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Insigne collectif
de l'escadrille SOP 236 / BR 236

A venir

 

 

 

 

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille BR 236

Les traditions de l'escadrille BR 236 n'ont pas été reprises depuis le 12 février 1919, date de sa dissolution sur le terain d'aviation de Pars-lès-Romilly.

 

 

 

 

 

 

Symbolique

L'escadrille SOP 236 a adopté une tête de chien loup marron comme insigne collectif.

 

Historique

L'escadrille SOP 236 a été constituée, en exécution de la note n° 20.397 du GQG, par dédoublement de l'escadrille SOP 217, en date du 18 février 1918. A la date de sa création, la SOP 236 est placée sous les ordres du Cne Henri Collet et compte 2 lieutenants, 2 sous-lieutenants, 10 sous-officiers, 9 caporaux et 73 hommes du rang. Elle est alors une escadrille d'armée affectée à l'aéronautique de la 2ème armée.

Les personnels navigants du 2ème trimestre 1918 :

Cne Henri Collet, commandant de l'escadrille SOP 236, Ltt André Bonhomme, Ltt Léon Dumoncel, Slt Maurice Laharrague, Slt Gustave Brugne, Slt François Fatoux, Slt Jean Dollfus, Slt Jules Gieules, Slt Charles Léon Baillot, Slt André Grégori, Adc Marcel Castets, Adj René Meurant, Sgt Pierre Galindo, Sgt René Longueteau, MdL Paul Ernest Lespes, MdL Georges Rébichon, MdL Charles Oriot, Cal Fernand Barbeau, Brig Coulanges, Brig Albert Morice, Cal Fernand Bourjonnier, Cal Jean Sulpice, Brig Marcel Firmin Raunaud, Sol Marcel Gourdet.

Dotation de la SOP 236 :

La dotation initiale de la SOP 236 est de dix Sopwith 1A2. En avril 1918, l'escadrille SOP 236 a compté jusqu'à douze Sopwith 1A2. Il s'agit des n° 752 - 758 - 805 - 1313 - 1314 - 1318 - 1422 - 2620 - 5019 - 5496 - 7149 - 7267.

Départ de l'échelon roulant :

Constituée sur le terrain de la Ferme d'Alger (Marne), l'échelon roulant de la SOP 236 quitte le terrain de la ferme d'Alger, le 12 avril 1918. Le soir même, il fait escale à Crésancy pour repartir dès le lendemain matin à 6 heures, destination Saint-Soupplets. Après avoir cantonné la nuit du 13 au 14 sur place, il part à destination de Pontoise qu'il rejoint dans la nuit. Le 15, à 7h00, le convoi quitte Pontoise et rejoint Boisemont, pour camper à proximité du camp d'aviation de Suzay.

Départ de l'échelon volant :

Le 12 avril 1918, l'échelon volant, constitué de tous les avions montés par les pilotes et des mécaniciens, quitte, par la voie des airs, le terrain de la Ferme d'Alger et se pose sur le terrain d'aviation de Suzay, le soir même.

Arrivée sur le terrain de Fienvillers :

Le 16 avril à 7h00, la SOP 236 quitte Boisemont et s'installe à St-Martin-Osmonville (Seine-Maritime) pour la nuit du 16 au 17. Le voyage continue pour Blangy-sous-Poix (Somme) où la nuit du 17 au 18 est passée. Elle arrive enfin au terme de son périple en rejoignant Fienvillers (Somme) qu'elle occupera du 18 au 27 avril 1918.

Le 27 avril 1918, nouveau déménagement, cette fois pour gagner le terrain de la ferme de Beaurepaire (Oise).

Accident d'atterrissage :

Le 2 mai 1918, le Cal Fernand Bourjonnier est tué au cours d'un accident d'atterrissage, aux commandes du Sopwith 1A2 n° 1314, sur le terrain d'aviation de la ferme de Beaurepaire (Oise). L'officier observateur, qui faisait équipage avec lui, le Slt Jules Gieules, a été grièvement blessé. Il a été évacué sur Vitré, le 4 mai 1918. Il a pu regagner son poste, le 10 juin 1918.

Transformation sur Breguet 14 A2 :

L'escadrille SOP 236 reçoit l'ordre de transformation sur Breguet 14 A2 équipé de moteur Fiat par la note 13.244 du GQG, en date du 10 mai 1918.

Le 12 mai, la BR 236 quitte le terrain de Beaurepaire avec ses avions qu'elle va convoyer jusqu'à Conicy. Elle campe à Thieuloy-Saint-Antoine dans la nuit du 12 au 13 mai et poursuit son chemin pour rejoindre Barbery dans la nuit du 13 au 14 mai. Elle arrive finalement à Coincy, le 14 mai à 16h00.

