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Insignes peints
sur les fuselages

Le fanion blanc à bande rouge a été la premier insigne collectif de l'escadrille N 314 - Dessin Albin Denis.

Le second et dernier emblème collectif de l'escadrille 314 était un chardon associé à une croix de Lorraine, de manière à rappeler sa mission de défense aérienne au profit de la ville de Nancy - Dessin Albin Denis.

Insignes métalliques
de l'escadrille SPA 315

Insigne en argent de l'escadrille SPA 314 - Fixation par deux anneaux - Insigne collection Jean-Laurent Truc que je remercie pour son aide.

Insigne personnel du Cal Henri Cahon, mécanicien de l'escadrille CAP 115 du 29 mars 1918 au 25 août 1919 - Cet insigne ressemble fortement au second insigne collectif de l'escadrille 314 - Il est certain que ce mécanicien a visité l'escadrille N 314 qui était déployée sur le même terrain que son unité de bombardement, sur le plateau de Malzéville, des photos l'attestent - Attention, il ne s'agit probablement pas d'un insigne de l'escadrille N 314 mais plutôt d'un insigne généraliste, qui rassemble les emblèmes de la Lorraine et qui a été adopté par les personnels de plusieurs unités distinctes - Collection Jean-Paul Bonnora que je remercie pour son aide.

Symbolique

Le premier insigne collectif de l'escadrille N 314 a été un fanion blanc à bande rouge. Il a été remplacé par un chardon associé à une croix de Lorraine, de manière à rappeler la mission de défense aérienne de la ville de Nancy.

 

Historique

A venir

Insignes métalliques des unités
détentrices de ses traditions

Pas d'insigne métallique des unités détentrices car les traditions de l'escadrille SPA 314 n'ont pas été reprises depuis le 31 décembre 1918.

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille SPA 314

Les traditions de l'escadrille SPA 314 n'ont pas été reprises depuis le 31 décembre 1918, date de sa dissolution.

 

Appellations successives

Périodes de stationnements


Carte des différents stationnements

Numéros des départements français

 

Commandants de l'escadrille

Rattachements de l'escadrille

 

Décorations

Pas de citation collective pour cette escadrille.

 

Citations individuelles

* Citation à l'ordre de l'aéronautique du Brig Henry Pigault, en date du 8 juin 1918 : "Jeune pilote, plein d'allant et de bonne volonté. En six semaines, a livré un combat et mitraillé huit fois les tranchées à très basse altitude malgré les tirs violents des canons et des mitrailleuses qui ont atteint son appareil notamment le 13 mai 1918."

* Citation à l'ordre de l'armée du Sgt Jean Auguste Albert Imbert, du 1er régiment de tirailleurs algériens, pilote à l'escadrille SPA 314, en date du 24 août 1918 : "Pilote ardant et brave. A abattu en flammes un Drachen."

* Citation à l'ordre de l'armée du Sgt François Castaings, du 31ème régiment d'infanterie, pilote à l'escadrille SPA 314, en date du 24 août 1918 : "Pilote énergique et plein d'allant. A abattu en flammes un Drachen."

Types d'avions utilisés

Numéros des avions connus

Morts : en rouge / Blessés et indemnes : en jaune

 

Les Hommes

Le Sol Henri Cahon, mécanicien de l'escadrille CAP 115, pose, aux commandes d'un Nieuport 24 de l'escadrille N 314, sur le terrain du plateau de Malzéville en juillet 1917 - A cette époque, les deux escadrilles CAP 115 et N 314 sont stationnées sur le plateau de Malzéville, sur les hauteurs de Nancy - Photo collection Jean-Paul Bonnora que je remercie pour son aide.

Sol Henri Léon Frédéric Cahon - Né le 6 février 1897 à Harfleur (Seine-Maritime) - Fils de Léon Cahon et de Louise Emilie Eugènie Bertot - Domiciliés au 7, rue des 104 à Harfleur - Profession avant guerre Ajusteur mécanicien - Classe 1917 - Recrutement du Hâvre sous le matricule n° 1123 - Ajourné pour faiblesse en 1915 - Déclaré apte au service - Mobilisé au 74ème régiment d'infanterie, le 10 août 1916 - Passé au 2ème groupe d'aviation de l'aéronautique militaire comme mécanicien, le 29 janvier 1917 - Affecté au parc de bombardement n° 115, le 15 mai 1917 - Nommé Caporal, le 25 décembre 1917 - Mécanicien de l'escadrille CAP 115 du 29 mars 1918 au 25 août 1919 - Stage DPZA du 13 au 23 octobre 1918 - Affecté à la RGA, le 25 août au 27 septembre 1919 - Démobilisé, le 27 septembre 1919 - Affecté, dans la réserve, au 34ème régiment d'aviation d'observation du Bourget, le 2 mai 1921 - Domicilié au 21, rue de l'industrie à Colombes, à partir du 17 juin 1928 - Affecté, dans la réserve, à la 11ème compagnie de l'Air, le 1er octobre 1934 - Classé en affectation spéciale en qualité d'ajusteur à la société d'aviation Lioré et Olivier, usine au 1, rue du Pérouzet à Argenteuil (Seine-et-Oise), le 4 mars 1936 - Sources : Pam - Fiche matricule du département de la Seine Maritime - CCC escadrille CAP 115 - Dernière mise à jour : 28 septembre 2016.

Sgt Jean Léon Barnetche photographié sur le terrain de Lemmes (55) lors de la 1ère semaine de 1916 - Né le 11 novembre 1884 à Bayonne - Fils d'Alexandre Barnetche et de Catherine Bernettes - Service militaire au 49ème régiment d'infanterie à compter du 8 novembre 1905 - Profession avant guerre Ingénieur - Mobilisé à la 7ème section de chemin de fer de camp territorial - Passé à l'aviation comme électricien, le 15 mars 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1832 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 22 octobre 1915 - Stage de transformation et Haute Ecole à l'école d'aviation militaire de Pau du 23 novembre 1915 au 7 février 1916 - GDE du Plessis-Belleville du 7 février au 8 mars 1916 - Nommé Sergent, le 10 avril 1916 - Pilote de l'escadrille N 57 du 9 mars au 18 août 1916 - Nommé Sergent, le 22 avril 1916 - Evacué pour bronchite, le 18 août 1916 - Hospitalisé à l'hôpital de Bar-le-Duc - Evacué sur un hôpital de l'intérieur, le 2 septembre 1916 - Retour de convalescence, le 23 mars 1917 - GDE du 23 mars au 4 mai 1917 - Pilote de l'escadrille N 314 du 4 mai 1917 au 6 mai 1918 - Nommé Adjudant, le 11 octobre 1917 - Photo Jean Amigues transmise par Jean-Pierre Amigues, son petit-fils que je remercie pour son aide.

