observateur et commandant de l'escadrille BR 238, en date du XXX : "Observateur de valeur, pilote de premier ordre, volant de jour comme de nuit, chef d'escadrille ne méritant à tous points de vue que des éloges."

* Commandeur de la Légion d'Honneur du Lieutenant-colonel Marie Jean Ambroise Gabriel Fieux, en date du 21 juin 1939 : "27 ans de services, 9 campagnes, 2 citations, 33 ans de bonifications pour services aériens, 71 annuités. Officier de la Légion d'Honneur du 23 décembre 1933."

 

Les avions

Breguet 14 A2 codé "9" modifié en monoplace "photo" au sein de l'escadrille BR 224 - La place arrière de l'observateur / mitrailleur a été remplacée par une installation photo automatique - Remarquez la plaque de blindage destinée à protéger le dos et la tête du pilote en cas d'attaque arrière - Les chiffres code sont en grande taille et les avions de l'escadrillle identifiés par une large bande bicolore - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.

Les deux membres d'équipage posent, en compganie de trois camarades, devant le Breguet 14A2 codé "3" de l'escadrille BR 224 - On retrouve le large chiffre code (légèrement visible derrière le pilote), la large bande bicolore et l'insigne au canard poursuivant un papillon - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.

Six aviateurs de l'escadrille BR 224 posent devant le même Breguet 14A2 codé "3" - Remarquez la mitrailleuse Vickers fixée au côté gauche de la carlingue et synchronisée avec le fonctionnement de l'hélice - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.

Les avions

Breguet 14 A2 codé "9" appartenant à l'escadrille BR 224, le 22 juin 1919 - A cette époque, l'unité était stationnée sur le terrain de Mayence-Gonsenheim (Allemagne) - Cette escadrille comptait 10 Breguet 14A2 codés de "1" à "10" - Le "1" marquant l'avion du commandant de l'unité, le Cne Cazenave et le "10" le pilote le moins gradé - L'ordre hiérarchique au sein de l'escadrille était le suivant : n° 1 Cne Cazenave, n° 2 Ltt Bellet, n° 3 Ltt de Villelume, n° 4 Ltt Riant, n° 5 Adj Lavauzelle, n° 6 Adj Odent, n° 7 Adj Vallet, n° 8 Sgt Tourounet, n° 9 Cal Millon - L'avion est armé, il porte sa Vickers fixée sur le côté gauche du fuselage et tirant vers l'avant, dans le champ de l'hélice et la tourelle arrière est équipée de deux mitrailleuses Lexis dotées de chargeurs doubles de 97 coups - A cette époque, les avions n'étaient plus armés sauf dans le cas des exercices de tir ou les campagnes de tir, ce doit être le cas sur cette photo - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo collection Christophe Claudel que je remercie pour son aide.

Breguet 14A2 n° 3731 codé "9" sur le terrain de Mayence-Gonsenheim pendant l'été 1919 - L'aviateur est un observateur ou un mitrailleur, car il pose sur la tourelle arrière - Le 1er janvier 1920, l'escadrille BR 224 deviendra la 6ème escadrille du 4ème régiment d'observation - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés.

Breguet 14A2 n° 3731 codé "9" sur le terrain de Mayence-Gonsenheim pendant l'été 1919 - Le temps de paix est revenu, les armes de bord ont été déposées - L'aviateur est un observateur ou un mitrailleur - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés.

Salmson 2A2 de l'escadrille BR 224 sur le terrain d'aviation du Bourget-Dugny en 1921 - Le canard porte des bottes, probablement une allusion à la boue présente sur les terrains d'aviation en hiver - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Dominique Boucly que je remercie pour son aide.

 

Reconnaissances photo

Photo verticale de la région au Sud-Est de Vaux (Aisne), à 3 km à l'Est de Soissons prise par un équipage de l'escadrille BR 224, le 18 juin 1918 - Altitude prise de vue 5000 mètres- Focale de l'appareil F 50 (0,50 m) - Photo développée et exploitée par les personnels de la 19ème section photographique - A cette date, l'escadrille BR 224 était stationnée sur le terrain d'aviation d'Aumont (Oise) qu'elle a occupé du 17 juin au 21 août 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés.

Photo verticale de la région à l'Est de Breuil (Aisne), à 6 km au Sud-Est de Soissons prise par un équipage de l'escadrille BR 224, le 18 juin 1918 - Altitude prise de vue 5000 mètres- Focale de l'appareil F 50 (0,50 m) - Photo développée et exploitée par les personnels de la 19ème section photographique - A cette date, l'escadrille BR 224 était stationnée sur le terrain d'aviation d'Aumont (Oise) qu'elle a occupé du 17 juin au 21 août 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés.