Stage Breguet 14 A2 au GDE :

Du 15 au 26 mai, les pilotes partent en stage sur Breguet 14 A2 au centre GDE de Moissy. La prise en main des nouveaux avions est rapide, les pilotes effectuent 2 à 3 heures de vol avant d'être laché sur le BR 14 A2. Cinq avions neufs sont convoyés d'Etampes à Coincy.

Le 28 mai, la BR 236 quitte Coincy pour camper à Linthelles dans la nuit du 28 au 29 mai, puis pour rejoindre le terrain de Bouzy où elle arrive à 15 heures. Elle quitte Bouzy, le 31 mai et s'installe sur celui d'Haussimont, le jour même.

Le 5 juin, la dotation de l'escadrille BR 236 est complète avec 10 Breguet 14 A2 à moteur Fiat. Il s'agit des numéros 3124, 3131, 3134, 3138, 3181, 3183, 3192, 3194, 3201, 3205.

Le 6 juin, les premières reconnaissances sur le front, à bord des nouveaux Breguet 14 A2, sont réalisées. Elles mettent en oeuvre les équipages suivants : Cne Collet / Ltt Bonhomme (BR 14 A2 n°3131), MdL Lespes / MdL Oriot (n° 3205), Cal Christiany / Ltt Baillot (n° 3134).

Un équipage fait prisonnier :

Le 7 juin 1918, deux Breguet 14 A2 sont envoyés pour effectuer une reconnaissance lointaine sur les arrières du dispositif adverse. La mission est composée du Breguet 14 A2 n° 3194 monté par l'équipage Cal André Christiany (pilote) et du Slt Charles Baillot (observateur) et du Breguet 14 A2 n° 3205 monté par l'équipage MdL Lespes (pilote) et du MdL Eriot (observateur). Les deux avions se couvrant mutuellement. Le n° 3194, après avoir livré un combat aérien pendant lequel ils ont été légèrement blessés par balles, l'équipage composé du Cal André Christiany (pilote) et du Slt Charles Baillot (observateur) est contraint de poser le Breguet 14 A2 n° 3194 dans une zone contrôlée par l'ennemi, au nord de Beine. Ils sont faits prisonniers. Le pilote a été interné à Landshut, puis à Giessen. Il est rentré de captivité, le 1er janvier 1919. L'observateur est interné à Karlsruhe, puis à Neuburg, Bad Aibling et Marienburg-Würzburg. Le n° 3205, qui a livré le même combat aérien, rentre au terrain après avoir été touché par 3 éclats et 2 balles. En outre cette mission difficile, quatre équipages réalisent des essais de montée en altitude entre 4000 et 4800 mètres.

Un avion posé dans les lignes :

Le 10 juin, au cours d'une mission de reconnaissance, le Breguet 14 A2 n° 3131 de l'équipage Cne Henri Collet (pilote) / Slt Gustave Grugne (obs) a été touché par des tirs ennemis. Le moteur stoppé, l'avion a été posé par son équipage dans les lignes françaises, à 1500 mètres de Bézannes. Le 3131 a été déclaré hors service en raison des dégats subis en vol et après l'atterrissage dans les lignes. Le Breguet 14 A2 n° 3196 monté par l'Adj Meurant / MdL Oriot est touché par 9 éclats d'obus et 3 balles qui, heureusement, ne touchent pas de parties vitales. L'avion peut rentrer au terrain d'Haussimont sans difficultés.

Attaque vaine d'un Drachen :

Le 13 juin, l'équipage Slt Grégori / Ltt Bonhomme réalise le premier essai de prise de photos de la BR 236, à bord du Breguet 14 A2 n° 3198. Le lendemain, le même équipage attaque un Drachen mais victime d'un enrayage de la Vickers de bord, doit renoncer à aller plus loin. Le Breguet 14 A2 n° 3138, qu'ils montaient, rentre avec 3 éclats d'obus.

Les 17 et 18 juin, les Breguet 14 A2 de la BR 236 quitte Haussimont pour aller cantonner sur le terrain de Bussy-Lettrée qu'ils rejoignent en seulement 15 mn de vol. La période du 19 juin au 1er juillet est consacrée à l'entrainement, aux essais en vol des avions, aux réglages de la TSF et à réaliser de nombreux réglages de tir fictifs.