Les deux frères André et Jacques Perrin posent en studio, en compagnie de leur père Albert Perrin, à bord d'une nacelle de ballon sphérique en janvier 1908 - Jacques, à droite, est alors caporal du 48ème régiment d'infanterie, qu'il a intégré le 7 octobre 1906 - A gauche, son frère André - Leur père était un ancien combattant de la guerre de 1870 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Nicolas Perrin, petit-fils d'André et Petit-neveu de Jacques, que je remercie pour son aide.

Cne Jean-Jacques Perrin - Né le 15 novembre 1885 au 158, boulevard Voltaire à Paris 11ème (75) - Fils de Félix Henri Albert Perrin (métreur) et d'Ursule Troublé (ménagère) - Domiciliés au 158, boulevard Voltaire à Paris 11ème (75) - Classe 1905 - Recrutement du 4ème bureau de la Seine sous le matricule n° 2172 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 48ème régiment d'infanterie, le 7 octobre 1906 - Nommé Caporal, le 1er octobre 1907 - Nommé Sergent, le 1er mars 1908 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, le 28 mars 1908 - Affecté, dans la réserve, au 71ème régiment d'infanterie, le 1er avril 1908 - Passé dans la disponibilité, le 25 septembre 1908 - Passé dans la réserve, le 1er octobre 1908 - A accompli une période d'instruction au 71ème régiment d'infanterie du 27 avril au 14 mai 1909 - A accompli une période d'instruction au 71ème régiment d'infanterie du 7 au 24 mai 1911 - Affecté, dans la réserve, au régiment d'infanterie de St-Brieuc, le 30 août 1912 - Nommé Lieutenant de réserve, le 1er avril 1912 - Profession avant guerre Architecte - Domicilié au 7, place Voltaire à Paris 11ème (75) - Passé dans le service d'état-major et affecté au gouvernement militaire de Paris, le 6 avril 1914 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 2 août 1914 - Affecté à l'état-major de la 7ème armée, le 6 août 1914 - Affecté à l'état-major de la 63ème division d'infanterie - Citation à l'ordre du 7ème corps d'armée, en date du 16 octobre 1914 - Affecté à l'état-major de la 37ème division d'infanterie, le 24 janvier 1915 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 20 septembre 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 4 décembre 1915 - Observateur de l'escadrille N 26 du 16 au 21 décembre 1915 - Affecté à la RGAé du Bourget, le 21 décembre 1915 - Observateur de l'escadrille N 26 du 27 janvier au 2 août 1916 - Une victoire homologuée, en équipage avec le Sgt de Rochefort, contre une LVG type C abattu à l'Ouest de Keyem (Dixmude / Belgique), le 12 mars 1916 - L'équipage allemand se composait du VzFlugMstr Fritz Stiefvatter (pilote), qui a été tué et le Steuermann Jost (observateur / mitrailleur), qui a été blessé - Ils appartenaient à la MFA I - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre avec palme et citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 avril 1916 - Une victoire homologuée, en équipage avec le Sgt de Rochefort, contre un LVG type C abattu dans les environs de Wizzele (Nord-Est de Cassel / France), le 22 mai 1916 - Citation n° 34 à l'ordre de l'armée, en date du 6 juin 1916 - Envoyé à l'école d'aviation militaire de Juvisy pour suivre la formation initiale de pilote militaire, le 2 août 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4807 obtenu à l'école d'aviation militaire de Juvisy, le 21 octobre 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord, le 29 octobre 1916 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux, le 21 janvier 1917 - Stage de spécialisation de Haute Ecole à l'école d'aviation militaire de Pau du 20 février au 1er mars 1917 - Pilote du GDE du 1er au 15 mars 1917 - Pilote de l'escadrille N 26 du 15 mars au 6 mai 1917 - Au cours d'une reconnaissance d'infanterie sur le Chemin des Dames, pendant laquelle il mitraillait à basse altitude les tranchées ennemies, a eu son appareil touché par les balles tirées par l'infanterie ennemie et a été contraint atterrir sur les premières lignes françaises dans le secteur du bois des Bovettes, le 18 avril 1917 - A retrouvé son frère André qui été dans ce secteur, non loin de là - En mission à Buc du 19 au 22 avril 1917 - Commandant de l'escadrille N 76 du 6 mai 1917 au 5 février 1918 - Citation n° 263 à l'ordre de l'armée, en date du 30 septembre 1917 - Pilote de l'escadrille SPA 81 du 9 février au 7 avril 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 83 du 8 avril au 30 juillet 1918 - Commandant de l'escadrille SPA 314 du 30 juillet au 31 décembre 1918 - L'escadrille SPA 314 a été dissoute, le 31 décembre 1918 - Commandant de l'escadrille SPA 82 du 10 janvier au 20 mars 1919 - L'escadrille SPA 82 a été dissoute le 20 mars 1919 - Envoyé au dépôt de matériels d'aéronautique n° 2, le 21 mars 1919 - Démobilisé, le 25 mars 1919 - Affecté, dans la réserve, au 3ème régiment d'aviation, le 30 août 1920 - Marié avec Mlle Hélène Matilde Anny à la mairie du 3ème arrondissement de Paris, le 7 mars 1922 - L'arme de l'aéronautique militaire a été créée, le 7 juillet 1923 - Passé dans l'arme de l'Aéronautique, le 7 juillet 1923 - A effectué une période volontaire au 3ème régiment d'aviation du 4 au 6 octobre 1926 - Affecté, dans la réserve, au centre de mobilisation d'aviation n° 2, le 1er décembre 1928 - Cesse de faire partie du personnel navigant et classé dans le cadre sédentaire, le 1er août 1936 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne de Châteauroux, suite à la réorganisation territoriale de l'armée de l'Air, le 1er décembre 1936 - Proposé pour mise en non-disponibilité pour infirmité temporaire par la 4ème commission de réforme de la Seine, le 3 novembre 1937 - Décédé à Villejuif (Val-de-Marne), le 15 janvier 1939 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 5433) de la mairie du 11ème arrondissement de Paris (75) - Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille N 26 - CCC de l'escadrille N 76 - CCC de l'escadrille SPA 314 - CCC de l'escadrille SPA 82 - CCC de l'escadrille SPA 81 - CCC de l'escadrille SPA 83 - Fiche matricule du 4ème bureau de la seine conservé aux archives départementales de Paris - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 29 juin 2022.