Photo verticale de la région au Nord-Ouest de Vauxbrun (Aisne), à 3 km au Sud-Est de Soissons prise par un équipage de l'escadrille BR 224, le 18 juin 1918 - Altitude prise de vue 5000 mètres- Focale de l'appareil F 50 (0,50 m) - Photo développée et exploitée par les personnels de la 19ème section photographique - A cette date, l'escadrille BR 224 était stationnée sur le terrain d'aviation d'Aumont (Oise) qu'elle a occupé du 17 juin au 21 août 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés.

Photo verticale de la région au Sud de Vaux (Aisne), à 3 km à l'Est de Soissons prise par un équipage de l'escadrille BR 224, le 18 juin 1918 - Altitude prise de vue 5000 mètres- Focale de l'appareil F 50 (0,50 m) - Photo développée et exploitée par les personnels de la 19ème section photographique - A cette date, l'escadrille BR 224 était stationnée sur le terrain d'aviation d'Aumont (Oise) qu'elle a occupé du 17 juin au 21 août 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo droits réservés. Cliquez sur l'image pour l'agrandir

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Reconnaissances photo

Magnifique photo de reconnaissance prise à 3200 mètres par un équipage de l'escadrille BR 224 en mai 1918 - A gauche, le fort Vallières situé entre la commune de Coudekerque-Village et le canal de Bergues - A droite, le terrain d'aviation de Bergues - En haut, la ferme, située en bordure du terrain d'aviation, existe toujours de nos jours - L'escadrille BR 244 est alors stationnée sur le terrain d'aviation de Leffrincoucke (Nord), à l'Est de Dunkerque où elle est restée du 5 mai au début juin 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide. Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Photo de reconnaissance verticale du terrain d'aviation de Bergues prise à 3200 mètres par un équipage de l'escadrilles BR 224 en mai 1918 - En haut, la ferme, située en bordure du terrain d'aviation, existe toujours de nos jours - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.

Photo aérienne actuelle fournie par le site Géoportail - Vue de la ferme en bordure des chemins Danel et des 7 planètes qui délimitaient l'ancien terrain d'aviation de Bergues - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Géoportail. Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Une photo actuelle montrant la ferme et les limites de l'ancien terrain d'aviation de Bergues - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Google Map. Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Photo aérienne verticale de la ville de Bergues (Nord) prise à 3200 mètres d'atitude par un équipage de l'escadrille BR 224 en mai 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.

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Monuments commémoratifs
et tombes

Tombe du GBA Marie Jean Ambroise Gabriel Fieux dans le cimetière communal de Castillon-Massas (Gers) - Observateur de la SAL 39 du 3 mai au 13 juin 1918 - Observateur de la BR 238 du 13 juin 1918 au 26 avril 1919 - Pilote de l'escadrille BR 224 du 30 avril au 13 décembre 1919 - Photo transmise par Nicolas Dubois que je remercie pour son aide.

Monuments commémoratifs
et tombes

Tombe de l'Adj Gustave Naudin dans le cimetière communal de Roeschwoog (Bas-Rhin) - Pilote de l'escadrille C 224 comme pilote de Caudron G 4 du 5 février au 6 octobre 1917 - Pilote de l'escadrille SPA 26 du 16 novembre 1917 au 3 novembre 1918 - Blessé au combat par une balle au pied droit, le 29 septembre 1918 - Hospitalisé à partir du 30 septembre 1918 - Cinq victoires homologuées et 11 non homologuées pendant la Grande Guerre - Photo droits réservés.

 

Remerciements à :

- M. Mathieu Marnay pour l"envoi de la photo de Gustave Naudin.
- M. Nicolas Dubois pour l'envoi de la photo de Gabriel Fieux.
- M. Francis Arcaute pour la transmission des archives de Jean Arcaute, son oncle.
- M. Christophe Claudel pour l'envoi de la photo du Breguet 14A2.
- M. Michel Julien pour l'envoi de la remise des décorations sur le terrain de Bonne-Maison.

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire "1912" à l'Armée de l'Air "1976" par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien

 

Si vous avez des documents écrits ou photographiques pouvant compléter les données de cette page, veuillez contacter l'auteur du site.

Escadrille 225 Escadrille 223

 

 

pas de fiche > 1918

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