Les personnels navigants de l'escadrille BR 236 :

Pendant le 3ème trimestre 1918, les personnels navigants étaient les suivants : * Pilotes : Cne Henri Collet, cdmt de la BR 236, Ltt Léon Dumoncel, Slt François Fatoux, Slt André Grégori, Adc Marcel Castets, Adj Meurant, MdL Paul Ernest Lespes, Sgt Marcel Choël, MdL Marcel Firmin Raynaud, Sgt Fernand Barbeau, MdL Pierre Galindo, Sgt Gabriel Grand.
* Observateurs : Ltt André Bonhomme, Ltt André Sorin, Slt Maurice Laharrague, Slt Gustave Brugne, Slt Jean Dollfus, Slt Jules Gieules, Slt Pierre Renard, Slt Georges Stofft, Sgt Georges Rébichon, MdL Charles Oriot.
* Mitrailleurs : Sol Pierre Basset, Sol Jean Portet, Sol Marcel Gourdet, Sol Félix Deschamps, Sol Jean Faurie.

Rentrent avec une passoire :

Le 2 juillet, c'est l'équipage Slt Grégori / Ltt Bonhomme (BR 14 A2 n° 3138) qui renoue avec les missions de guerre en mitraillant les tranchées adverses à seulement 200 mètres d'altitude. Le 4 juillet, le même équipage rentre avec son Br 14 A2 n° 3138 percé de multiples éclats d'obus et chose incroyable, les deux membres d'équipage n'ont pas été blessés. Les 5 et 6 juillet, les équipages multiplent les reconnaissance de secteur avec respectivement 4 et 6 missions. Le 7 juillet, l'escadrille déménage sur le terrain de Coupéville. Les dix Breguet 14 A2, qui font le voyage, sont les numéros : 2392, 3138, 3180, 3181, 3183, 3196, 3201, 3205, 3265, 3270. Dès leur arrivée sur zone, sept 14 A2 sont envoyés en reconnaissance sur le front.

Posé en campagne sur panne :

Le 9 juillet, le Breguet 14 A2 n° 2392 de l'équipage Cne Collet / Ltt Bonhomme est victime d'une panne moteur au cours d'une mission de réglage d'artillerie. Le chef de la 236 pose son avion à 300 mètres au sud-est du croisement de la route Suippes-Souain avec la voie romaine. Le 2392 n'a pas supporté cet atterrissage imprévu et a été remplacé.

Largage de tracts :

Le 11 juillet, l'équipage, composé de l'Adc Castets / Slt Laharrague (BR 14 A2 n° 3270) inaugure un nouveau type de mission, le largage de tracts à l'arrière des lignes ennemies. Pour ce vol qui a duré 1h45, ils jettent 300 "Freie Deutsche Word", 300 "Deutsche Sodaten", 100 "Freie Zeitung" et 20 "Das Miestranen" et rentrent au terrain, avec un éclat d'obus. Le 12, l'équipage Cne Collet / Ltt Bonhomme (BR 14 A2 n° 3138) jette 300 "Deutsche Sodaten" et 20 "Das Miestraven", suivis le 13 par l'équipage du MdL Lespes / MdL Oriot (BR 14 A2 (n° 3205), à l'occasion d'une reconnaissance lointaine, de balancer 300 "Freie Deutsche Word", 200 "Deutsche Sodaten", 50 "Freie Zeitung" et 15 "Das Miestranen".

Le 15 juillet, grosse journée, la BR 236 réalise 9 missions de surveillance sur les lignes adverses. Deux sont annulées, deux successivement sur le BR 14 A2 n° 3270, sur panne de l'émetteur deTSF. L'équipage Adj Maurant / Slt Brugue livre trois combats contre 20 avions ennemis. Celui Cal Raynaud / Slt Laharrague tente d'incendier le Drachen de la ferme Navarrin. Ils livrent un combat de loin contre sept biplaces et finalement l'équipage du Cne Collet / Ltt Bonhomme (BR 14 A2 n° 3138) contraint d'atterrir sur le terrain de Thillois. L'avion est hors service et ne pourra reprendre se place dans l'escadrille.

Un équipage tué au combat :

Le 16 juillet, l'équipage du Cal Coulange / Slt Brugue, à bord du BR 14 A2 n° 2365, livre un combat sur les lignes et rentre au terrain perçé par 5 éclats d'obus et une balle. L'équipage Adc Castets / Ltt Laharrague est tué au cours d'un réglage d'artillerie. En cours de mission, leur BR 14 A2 n° 3270 a été attaqué par plusieurs avions de chasse. Touchés par une rafale bien ajustée, les deux aviateurs ont été touchés. Leur avion s'écrasé à 600 mètres à l'intérieur des lignes françaises. Leur adversaire était probablement le Ltn Franz Büchner du Jasta 13 qui a abattu deux Breguet 14A2 ce jour. L'avion de la BR 236 a été comptabilisé comme sa 10ème victoire.

> le 17 juillet 1918 pas fait

 

Le 1er septembre 1918, elle est attachée au service du 417ème régiment d'artillerie lourde.