* Citation à l'ordre du 7ème corps d'armée, en date du 16 octobre 1914 : "Le 13 septembre, s'est très activement et courageusement employé à rétablir l'ordre dans certaines unités de la 63ème division de réserve, très éprouvées par le feu et les attaques de l'adversaire. A groupé autour de lui une fraction importante de ces troupes dont les chefs avaient été tués ou blessés. L'a conduite sous le feu en premières lignes, est resté à la tête de cette fraction pendant la dernière phase du combat et toute la nuit qui a suivi."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre avec palme et citation n° 2706 à l'ordre de l'armée, en date du 7 avril 1916 : "Officier qui a fait preuve en toutes circonstances de belles qualités militaires. Affecté à l'état-major d'une armée, puis à celui d'une division, a mérité dans ses fonctions une brillante citation. Observateur en avion depuis janvier 1916, a toujours très bien rempli les missions de reconnaissances et de chasse qui lui ont été confiées. Plein d'allant et de résolution, a livré le 12 mars 1916 deux combats à des avions ennemis et au cours de l'un d'eux, a abattu un adversaire dans les lignes ennemies."

* Citation n° 34 à l'ordre de l'armée du Cne Jean-Jacques Perrin, observateur à l'escadrille N 26, en date du 6 juin 1916 : "Observateur d'une bravoure et d'une adresse remarquables; a abattu le 22 mai, après un combat acharné, un appareil ennemi qui se dirigeait sur Dunkerque. Avait déjà abattu un avion ennemi."

* Citation n° 263 à l'ordre de l'armée du Cne Jean-Jacques Perrin, au 71ème régiment d'infanterie, commandant l'escadrille N 76, en date du 30 septembre 1917 : "Donne à ses pilotes le plus bel exemple. Le 18 avril 1917, au cours d'une reconnaissance d'infanterie pendant laquelle il mitraillait à basse altitude les tranchées ennemies, a eu son appareil gravement atteint par les balles de terre et a dû atterrir sur les premières lignes françaises. A participé aux dernières reconnaissances photographiques pénétrant à grande distance en territoire ennemi et rapportant des renseignements précieux pour le commandement. A soutenu plusieurs combats."

 

Photo du Ltt Albert Mahieux

Ltt Albert André Mahieux - Né le 21 novembre 1883 à Pontoise (Seine-et-Oise) - Fils d'Emile Maxime Constant Mahieux (marchand de vins) et d'Augustine Fréquelin - Classe 1903 - Recrutement de Troyes sous le matricule n° 1381 - Engagé volontaire pour trois ans au 35ème régiment d'infanterie, à compter de 30 novembre 1903 - Nommé Caporal, le 1er avril 1904 - Nommé Sergent, le 8 février 1905 - Rengagé pour deux ans, le 30 novembre 1906 - Rengagé pour deux ans, à compter le 30 novembre 1908 - Rengagé pour trois ans, le 30 novembre 1910 - Affecté à l'école normale de gymnastique et d'escrime de Joinville, le 25 octobre 1911 - Nommé Sergent moniteur, le 26 octobre 1911 - Marié avec Irma Louise Anaïs Metton à Bois-Colombes, le 5 juillet 1913 - Domiciliés au 7, rue du Chemin Vert à St-Maurice - Rengagé pour deux ans, le 30 novembre 1913 - Nommé Sergent-major, le 12 octobre 1913 - Nommé Adjudant, le 1er juin 1914 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 17 mars 1915 - Affecté au 1er régiment de Zouaves du 3 août 1914 au 28 mars 1915 - Blessé par éclat d'obus à l'omoplate gauche à Fismes, le 12 septembre 1914 - Affecté au 4ème régiment de Zouaves du 28 mars 1915 au 1er juin 1916 - Blessé par éclat d'obus au poignet droit à Lonbantzide, le 10 juin 1915 - Citation n° 200 à l'ordre du 4ème régiment de Zouaves, en date du 18 novembre 1915 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 26 décembre 1915 - Nommé Lieutenant à titre temporaire, le 18 mai 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 1er juin 1916 - Observateur au GDE - Observateur de l'escadrille N 38 du XXX au 6 janvier 1917 - Citation n° 705 à l'ordre de l'armée, en date du 24 janvier 1917 - Nommé Lieutenant à titre définitif, le 7 mai 1917 - Observateur de l'escadrille R 214 du 6 janvier au 30 juillet 1917 - Envoyé au repos à la maison de santé de Viry-Chatillon, à compter du 30 juillet 1917 - Passé élève pilote de l'école d'aviation militaire de Chartres, le 20 septembre 1917 - Brevet de pilote militaire n° 9803 obtenu à l'école d'aviation militaire de Chartres, le 8 novembre 1917 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord - Stage de "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 12 janvier 1918 - Pilote du GDE du 12 janvier au 2 mai 1918 - Lâché sur SPAD, le 14 février 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 314 du 2 mai au 31 octobre 1918 - Commandant de l'escadrille BR 45 du 3 novembre 1918 au 19 mars 1919 - Affecté à la 43ème compagnie d'ouvriers d'aviation, le 19 mars 1919 - Affecté au 89ème régiment d'infanterie, le 31 octobre 1919 - Affecté au 54ème régiment d'infanterie, le 24 janvier 1920 - Affecté à l'entrepot spécial d'aviation n° 4, le 5 juin 1920 - Affecté au 34ème régiment d'aviation d'observation du Bourget, le 18 juin 1920 - Nommé Capitaine, le 23 septembre 1921 - Détaché à Joinville pour trois mois du 1er mai au 13 août 1925 - Affecté au 2ème groupe d'ouvriers d'aéronautique comme officier instructeur au centre d'instruction physique d'Antibes, le 6 septembre 1925 - Affecté à l'école pratique d'aviation d'Istres, le 9 mai 1929 - Affecté au 2ème groupe d'ouvriers d'aéronautique, en février 1930 - Affecté à l'entrepot général d'aviation de n° 3 de St-Cyr - Nommé Chef de bataillon, le 25 décembre 1933 - Admis à un congé du personnel navigant, à compter du 15 octobre 1936 - Décédé à Montélimar (Drôme), le 6 novembre 1937 - Albert Mahieux repose dans le cimetière de Grignan (Drôme) - Photo Alain Octavie que je remercie pour son aide - Sources : Pam - CCC escadrille R 214 - CCC escadrille SPA 314 - CCC escadrille BR 45 - FM département de l'Aube - Dernière mise à jour : 24 février 2016.

* Citation n° 200 à l'ordre du 4ème régiment de Zouaves, en date du 18 novembre 1915 : "Excellent officier a toujours montré un allant et une énergie remarquables, s'est particulièrement signalé au combat du 12 septembre 1914 en entrainant sa section à l'assaut d'une position ennemie où il fut grièvement blessé."

* Citation n° 705 à l'ordre de l'armée du Ltt Albert André Mahieux, observateur à l'escadrille N 38, en date du 24 janvier 1917 : "Bon observateur énergique et plein de sang-froid. A exécuté depuis juillet 1916 de nombreuses reconnaissances d'armée. Au cours de l'une d'elle, ayant été attaqué par cinq avions ennemis les mis en fuite forçant l'un d'eux à piquer verticalement dans ses lignes et à s'écraser sur le sol. En décembre 1916, a effecté une série de reconnaissances particulièrement périlleuses."