Le 5 septembre, la 236 quitte Coupéville pour s'installer sur le terrain de Belrain.

Le 21 septembre, nouveau changement de terrain, cette fois, la BR 236 s'installe à Pretz-en-Argonne.

Le 25 novembre 1918, la BR 236 quitte Pretz-en-Argonne pour cantonner à Villers-le-sec. Dès le lendemain, elle s'installe sur le terrain de Herbisse-est.

Le 20 janvier 1919, la BR 236 fait mouvement sur Pars-les-Romilly. Le 13 février 1919, elle est finalement dissoute sur place, suite à la note n° 2.777 du GQG aéronautique, en date du 2 février 1919.

 

Appellations successives

Périodes de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Rattachements de l'escadrille

Batailles et missions importantes
de l'escadrille BR 236

A venir

 

 

 

 

Décorations

Pas de décoration collective pour cette unité.

 

 

 

Commandants de l'escadrille

 

Types d'avions utilisés

Numéros des avions connus

Morts: en rouge / Blessés et indemnes : en jaune


 

Les Hommes

Photo du MdL Marcel Raynaud

MdL Marcel Firmin Raynaud - Né le 2 mars 1898 à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) - Fils d'Arthur Raynaud et de Marie Agathe Vuillermet - Domiciliés au 14, rue Georges Ville à Paris 16ème - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1918 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 3137 - Engagé volontaire pour la durée de la guerre, au titre du 81ème régiment d'artillerie lourde, le 26 décembre 1916 - Arrivé à l'unité, le 28 décembre 1916 - Affecté au 121ème régiment d'artillerie lourde, le 31 juillet 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 10 juin 1917 - Brevet de pilote militaire n° 9320 obtenu à l'école militaire d'aviation de Dijon-Longvic, le 17 octobre 1917 - Nommé Caporal, le 28 octobre 1917 - Stage de perfectionnement "Sopwith" à l'école militaire d'aviation d'Avord, jusqu'au 18 décembre 1917 - Pilote de la RGAé du 18 décembre 1917 au 15 mars 1918 - Affecté à l'escadrille SOP 283 du 15 au 16 mars 1918 - Pilote du GDE du 16 mars au 5 avril 1918 - Affecté à l'escadrille SOP 229 du 5 au 8 avril 1918 - Pilote de l'escadrille SOP 236 / BR 236 du 9 avril au 22 octobre 1918 - Il effectue son premier vol au sein de la SOP 236, le 12 avril 1918 - Il s'agit de convoyer le Sopwith 1A2 n° 2620 entre les terrains d'aviation de la Ferme d'Alger et de Suzay-Boisemont pour un total de 3h15 de vol - Le 17, il effectue un vol d'essai, aux commandes du Sopwith 1A2 n° 7267, au-dessus du terrain de Boisemont - Le 19 avril, la SOP 236 déménage de terrain pour celui de Fienvillers, Marcel convoie un Sopwith 1A2 par la voie des airs - Le 21, il réalise une mission de reconnaissance de secteur avec le Ltt Bonhomme, pendant un heure, à bord du 1A2 n° 752 - Le 23 avril, il escorte, en équipage avec le Slt Brugne, une liaison d'infanterie réalisée par l'équipage Cne Collet / Ltt Bonhomme - Ils sont à bord du 1A2 n° 752 - Le 25, il réalise une reconnaissance d'objectif en équipage du Cne Bourjonnier, à bord du Sopwith 1A2 n° 752 - Le 27, nouveau changement de terrain pour celui de la ferme de Beaurepaire - A cette occasion, six Sopwith 1A2 de la 236 réalisent un vol de groupe pour relier ce nouveau terrain, qu'il rejoignent au bout de 40 mn - Les 2, 3, 4 mai 1918, il réalise des missions de reconnaissance de secteur - Le 14 mai, Marcel convoie un Sopwith 1A2 vers le terrain de Coincy, qu'il relie en 1h20 - Détaché au GDE pour effectuer un stage de prise en mains du Breguet 14 A2 du 15 au 27 mai 1918 - L'escadrille 236 est entièrement transformée sur avion Breguet 14 A2 et prend l'appelation de BR 236 - Les Breguet 14 A2 à moteur Fiat sont perçus à Etampes - Du 27 au 29 mai, la BR 236 déménage plusieurs fois de terrain entre Linthelles, Bouzy et Haussimont qu'elle gagne le 31 mai - Le 31 mai, il effectue, en équipage avec le Ltt Bonhomme, une reconnaissance de secteur, à bord du breguet 14 A2 n° 3183 - Après l'atterrissage, les mécaniciens trouvent les traces de trois éclats d'obus et de 7 balles qui n'ont, heureusement pas touché les hommes, ni des éléments vitaux de leur avion - Le 17 juin, lors du changement de terrain vers Bussy-Lettrée, il pilote le Breguet 14 A2 n° 3183 - Le 7 juillet, après avoir changé de terrain pour celui de Coupéville, il effectue une reconnaissance de secteur, en équipage du Slt Brugne, à bord du Breguet 14 A2 n° 3183 - Le 11 juillet 1918, Marcel assure, en équipage avec le Slt Gieules, un réglage de tir, aux commandes du breguet 14 A2 n° 3183 - Le 15 juillet, il effectue deux missions distinctes, d'abord une surveillance sur les lignes ennemies puis en fin de soirée, en équipage du Ltt Laharrague, il tente d'incendier le Drachen en poste à la ferme de Navarin - Il livre un combat contre sept biplaces mais qui croisent trop loin pour être touchés par les tirs - Le 1er août 1918, en équipage avec le Ltt Gieules, il effectue des exercices de tir, sur le champ de tir de Marson, à bord du Breguet 14 A2 n° 3196 - Nommé Maréchal des Logis, le 8 août 1918 - Le 10 août, en équipage avec le Ltt Gieules, il effectue un réglage de tir sur les lignes ennemies, à bord du Breguet 14 A2 n° 3183 - Leur réglage a été mené jusqu'au tir d'efficacité qui mène à la destruction de l'objectif - Le 11 août, en équipage avec le Ltt Gieules, il effectue la surveillance des tirs d'artillerie du groupe Lardry, à bord du Breguet 14 A2 n° 3189 - Leur réglage a été mené jusqu'au tir d'efficacité - Le 12, nouveau réglage jusqu'à la destruction de l'objectif par le groupe Pons sur les coordonnées 610-749 - Le 14, en compagnie du Slt Gieules, il lance des tracts sur les lignes, au cours d'une reconnaissance matinale, à bord du Breguet 14 A2 n° 3196 - Le 16 août, en équipage avec le Ltt Gieules, il effectue la surveillance des tirs d'artillerie du groupe Lardry, à bord du Breguet 14 A2 n° 3183 - Le réglage se termine après la destrction de l'obsjectif - Le 20 août, en équipage avec le MdL Oriot (mitrailleur), il assure la surveillance aux lueurs et tirent 1.000 cartouches sur les tranchées ennemies et reçoivent en échange deux impacts de balles - Le 21 septembre 1918, les dix Breguet 14 A2 à moteur Fiat décollent de Belrain pour rejoindre celui de Pretz-en-Argonne après 35 mn de vol - Marcel convoie le Breguet 14 A2 n° 3354 - Le 24 septembre, toujours en équipage avec le Slt Gieules, il effectue une reconnaissance de secteur et mitraillent Varennes, Cheppy et Consenvoye, à bord du Breguet 14 A2 n° 3183 - Le 26 septembre, avec le Slt Gieules, il assure le contrôle les tirs de l'artillerie lourde de grande puissance (ALGP), à bord du Breguet 14 A2 n° 2484 - Le 27 septembre, en équipage avec le Slt Stoffl, pendant une reconnaissance, ils mitraillent Montillois et Brieulles, à seulement 200 mètres d'altitude et tirent 200 cartouches - Le 22 octobre 1918, a été porté disparu au cours d'une mission, aux commandes du Breguet 14 A2 n° 3169, en équipage avec le Slt Georges Stofft (obs), dans les environs de Brieulles-Grandpré - Leur avion a été vraisemblablement abattu par le Ltn Karl Plauth du Jasta 51 - L'avion français a été comptabilisé comme la 16ème victoire homologuée du pilote allemand - Son corps, ni celui de l'observateur qui faisait équipage avec lui, n'a été retrouvé - Une enquête a été demandée au CICR par le service des retraites ouvrières et paysannes de la Gironde à Bordeaux et n'a pas donné de résultat, réponse négative a été faite à cet organisme et à la famille, le 15 mai 1919 - A été déclaré décédé et mort pour la France par le tribunal de la Seine, le 4 août 1921 - Médaille Militaire et citation à l'ordre du 2ème groupe d'aviation, à titre posthume, en date du 4 janvier 1923 - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - Fiche matricule du 2ème bureau de la Seine conservée aux archives départementales de la Seine - CCC de l'escadrille SOP 283 - CCC de l'escadrille SOP 229 - CCC de l'escadrille BR 236 - Cahier de relevés des missions de l'escadrille BR 236 du 1er avril 1918 au 12 février 1919 - MpF - JORF - Bailey / Cony - Site Internet du CICR - Dernière mise à jour : 7 novembre 2023.