 

Photo du Cne André de Sévin de Quincy

Cne André Henri Armand de Sévin de Quincy - Né le 12 juillet 1894 à Pau (Pyrénées Atlantiques) - Fils de Roger Joseph Marie de Sévin de Quincy et de Marie Louise Thérèse Antoinette d'Aynard - Domiciliés Haras de Gelos par Pau (Pyrénées Atlantiques) - Profession avant guerre Etudiant - Classe 1914 - Recrutement de Pau sous le matricule n° 1561 - Engagé volontaire pour huit ans, le 17 août 1914 - Incorporé au 18ème régiment d'infanterie, le même jour - Nommé Caporal, le 16 octobre 1914 - Détaché au 144ème régiment d'infanterie, le 24 septembre 1914 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 5 décembre 1914 - Affecté provisoirement au dépôt du 144ème régiment d'infanterie, le 25 décembre 1914 - Affecté au 34ème régiment d'infanterie, le 8 janvier 1915 - Blessé à Hurtebise, le 24 janvier 1915 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 25 mars 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 10 juin 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1714 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 7 octobre 1915 - Pilote de la RGAé - Nommé Lieutenant à titre définitif, le 31 décembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 461 du CRP du (4ème trimestre 1915) au 16 juillet 1917 - Une citation à l'ordre de l'aéronautique, le 14 juillet 1916 - Pilote du GDE du 16 au 23 juillet 1917 - Pilote de l'escadrille N 314 du 23 juillet 1917 au 22 mai 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 151 du 23 mai 1918 au 24 mars 1919 - Chevalier de la Légion d'Honneur, le 20 octobre 1918 - Croix de Guerre avec 3 palmes de bronze et 3 étoiles (6 citations) - Nommé Capitaine à titre temporaire, le 25 octobre 1918 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 2 avril 1919 - Affecté à l'organe de coordination générale de l'aéronautique, dépendant du SFAé - Affecté sur sa demande au Groupement aéronautique n° 4 du Bourget, le 30 octobre 1919 - Affecté au 4ème régiment d'aviation d'observation, le 30 octobre 1919 - Affecté sur sa demande au 7ème régiment d'aviation d'observation, le 9 février 1920 - Affecté au 31ème régiment d'aviation d'observation, le 26 juillet 1920 - Affecté au 2ème régiment d'aviation de chasse, le 9 février 1923 - Affecté au 2ème régiment d'aérostation, le 26 mai 1924 - Nommé Nommé Chef de bataillon, le 18 mars 1933 - Nommé Commandant provisoire de la base d'aérostation n° 153, le 1er janvier 1934 - Suit les cours du centre d'études tactiques d'artillerie de Metz du 28 février au 29 mars 1934 - Officier de la Légion d'Honneur en 1935 - Nommé Lieutenant-Colonel, le 3 décembre 1938 - Sources : Pam - FM 64 - CCC 461 - CCC 314 - CCC 151 - JORF - Dernière mise à jour : 25 juin 2015.

Sous-officiers pilotes et mécaniciens de l'escadrille N 79 sur le terrain de Frétoy en mars 1917 - De gauche à droite : 1. MdL Robert Goury du Roslan (pilote) - 2. MdL Alain Gerbault (pilote) - 3. MdL Roger Brétillon (pilote) - 4. Sgt Pierre Leroy (mécanicien) - 5. Cal Raphaël Foa (pilote) - 6. Sgt Jean Sandières (pilote) - 7. Cal Louis Tintant (pilote) - Photo collections du SHD du château de Vincennes.

7. Cal Louis Tintant - Né le 16 août 1897 à Paris (75) - Fils de Baptiste Tintant et Caroline Dairet - Engagé comme élève pilote au 1er groupe d'aviation, le 6 novembre 1915 - Nommé Caporal, le 4 août 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4016 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Avord, le 23 août 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire de Tours - Stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux - Stage de Haute-Ecole à l'école d'aviation militaire de Pau - Centre d'aviation de Villacoublay jusqu'au 23 décembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 79 du 23 décembre 1916 au 1er avril 1917 - Hospitalisé à la maison de repos VR 75 de Viry-Chatillon du 1er au 18 avril 1917 - Nommé Sergent, le 20 juillet 1917 - Pilote de l'escadrille N 314 / SPA 314 du 9 juin 1917 au 29 mai 1918.

 

Photo du Sgt Alfred Raveau

Sgt Alfred Georges Raveau - Né le 8 février 1893 au 55, rue de Paris à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) - Fils de Rémy Arthur Raveau (patissier) et de Maria Massay (patissière) - Domiciliés au 27, boulevard de Grenelle à Paris 15ème - Profession avant service militaire Photographe - Domicilié au 4, rue Francisque Sarcey à Paris 16ème - Classe 1913 - Recrutement du 2ème bureau de la Seine sous le matricule n° 2675 - Appelé pour effectuer son service militaire dans l'aérostation, le 27 novembre 1913 - Photographe du centre d'aérostation de Chalais-Meudon, à compter du 27 novembre 1913 - Affecté à la compagnie d'aviation du 2ème groupe d'aviation avant de rejoindre l'escadrille MF 98 T en formation à Lyon-Bron, le 17 mars 1915 - L'escadrille quitte Lyon-Bron, le 24 mars 1915 - Séjourne à Marseille du 25 au 27 mars 1915 - la MF 98 T embarque sur le navire "Gange" à destination d'Alexandris (Egypte), le 28 mars 1915 et débarque sur place, le 4 avril 1915 - Photographe de l'escadrille MF 98 T d'Orient (future escadrille 524) du 24 mars 1915 au 1er trimestre 1916 - Nommé Caporal, le 11 septembre 1915 - Citation à l'ordre du corps d'expéditionnaire d'Orient, en date du 15 septembre 1915 - Croix de Guerre, en date du 19 septembre 1915 - Rapatrié sur maladie (probablement paludisme) d'Orient pendant le 1er trimestre 1916 - En convalescence après son retour en France - Croix de guerre anglaise, le 10 mai 1916 - Envoyé au dépôt de Lyon, le 16 mai 1916 - Envoyé au dépot mobile - Affecté au Parc n° 8 du 6 juin au 16 juillet 1916 - Nommé Sergent en juillet 1916 - Photographe de l'escadrille C 74 du 16 au 18 juillet 1916 - Envoyé à l'école militaire d'aviation de Dijon-Longvic comme élève pilote pour suivre la partie théorique de la formation élémentaire, le 19 août 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4799 obtenu à l'école militaire d'aviation de Buc, le 20 octobre 1916 - Stage de perfectionnement à l'école militaire d'aviation d'Avord - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux - Stage de "Haute Ecole" à l'école militaire d'aviation de Pau - Pilote du SFA jusqu'au 21 mars 1917 Pilote de l'escadrille N 314 du 21 mars au 19 avril 1917 - En subsistance à l'escadrille SOP 111 du 21 au 24 mars 1917 - A convoyé un avion de la RGAé vers l'escadrille N 314, le 14 avril 1917 - Hospitalisé à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris au cours d'une permission de 24 heures pour rechute de paludisme, le 19 avril 1917 - En convalescence, jusqu'au 21 juin 1917 - Pilote de l'escadrille N 69 / SPA 69 du 5 juillet au 15 octobre 1917 - Citation n° 5 à l'ordre du 5ème corps d'armée, en date du 20 août 1917 - Blessé par deux balles à la main, au cours d'un combat aérien contre un biplace, aux commandes d'un SPAD VII, au dessus de Neuville, le 14 octobre 1917 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, en date du 5 novembre 1917 - Pilote de l'escadrille SPA 163 du 15 avril au 3 mai 1918 - Tué au cours d'un accident d'avion, aux commandes du SPAD VII n° 5491, le 3 mai 1918 - Son corps a été transporté à l'ambulance 7/2 (hôpital de campagne) de Saint-Hilaire-au-Temple (Marne), le même jour - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 34) de la commune de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) - Pam (2 fiches) - Fiche matricule du 2ème bureau de la Seine conservée par les archives départementales de Paris - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille MF 98 T (future escadrille 524) - CCC de l'escadrille C 74 - CCC de l'escadrille N 314 - CCC de l'escadrille N 69 / SPA 69 - CCC de l'escadrille SPA 163 - MpF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 9 mars 2025.