* Médaille Militaire et citation à l'ordre du 2ème groupe d'aviation, à titre posthume, du MdL Marcel Firmin Raynaud, pilote à l'escadrille BR 236, en date du 4 janvier 1923 : "Sous-officier pilote d'une bravoure réputée. Tombé glorieusement pour la France, le 22 octobre 1918, au Mort-Homme, au cours d'une mission aérienne. Croix de guerre avec étoile d'argent."

 

Photo du Slt Georges Stofft

Slt Georges Louis Charles Stofft - Né le 21 avril 1893 au 7, quai Valmy à Paris 11ème - Fils de Paul Charles Stofft (représentant de commerce) et de Pauline Céline Marie Artus - Domiciliés au 21, boulevard Sébastopol à Paris 1ère en 1913 - Classe 1913 - Recrutement du février 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 291 - Appelé pour effectuer son service militaire au titre du 45ème régiment d'artillerie, le 26 novembre 1913 - Nommé Canonnier conducteur de 2ème ckasse, le 26 novembre 1913 - Nommé Brigadier, le 1er septembre 1914 - Nommé Maréchal des logis, le 18 juillet 1915 - Admis au cours d'élève officier de l'artillerie à Fontainebleau, le 4 mai 1918 - Admis à suivre le cours de perfectionnement de l'artillerie à Cézanne du 11 mars au 26 mai 1918 - Affecté au 45ème régiment d'artillerie de campagne, le 26 mai 1918 - Nommé observateur en avion - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 1er juin 1918 - Maintenu au 45ème régiment d'artillerie comme observateur en ballon, le 5 juin 1918 - Dirigé sur le contre d'aviation de Sommesous, le 23 juillet 1918 - Affecté à l'aéronautique de la 2ème armée, le 6 septembre 1918 - Observateur de l'escadrille BR 236 du 15 septembre au 22 octobre 1918 - A effectué sa première mission, au sein de la BR 236, en compagnie du Cal Assémat, à bord du Breguet 14 A2 n° 2479 lors d'une reconnaissance de secteur, le 17 septembre 1918 - Le 24 septembre 1918, le même équipage effectue une reconnaissance de secteur sur les lignes adverses, à bord du Breguet 14A2 n° 2479 - Le lendemain, ils renouvèle le même type de mission, à bord du Breguet 14A2 n° 2479 - Le 27 septembre, il effectue un vol de surveillance devant les lignes ennemies, cette fois avec le MdL Raynaud, à bord du Breguet 14A2 n° 3183 - Le 1er octobre 1918, il effectue un vol de reconnaissance, en équipage avec le Slt Grégori, à bord du Breguet 14 A2 n° 3429 - Le 4 octobre, en équipage avec le MdL Lespes, il effectue un essai de réglage d'artillerie sur Ligny-devant-Dun, à bord du Breguet 14 A2 n° 2484 - Il effectue d'autres missions, les 5, 9, 10, 15 octobre - Le 21, il effectue une mission de surveillance, en compagnie du Cal Assémat, à bord du Breguet 14 A2 n° 2479 - Ils repèrent une batterie - Le 22 octobre, il décolle en compagnie du MdL Marcel Raynaud, à bord du Breguet 14 A2 n° 3169, pour une mission de surveillance sur les lignes dans les environs de Brieulles-Grandpré (Ardennes) - Leur avion ne rentre pas de cette mission, probablement abattu par la Flak ou par un avion de chasse en maraude - Son corps et celui du pilote qui faisait équipage avec lui, n'ont pas été retrouvés - Une enquête a été demandée au CICR et n'a pas donné de résultat, réponse négative a été faite à la famille, le 22 mars 1919 - qui est A été déclaré décédé et mort pour la France par le tribunal de la Seine, le 15 septembre 1921 - A laissé une lettre missive testamentaire en deux pages conservée aux archives nationales - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 1833) de la mairie du 11ème arrondissement de Paris - Fiche matricule du 2ème bureau de la Seine conservée aux archives départementales de la Seine - CCC de l'escadrille BR 236 - Cahier de relevés des missions de l'escadrille BR 236 du 1er avril 1918 au 12 février 1919 - MpF - JORF - Bailey / Cony - Site Internet du CICR - Dernière mise à jour : 7 novembre 2023.