 

Les Hommes

Cne Louis Alexandre Sylvain Vuillet - Né le 28 septembre 1888 au 78, boulevard Sébastopol à Paris 3ème - Fils de Félicien Louis Vuillet (lapidaire) et de Louise Cahour - Domiciliés au 66, boulevard Sébastopol à Paris 3ème - Classe 1908 - Recrutement du 4ème bureau de la Seine sous le matricule n° 691 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre du 113ème régiment d'infanterie, le 1er octobre 1907 - Nommé Caporal, le 11 juin 1908 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, le 1er avril 1909 - Affecté au 59ème régiment d'infanterie, le 1er avril 1909 - Fin d'engagement et passage dans la disponibilité de l'armée d'active, le 25 septembre 1909 - A effectué une période de réserve au 259ème régiment d'infanterie du 30 septembre au 18 octobre 1912 - Profession avant guerre Diamantaire - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, au titre du 59ème régiment d'infanterie du 2 août 1914 - Affecté au 259ème régiment d'infanterie du 2 août 1914 au 28 février 1915 - Blessé au ventre par balle de fusil, le 1er septembre 1914 - Nommé Lieutenant, à titre définitif, le 2 septembre 1914 - Affecté à l'encadrement du 2ème groupe d'aviation au fort de Bron (Lyon), le 10 mars 1915 - Envoyé au camp retranché de Paris (CRP), le 2 juin 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 26 février 1915 - Observateur de la RGAé du XX mars au 24 août 1915 - Observateur de l'escadrille MS 26 du 24 août au 26 septembre 1915 - Nommé Capitaine, à titre temporaire, le 19 septembre 1915 - Remis Lieutenant, le 7 novembre 1915 - Parti pour Lyon avant affectation au front d'Orient, le 26 septembre 1915 - Observateur de l'escadrille N 91 S (future escadrille N 391 / SPA 507) du front d'Orient du 12 octobre 1915 au (début 1917) - Citation n° 2 à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient en février 1916 - Citation n° 35 à l'ordre de l'armée d'Orient, en date du 12 avril 1916 - Brevet de pilote militaire n° 5492 obtenu à l'école militaire d'aviation de Tours, le 27 février 1917 - Stage de perfectionnement à l'école militaire d'aviation de Châteauroux - Pilote de l'escadrille N 65 du 12 juin au 27 septembre 1917 - Nommé Capitaine de réserve, à titre définitif, le 12 juillet 1917 - Evacué sur un hopital du 27 septembre au 26 novembre 1917 - Pilote de l'escadrille N 314 du 26 novembre au 4 décembre 1917 - Commandant de l'escadrille N 314 / SPA 314 du 4 décembre 1917 au (3ème trimestre) 1918 - Stage sur SPAD VII et XIII, les 28 et 29 mai 1918 - Convoyage d'un SPAD XIII depuis l'annexe RGAé du Bourget-Dugny du 29 mai 1918 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 28 septembre 1918 - Affecté au 77ème régiment d'infanterie, le 29 avril 1920 - Affecté, dans la réserve, au 5ème régiment d'aviation d'observation à Bron, le 6 juillet 1920 - Marié avec Mlle Léonie Léontine Essique au Vésinet (Seine-et-Oise), le 21 septembre 1922 - Affecté, dans la réserve, au 34ème régiment d'aviation, le 30 avril 1924 - Proposé pour le maintien dans les cadres avec pension d'invalidité temporaire de 30 % pour ancienne plaie par balle à l'abdomen ayant pénétré au niveau de la 3ème lombaire et à trois travers de doigt à droite de la vertébre - Au niveau de l'ombilic, cicatrice de drainage sus pubien, déformation de l'apophyse traverse droite de la zone lombaire - Proposé pour le maintien dans les cadres avec pension temporaire de 30 % pour séquelles de transfixion de l'abdomen par balle par la 3ème commission de réforme de la Seine, le 1er juillet 1930 - Proposé pour le maintien dans les cadres avec pension temporaire de 30 % pour cicatrice de transfixion abdominale souple et sans adhérence, douleurs persistantes par la 2ème commission de réforme de la Seine, le 28 mai 1932 - Domicilié au 27, rue Laffitte à Paris 9ème, à compter du 25 juin 1932 - Affecté à la base aérienne du Bourget-Dugny, le 1er décembre 1936 - Affecté à la base aérienne de Paris-Issy-les-Moulineaux, le 8 janvier 1937 - Décédé à Bains-les-Bains (Vosges), le 10 juin 1964 - Photo transmise par Philippe Thémé que je remercie pour son aide - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 1545) de la mairie du 3ème arrondissement de Paris - Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - Fiche matricule du 4ème bureau de la Seine conservée aux archives départementales de Paris - CCC de l'escadrille MS 26 - CCC de l'escadrille N 65 - CCC de l'escadrille SPA 507 - CCC de l'escadrille N 314 / SPA 314 - JORF - Dernière mise à jour : 29 octobre 2024.

* Citation n° 2 à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient en février 1916 : "A exécuté, comme observateur, de très belles reconnaissances d'arméer au cours desquelles il a montré sang-froid, bravoure, coup d'oeil et esprit de décision."

* Citation n° 35 à l'ordre de l'armée d'Orient, en date du 12 avril 1916 : "Blessé deux fois très grièvement dans l'infanterie . Observateur tout à fait remarquable, tant par la bravoure et son sang-froid que par sa tenacité et sa conscience, s'est distingué dans plusieurs combats aériens, notamment le 27 mars 1916."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Cne Louis Vuillet au 259ème régiment d'infanterie, commandant l'escadrille SPA 314, en date du 28 septembre 1918 : "Officier d'une énergie exceptionnelle. Très grièvement blessé à l'abdomen et rendu inapte à l'infanterie et passé dans l'aviation sur sa demande. Etant à peine guéri, s'est signalé comme observateur remarquable, puis comme ardent pilote de chasse. Deux citations. (A déjà reçu le Croix de guerre.)"

Cne Louis Vuillet, commandant de l'escadrille N 314 du 4 décembre 1917 au 3ème trimestre 1918, aux commandes de son Nieuport 24 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Philippe Thémé que je remercie pour son aide.

Autre photo du Cne Louis Vuillet, commandant de l'escadrille N 314, aux commandes de son Nieuport 24 - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Philippe Thémé que je remercie pour son aide.

MdL Louis Jean Boyer - Né le 15 mars 1898 à Moussan (Aude) - Fils de Jean Eugène Boyer et de Marie Louise Cros - Domiciliés Quai Riquet-Olivette à Carcassonne (Aude) - Profession avant guerre Ajusteur mécanicien - Classe 1918 - Recrutement de Carcassonne (Aude) sous le matricule n° 511 - Engagé volontaire pour quatre ans, au titre du 116ème régiment d'artillerie lourde, à compter du 9 avril 1917 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 31 juillet 1917 - Tests de sélection et cours théoriques à l'école d'aviation militaire de Dijon (Côte-d'Or) - - Nommé Caporal, le 7 septembre 1917 - Brevet de pilote militaire n° 9469 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Istres, le 22 octobre 1917 - Insigne (macaron) de pilote militaire n °  B 7666 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation de Miramas - Stage de "Haute Ecole" à l'école d'aviation militaire de Pau, jusqu'au 15 janvier 1918 - Pilote du GDE du 15 au XXX mai 1918 - Lâché sur avions SPAD VII et XIII, le 30 janvier 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 97 (affectée au GC 15) du 9 février au 24 juillet 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 11 mai 1918 - Nommé Maréchal des Logis, le 21 avril 1918 - A remporté une victoire homologuée contre un Drachen abattu en flammes, au Nord de Contoire, le 22 avril 1918 - Blessé par balle et éclat d'obus, le 15 mai 1918 - Hospitalisé le 17 juin 1918 et rentré à l'unité, le 24 juillet 1918 - Pilote du GDE du XXX au 23 septembre 1918 - Pilote de l'escadrille SPA 314 du 23 septembre 1918 au 1er janvier 1919 - Pilote du CIACB de Perthes du 1er janvier au 25 février 1919 - Pilote de l'escadrille SPA 77 du 25 février 1919 au 1er janvier 1920 - L'escadrille SPA 77 devient la 108ème escadrille du 2ème régiment d'aviation de chasse de Strasbourg, le 1er janvier 1920 (création des régiments d'aviation) - Démobilisé et passage dans la réserve, en date du 9 avril 1921 - Marié à Mlle Zélia Marguerite Andrieu à Castres (Tarn), le 28 octobre 1921 - Profession après guerre Mécanicien garagiste - Domicilié au 32, rue Fuziés à Castres (Tarn), à compter du 18 février 1922 - Domicilié au n° 18 rue Salvan de Saliès à Albi (Tarn), à compter du 2 juin 1922 - Domicilié au 71, route de Toulouse à Carcassonne (Aude), le 6 janvier 1924 - Domicilié Maison Garauril au Quartier Salande à Carmaux (Tarn), à compter du 28 octobre 1924 - Affecté, dans la réserve, au 2ème groupe d'ouvriers d'aéronautique, le 15 mai 1926 - Domicilié à Allès-des-Mines (Dordogne), à compter du 21 juillet 1929 - Domicilié à la société nationale des Platres à Fitou (Aude), à compter du 7 juillet 1930 - Domicilié au 8, rue droite du Conat à Carcassonne (Aude), à compter du 30 décembre 1931 - Affectation, dans la réserve, au 2ème bataillon de l'air par changement de dénomination de l'unité, le 1er août 1933 - Domicilié route de Carcassonne à Lézignan-Corbières (Aude), à compter du 8 novembre 1935 - Affecté, dans la réserve, à la base aérienne d'Istres (Bouches-du-Rhône), le 1er décembre 1936 - Médaille Militaire, le 25 décembre 1937 - Affecté à la base aérienne de Salon-de-Provence, le 15 janvier 1938 - Affecté à la base aérienne de Montpellier, le 15 septembre 1938 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 1er septembre 1939 - Nommé Sergent-chef, le 1er septembre 1939 - Affecté à la base aérienne 108, le 2 septembre 1939 - Affecté au bataillon de l'air n° 101 de Toulouse, le 15 décembre 1939 - Dirige la Légion des volontaires Français (LVF) à Carcassonne pendant la seconde guerre mondiale - A été condamné à mort par la cour de justice de Montpellier, section de Carcassonne, le 4 mai 1945 - Fusillé à Carcassonne, le 7 juin 1945 - Photo Louis Boyer transmise par Thierry Darly, son petit-neveu, que je remercie pour son aide - Sources : Pam - Liste de brevets militaires - CCC de l'escadrille SPA 97 - CCC de l'escadrille SPA 314 - CCC de l'escadrille SPA 77 - Fiche matricule du département de l'Aude - Bailey / Cony - JORF - Dernière mise à jour : 26 janvier 2019.

* Citation à l'ordre de l'armée du Brig Louis Boyer, du 116ème régiment d'artillerie lourde, pilote à l'escadrille SPA 97, en date du 11 mai 1918 : "Jeune pilote de chasse plein d'allant. Le 22 avril 1918, a abattu un Drachen en flammes."

Slt Edmond Chamboredon, pilote de l'escadrille N 314 du 21 mars 1917 au 20 mai 1918, pose fièrement, en compagnie d'un camarade, devant son Nieuport 17 en 1917 - Photo collection Philippe Guillermin que je remercie pour son aide.