Les Hommes

Photo du Cne Henri Collet

Cne Henri Marie Collet - Né le 21 juillet 1882 à Laon (Aisne) - Fils de Jules Collet (commis au magasin général de chemin de fer du Nord) et de Marie Naves - Domiciliés au 18, rue des Capucines à Paris - Classe 1902 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 2101 - Engagé volontaire pour quatre ans, au titre de l'école Centrale des Arts et Manufactures pour l'arme de l'artillerie, le 1er octobre 1902 - Nommé sous-lieutenant de réserve et affecté au 36ème régiment d'artillerie, le 27 août 1905 - Effectue sa 4ème année de service, au sein du 36ème régiment d'artillerie, à compter du 1er octobre 1905 - Affecté, dans la réserve, au 8ème régiment d'artillerie de Troyes - Affecté, dans la réserve, au 31ème régiment d'artillerie, le 15 novembre 1906 - A accompli une période d'exercices au 31ème régiment d'artillerie du 5 au 24 septembre 1910 - Nommé Lieutenant de réserve, le 24 septembre 1910 - A accompli une période d'exercices au cours régional de tir au camp de Coëtquidan du 9 au 20 avril 1912 - Profession avant guerre Ingénieur de l'école Centrale des Arts et Manufactures - Marié avec Mlle Cécile Marie Rose Terrien à la mairie du 14ème arrondissement de Paris, le 9 décembre 1913 - Domiciliés au 50, boulevard de l'Hôpital à Paris 13ème - Rappelé à l'activité pour la mobilisation générale au titre du 31ème régiment d'artillerie, le 2 août 1914 - Affecté au 31ème régiment d'artillerie de campagne du 2 août 1914 au 22 septembre 1915 - Son pied droit a été écrasé par la chute de son cheval tué par un éclat d'obus à Andechy, le 30 septembre 1914 - Il n'a pas été évacué - Citation n° 24 à l'ordre du corps d'armée, en date du 26 mai 1915 - Affecté dans la réserve générale d'aviation, le 22 septembre 1915 - Affecté au 104ème régiment d'artillerie lourde - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, en date du 23 septembre 1915 - En formation du 23 septembre au 1er novembre 1915 - Observateur de l'escadrille MF 40 du 1er novembre 1915 au 3 juillet 1917 - En stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 4 janvier au 28 janvier 1916 - En stage au sein d'une batterie d'artillerie du 13 au 28 février 1916 - A reçu l'insigne d'observateur n° B 375 - Citation n° 372 à l'ordre de la 6ème armée, en date du 3 mars 1916 - Citation n° 54 à l'ordre du 4ème corps d'armée, en date du 15 mai 1916 - En stage à la 2ème armée du 28 octobre au 2 novembre 1916 - Croix de Guerre et citation n° 650 à l'ordre de la 4ème armée, en date 4 octobre 1916 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 1er novembre 1916 - En stage au GDE du 1er au 25 décembre 1916 - Blessé par brûlures au 3ème degré de la face externe du bras gauche au cours d'un accident d'avion, le 11 février 1917 - Evacué sur l'hôpital de Bar-le-Duc, le 23 février 1917 - Hospitalisé, jusqu'au 5 mars 1917 - Envoyé comme instructeur à l'annexe du GDE de Luxeuil, le 5 mars 1917 - Affecté comme adjoint tactique à l'aéronautique de la 2ème armée, le 31 mars 1917 - Brevet de pilote militaire n° 7060 obtenu à l'aéronautique de la 2ème armée, le 18 juin 1917 - En stage au GDE du 14 au 28 novembre 1917 - Lâché sur Sopwith 1A2, le 28 novembre 1917 - En stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 4 au 14 décembre 1917 - Commandant de l'escadrille SOP 236 du 18 février au 1er octobre 1918 - Lâché sur Caudron G 4 et G 6, le 21 février 1918 - Lâché sur SPAD XVI, le 21 février 1918 - Blessé par fracture de genou gauche à Moissy-Cramayel, le 18 mai 1918 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 10 juillet 1918 - Affecté à l'inspection technique de l'aéronautique, le 28 septembre 1918 - A rejoint, le 1er octobre 1918 - Citation n° 1370 à l'ordre de la 2ème armée, en date du 13 octobre 1918 - Affecté à l'aéronautique du GQG, le 14 février 1919 - Démobilisé, le 7 mars 1919 - Domicilié au 72, rue d'Assas à Paris , à compter du 7 mars 1919 - Maintenu dans la réserve, le 23 juillet 1919 - Radié, sur sa demande, du personnel navigant, le 21 mars 1920 - Affecté, dans la réserve, à l'inspection technique de l'aéronautique, bastion 43, boulevard Bessières à Paris 17ème, le 27 septembre 1920 - Passé à l'arme de l'aéronautique, le 20 juin 1923 - Domicilié au 7, rue de Chine à Paris, à compter du 26 janvier 1925 - Domicilié au 7, rue de Chine à Paris, à compter du 26 janvier 1925 - Affecté, dans la réserve, à l'inspection du matériel technique et des installations techniques de l'aéronautique militaire, le 1er août 1925 - A accompli une période d'instruction du 22 septembre au 12 octobre 1926 - Nommé Chef de bataillon de réserve, le 13 juillet 1927 - Affecté à l'inspection technique de l'aéronautique militaire et chargé des écoles de perfectionnement, le 2 août 1927 - A effectué une période d'instruction obligatoire à l'inspection du matériel et des installations des forces aériennes du 1er au 15 juillet 1931 - Affecté, dans la réserve, à la 17ème compagnie de l'air, le 1er janvier 1935 - Grade d'officier de la Légion d'Honneur, en date du 1er janvier 1936 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne de Paris-Issy-les-Moulineaux, le 15 octobre 1936 - Classé comme cadre sédentaire, le 20 janvier 1937 - Décédé à Paris 20ème, le 3 février 1938 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 184) de la ville de Laon (Somme) - Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - Fiche matricule du 6ème bureau de la Seine conservée aux archives départementales de Paris - CCC de l'escadrille MF 40 / F 40 - JORF - Dernière mise à jour : 8 novembre 2023.

* Citation n° 24 à l'ordre du corps d'armée, en date du 26 mai 1915 : "A fait preuve depuis le début de la campagne comme adjoint à un commandant de groupe puis au colonel d'une infatigeable activité et du mépris absolu du danger a organisé avec une parfaire compétance le réseau téléphonique de l'artillerie divisionnaire allant de jour et de nuit installer lui-même les postes aux tranchées de 1ères lignes."

* Citation n° 54 à l'ordre du 4ème corps d'armée, en date du 15 mai 1916 : "Excellent observateur, a donné de nombreuses preuves de sang-froid et de courage en prenant des photos en arrière des lignes ennemies, souvent à faile altitude. Le 2 avril 1916, alors qu'il accomplissait une mission lointaine, ayant eu son appareil très sérieusement endommagé par le feu de l'ennemi, a pu préciser à son pilote les dégâts causés à l'avion, aidant ainsi à une manoeuvre difficile et permettant de terminer heureusement la reconnaissance."

* Citation n° 650 à l'ordre de la 4ème armée, en date 4 octobre 1916 : "Officier de tout premier ordre, témoignant en toutes circonstances d'une audace et d'un mépris du danger dignes des plus grands éloges. A particulièrement fait preuve du plus beau courage le 26 septembre 1916 dans un combat très dur, livré à 30 mètres, au cours d'une mission photographique au-dessus des lignes ennemies, de concert avec les deux Caudron qui le protégeaient contre un Fokker qui fut abattu du côté d'Ardeuil, le combat terminé, a continué à achever sa mission."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 10 juillet 1918 : "Officier d'élite ayant fait preuve depuis le début de la campagne d'une haute valeur morale et d'un courage remarquable. S'est particuliérement distingué comme observateur en avion, remplissant de nombreuses missions photographiques chez l'ennemi s'ouvrant la route au prix de durs combats au cours desquels il a abattu un avion ennemi. Comme commandant d'escadrille entraine son personnel par un magnifique exemple. Le 5 avril 1918, au cours d'un réglage, attaqué par des avions ennemis, les a contraint d'abandonner la lutte et a ramené un appareil complétement hors service jusqu'au terrain. Trois fois cité."

* Citation n° 1370 à l'ordre de la 2ème armée du Cne Henri Collet du 104ème régiment d'artillerie lourde, commandant l'escadrille BR 236, en date du 13 octobre 1918 : "Chef d'escadrille remarquable à tous égards. Le 28 septembre 1918, au cours d'opérations offensives, a accompli une mission à très basse altitude après avoir engagé un combat contre huit avions de chasse ennemis. Attaqué par une nouvelle patrouille de sept avions ennemis, au retour de sa mission, il parvient à ramener dans nos lignes son avion criblé de balles et très difficile à manoeuvrer. Trois citations antérieures."

* Grade d'officier de la Légion d'Honneur du Cdt Henri Marie Collet à la 17ème compagnie de l'Air, en date du 1er janvier 1936 : "33 ans de services, 5 campagnes. A été blessé et cité. Chevalier de la Légion d'honneur du 10 juillet 1918."

 

 

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Terrains d'aviation

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Terrain d'aviation de la Ferme d'Alger (Marne) - L'escadrille SOP 236 a stationné sur place du 18 février au 12 avril 1918 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo collection Lionel Luttenbacher que je remercie pour son aide.

 

Remerciements à :

- M. Lionel Luttenbacher pour l'envoi des photos de sa collection.

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- Historique du 417ème régiment d'artillerie lourde de la base documentaire de l'artillerie.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire "1912" à l'Armée de l'Air "1976" par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien

 

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