Ltt Edmond Frédéric Chamboredon - Né le 11 octobre 1888 à Anduze (Gard) - Fils de Frédéric Henri Chamboredon et de Léontine Evesque - Profession avant guerre Employé de Commerce - Classe 1908 - Recrutement de Nimes (Gard) sous le matricule n° 1534 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre du 40ème régiment d'infanterie, le 6 janvier 1909 - Nommé Caporal, le 27 septembre 1909 - Nommé Sergent, le 26 avril 1910 - Nommé Sergent-fourrier, le 18 juillet 1910 - Repassé Sergent, le 26 juillet 1911 - Rengagé pour un an, au titre du 119ème régiment d'infanterie, à compter du 6 janvier 1912 - Rengagé pour un an, à compter du 6 janvier 1913 - Rengagé pour un an, à compter du 6 janvier 1914 - Nommé Adjudant, le 1er septembre 1914 - Blessé au combat, le 5 septembre 1914 - Hospitalisation et convalescence du 5 septembre au 14 octobre 1914 - Nommé Sous-lieutenant, à titre temporaire, le 11 novembre 1914 - Blessé par une fracture du col et de l'épine de l'omoplate dans la région scapulaire gauche par un éclat d'obus à Souchez, le 23 juin 1915 - Hospitalisation en convalescence du 23 juin au 22 juin 1916 - Citation n° 282 à l'ordre du 119ème régiment d'infanterie, en date du XX juin 1915 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 juin 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 15 juin 1916 - Envoyé au cours d'Avord pour suivre les cours théoriques de pilote militaire, le 15 juin 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4766 obtenu à l'école d'aviation militaire de Juvisy, le 16 octobre 1916 - Stage de perfectionnement "Avions rapides" à l'école d'aviation militaire d'Avord du 22 octobre au 31 décembre 1916 - Nommé Sous-lieutenant, à titre définitif, le 15 novembre 1916 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 31 décembre 1916 au 4 janvier 1917 - Stage de Haute Ecole à l'école d'aviation militaire de Pau du 4 janvier au 20 février 1917 - A l'annexe RGA d'Etampes-Mondésir pour la formation de l'escadrille N 314 du 20 février au 21 mars 1917 - En subsistance à l'escadrille SOP 111 jusqu'au 20 mars 1917 - Pilote de l'escadrille N 314 du 21 mars 1917 au 20 mai 1918 - Nommé Lieutenant, à titre définitif, le 11 avril 1917 - Stage de tir à l'école de tir aérien de Cazaux du 11 décembre 1917 au 4 janvier 1918 - Stage à l'école de tir aérien de Cazaux du 5 mars au 1er avril 1918 - Au cours d'une patrouille sur les lignes allemandes, son Nieuport 27 a été touché par un obus de Flak, le 1er mai 1918 - L'avion, qui n'a pu être repris par son pilote, s'est écrasé - Le pilote, blessé d'une fracture à la machoire, a été évacué sur l'hôpital de Varangéville, le 1er mai 1918 - Hospitalisé et convalescence du 1er mai 1918 au 30 avril 1919 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 9 mai 1918 - Transféré sur un hôpital de l'intérieur, le 14 septembre 1918 - A demandé un congé sans solde de deux ans, à compter du 10 août 1919 - Profession après guerre Bijoutier - Placé en position "Hors cadre aéronautique" - Affecté, dans la réserve, au 1er régiment d'aviation d'observation de Tours (Indre-et-Loire), le 5 juin 1920 - Affecté au 67ème régiment d'infanterie, le 9 juin 1921 - Démissionnaire de l'armée active et affecté, dans la réserve, au 4ème régiment d'infanterie, le 6 septembre 1921 - Affecté dans la réserve, au 34ème régiment d'aviation du Bourget-Dugny, le 14 décembre 1922 - Domicilié au 22, rue Châge à Meaux (Seine-et-Marne) - Pension temporaire d'invalidité de 10 % pour problèmes pulmonaires à gauche avec respiration rude et prolongée suite à une fracture de maxilaire inférieur avec perte de huit dents par la 1ère commission de la Seine, en date du 20 juin 1923 - Pension temporaire d'invalidité de 15 % pour légère sclérose du sommet du poumon gauche, cicatrice à l'épine de l'omoplate gauche avec perte de substance musculaire, limitation de l'élévation du bras par la commission de la Seine, en date du 14 septembre 1923 - Pension temporaire d'invalidité de 15 % pour reliquat de fracture du maxillaire supérieur et inférieur à droite, perte de huit dents en haut et six en bas , cicatrice dans la fosse sus-épineuses gauche avec légère gêne dans le mouvement de l'élévation extrême de l'épaule par la 5ème commission de la Seine, en date du 5 mai 1925 - Domicilié au 7, faubourg Poissonnière à Paris 9ème (75), à compter du 6 mai 1925 - Pension temporaire d'invalidité de 25 % pour reliquat de fracture du maxillaire supérieur gauche et du maxillaire inférieur des deux branches horizontales, perte de 8 dents supérieures et 6 inférieures, cicatrice dans la fosse sus-épineuses gauche avec légère gêne dans le mouvement de l'élévation extrême de l'épaule par la commission de réforme de Melun, en date du 15 mars 1927 - Affecté, dans la réserve, au centre de mobilisation d'aviation n° 34, le 1er août 1928 - Domicilié au 169, avenue de la République à Fontenay-sous-Bois (Seine-St-Denis), à compter du 6 juillet 1928 - Autorisé à effectuer un stage de deux mois au 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique, au titre du service actif, en date en 27 mars 1929 - Nommé Lieutenant d'aéronautique dans l'armée d'active, au titre des emplois comptables ou d'encadrement, le 9 avril 1929 - Affecté comme adjoint au trésorier du 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique, le 9 avril 1929 - Pension temporaire d'invalidité de 35 % pour reliquat de fracture du maxillaire supérieur gauche et du maxillaire inférieur des deux braches horizontales, perte de 8 dents supérieures et 6 inférieures, cicatrice dans la fosse sus-épineuses gauche avec légère gêne dans le mouvement de l'élévation extrême de l'épaule, légère gêne respiratoire par la 6ème commission de réforme de la Seine, en date du 19 septembre 1929 - Réintégré dans la personnel navigant, le 18 juillet 1930 - Affecté au service général du ravitaillement en matériel d'aviation, le 22 septembre 1930 - Pension temporaire d'invalidité de 45 % pour reliquat de fracture du maxillaire supérieur gauche et du maxillaire inférieur des deux braches horizontales, perte de 8 dents supérieures et 6 inférieures, gêne de la mastication, cicatrice adhérente à l'os avec perte de substance musculiare et osseuse, gêne dans l'élévation du bras avec entrainement de l'omoplate par la commission de réforme de la Seine, en date du 30 octobre 1930 - Pension temporaire de 55 % pour les mêmes raison par la 4ème commission de réforme de la Seine, le 10 juin 1931 - Décision confirmée le 6 mars 1933 - Nommé Capitaine de réserve, le 25 juin 1933 - Grade d'Officier de la Légion d'Honneur, en date du 28 décembre 1934 - Pension de 55 % confirmée par la 5ème commission de réforme de la Seine, le 10 septembre 1935 - Passé dans le corps des officiers des services administratifs de l'Air, le 1er janvier 1936 - Affecté à la 17ème compagnie de l'Air, le 12 mars 1936 - Pension d'invalidité de 55 % confirmée par la 6ème commission de réforme de la Seine, le 8 décembre 1936 - Médaille de l'éducation et des Sports, en date du 11 mai 1937 - Affecté à l'échelon léger de la direction du matériel aérien militaire, le 6 novembre 1939 - Affecté à l'atelier de réparation de l'armée de l'Air à Clermont-Ferrand, le 6 août 1940 - Admis à la retraite, le 2 août 1940 - Rayé de cadres de l'armée d'active, le 20 septembre 1940 - Domicilié au 24, rue Courteline à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) - Pension d'invalidité définitive de 75 % par la 6ème commission de réforme de Paris (75), en date du 27 janvier 1950 - Sources : Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales du Gard - CCC de l'escadrille N 314 / SPA 314 - JORF - Bailey / Cony - Dernière mise à jour : 6 juillet 2022.

* Croix de Guerre et citation n° 282 à l'ordre du 119ème régiment d'infanterie, en date du XX juin 1915 : "Officier d'une ardente bravoure et d'une activité inlassable, ayant un grand escendant sur ses hommes. Blessé grièvement le 23 juin 1915, à la tête de sa section de mitrailleuses, sur une position violemment bombardée, a fait éloigner de lui les hommes qui voulaient s'exposer pour lui porter secours et n'a quitté son poste, que lorsque le commandement de son unité eut été assuré par son remplaçant. Avait déjà été blessé le 5 septembre 1914."

* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Slt Edmond Frédéric Chamboredon au 119ème régiment d'infanterie, en date du 7 juin 1916 : "Officier d'une ardente bravoure et d'une activité inlassable, ayant un grand ascendant sur ses hommes. Blessé grièvement le 23 juin 1915, à la tête de sa section de mitrailleuses, sur une position violemment bombardée, a fait éloigner de lui les hommes qui voulaient s'exposer pour lui porter secours et n'a quitté son poste, que lorsque le commandement de son unité eut été assuré par son remplaçant. Avait déjà été blessé le 5 septembre 1914."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt Edmond Frédéric Chamboredon du 119ème régiment d'infanterie, pilote à l'escadrille SPA 314, en date du 9 mai 1918 : "Au cours d'une patrouille, son appareil ayant été atteint d'un obus ennemi, a fait une chute très grave et a eu la machoire brisée. Troisième blessure."

Slt Edmond Chamboredon, pilote de l'escadrille N 314 du 21 mars 1917 au 20 mai 1918 pose avec son Nieuport 17 en 1917 - Remarquez les traces d'huile très généreuses propulsées par le moteur rotatif - Photo collection Philippe Guillermin que je remercie pour son aide.

Slt Edmond Chamboredon, pilote de l'escadrille N 314 du 21 mars 1917 au 20 mai 1918, pose avec son Nieuport 24 en 1917 - Remarquez les flasques de roues rayées très probablement en rouge et blanc, les couleurs de l'insigne d'escadrille - Photo collection Philippe Guillermin que je remercie pour son aide.

 

Les avions

Nieuport 24 n° N 3848 à son arrivée à l'escadrille N 314 - Il ne porte pas encore l'insigne de l'escadrille - A comparer avec l'autre photo de cet avion - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Philippe Thémé que je remercie pour son aide.

Nieuport 21 de l'escadrille N 314 probablement au printemps 1918 - Remarquez le second insigne d'escadrille, la Croix de Lorraine posé sur des chardons - Photo droits réservés.

Au cours d'une patrouille sur les lignes allemandes, le Nieuport 27 codé "3" du Ltt Edmond Chamboredon a été endommagé par un obus de Flak, le 1er mai 1918 - L'avion s'est probablement écrasé sur le terrain d'aviation du plateau de Malzéville où était stationnée la N 314 - Le pilote, blessé d'une grave fracture à la machoire, a été évacué sur l'hôpital de Varangéville, le 1er mai 1918 - Hospitalisé et convalescence du 1er mai 1918 au 30 avril 1919 - Au cours du terrible choc, il a perdu 8 dents de la machoire supérieure et 6 de l'inférieure - Le chiffre "3" marque son rang au sein de l'unité - Photo collection Philippe Guillermin que je remercie pour son aide.

Les avions

Nieuport 24 n° N 3848 de l'escadrille N 314 - L'insigne de l'escadrille a été peint - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Philippe Thémé que je remercie pour son aide.

Le Nieuport 24 n° 5340 du Sgt Herschel Mc Kee a été touché par la DCA allemande dans les environs de Château-Salins, le 6 février 1918 - Contraint de poser son avion en zone occupée, le pilote américain a été fait prisonnier - Photo droits réservés.

Le Sgt Gaston Castaings, pilote de l'escadrille SPA 314, a été tué en combat aérien, aux commandes du Spad XIII n° 4715 codé "10", dans les environs de Marieulles (Moselle), le 7 juillet 1918 - Cet exemplaire a été construit sous licence par la société Kellner - Photo droits réservés.

Sgt Gaston François Castaings - Né le 12 septembre 1895 à Benesse-Marennes (Landes) - Classe 1915 - Recrutement de Bayonne sous le matricule n° 43 - Pilote de l'escadrille SPA 314 - Tué au cours d'un combat aérien, dans les environs de Marieulles, à 15 km au Sud de Metz (Moselle), le 7 juillet 1918 - Sources : MpF - Dernière mise à jour : 28 septembre 2016.

 

Monuments commémoratifs
et tombes

 

 

Monuments commémoratifs
et tombes

Tombe du Ltt Albert André Mahieux dans le cimetière de Grignan (Drôme) - Il a été pilote de l'escadrille SPA 314 du 2 mai au 31 octobre 1918 - Photo Alain Octavie que je remercie pour son aide.

 

Remerciements :

- M. Alain Octavie pour l'envoi des photos de la tombe du Ltt Albert Mahieux.
- M. Jean-Paul Bonnora pour l'envoi des photos d'Henri Cahon.
- M. Jean-Laurent Truc pour l'envoi de la photo de l'insigne de l'escadrille SPA 314.
- M. Thierry Darly pour l'envoi des photos du MdL Louis Boyer, son grand-oncle.
- M. Philippe Guillermin pour l'envoi des photos de sa collection.
- M. Philippe Thémé pour l'envoi des photos de sa collection.

Bibliographie :

- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- De l'Aéronautique militaire "1912" à l'Armée de l'Air "1976" par Myrone N. Cuich publié à compte d'auteur en 1978.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien

 

Si vous avez des documents écrits ou photographiques pouvant compléter les données de cette page, veuillez contacter l'auteur du site.

Escadrille 313 Escadrille 315

 

 

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