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Etude réalisée par Albin Denis et David Méchin.

Insignes peints sur les fuselages

Jusqu'à preuve du contraire, l'unité n'a pas eu d'insigne collectif.

 

 

Insignes métalliques de l'escadrille 488

Jusqu'à preuve du contraire, l'unité n'a pas eu d'insigne métallique.

 

 

Unités détentrices des traditions
de l'escadrille 488

Les traditions de l'escadrille côtière de Courtesis n'ont pas été reprises depuis sa dissolution, le 31 décembre 1918.

Symbolique

Cette escadrille n'a pas adopté un insigne collectif et a utilisé une lettre d'identification, comme toutes les autres escadrilles côtières. Pour l'escadrille 488 de Courtesis, il s'agit de la lettre "R".

 

Historique de l'escadrille 488

Elle est créée en tant qu’escadrille côtière, destinée à la surveillance aérienne des sous-marins ennemis, par décision ministérielle du 15 août 1917. Prévue initialement pour s’installer à Bizerte (Tunisie), elle est en fait créée en Grèce, à Courtesis, le 1er octobre 1917, à 50 km au Sud-Ouest de Patras, au Nord-Ouest de la presqu’île du Péloponnèse, dans le but de surveiller l’entrée du golfe de Corinthe. Dirigée par le Ltt André Bastien, elle reçoit ses Caudron G 4 livrés en vol, à partir de Corfou, où ils sont assemblés sur l’aérodrome de Potamos.

Forte de quatre Caudron G 4, l’escadrille G 488 débute son activité opérationnelle le 14 mai 1918 et doit affronter un ennemi implacable : le paludisme endémique qui sévit à cette époque en Grèce. Le 1er septembre 1918, alors qu’elle dispose de onze Caudron G 4 et G 6, l’état sanitaire du personnel (grippe et paludisme) est tel que l’escadrille est évacuée sur Patras, entraînant de fait la fin de son activité opérationnelle.

C’est là qu’elle est dissoute, le 31 décembre 1918, en même temps que toutes les escadrilles côtières, sans avoir rencontré un sous-marin ennemi. A cette époque, l'escadrille compte douze appareils dont neuf sont armés. Ses personnels navigants sont : 3 officiers pilotes, 6 sous-officiers pilotes et 8 quartiers maîtres observateurs. Pendant sa courte existance, elle a perdu un seul pilote, le Cal Paul Beer, tué au cours d'un accident aérien, le 21 avril 1918.

Huit de ses Caudron G 4 sont cédés, avec leurs pièces de rechange, à l'aviation grecque. Les autres avions et le reste du matériel, y compris les hangars, sont évacués sur le grand parc de Salonique.

 

Appellations successives

Rattachements de l'escadrille

Avions utilisés

Relevés quantitatifs et
numéros avions

Emplacement du terrain

Positionnement du terrain de Courtesis (Kourtessi) utilisé par l'escadrille 488 - La seule voie d'accès est la voie ferrée, les routes sont impraticables (tracé jaune en pointillé). Le point de débarquement le plus proche est le port de Cyllène. Le ravitaillement est effectué par Patras, par la base navale. La vedette automobile de l'escadrille est abritée à Cyllène et la draisine fabriquée pour la 488 relie Courtesis - Patras et Courtesis - Cyllène (tracé rouge) - Dessin d'après plan d'époque Albin Denis.

Lieu de stationnement

Période de stationnement

 

Plan des installations

A venir

 

Commandant d'unité

 

 

 

 

 

 

Victoires homologuées ou non

Pas de victoire homologuée ou probable pour cette escadrille.

 

Décorations et citations collectives

Pas de décoration, ni de citation collective pour cette unité.

 


 

Photo du Ltt Gustave De Mirandol

Ltt Louis Marie Gustave De Mirandol - Né le 2 février 1884 à Condat-sur-Vézère (Dordogne) - Fils de Georges Louis Camille de Mirandol et d'Anne Marie Françoise de Monteil - Mère domiciliée pendant la guerre au 32, rue des Chalets à Toulouse (Haute-Garonne) - Classe 1901 (engagement) / 1904 (normale) - Recrutement de Brive-La-Gaillarde (Corrèze) sous le matricule n° 107 - Engagé au titre du 3ème régiment de chasseurs d'Afrique, le (6 ou 7) juillet 1902 - Médaille coloniale avec agrafe Algérie, Maroc - Affecté au 4ème régiment de Spahis - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le XX mai 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1200 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 16 juillet 1915 - Présent à l'école de Pau, jusqu'au 21 juillet 1915 - Pilote de la RGA du 21 au 29 juillet 1915 - Pilote de l'escadrille C 18 du 29 juillet 1915 au 17 mars 1916 - Croix de Guerre et citation à l'ordre de l'armée, en date du XX septembre 1915 - Hospitalisé puis convalescence jusqu'au 28 octobre 1915 - Hospitalisé puis convalescence jusqu'au 17 mars 1916 - Pilote du GDE du 17 mars au 28 avril 1916 - Pilote de l'escadrille C 61 du 28 avril au 19 août 1916 - Nommé Lieutenant, à titre définitif, le 2 août 1916 - Evacué sur la maison de repos de Viry-Chatillon, le 19 août 1916 - Hospitalisé puis convalescence jusqu'au 28 mai 1917 - Commandant d'une section de formation au pilotage de l'école d'aviation militaire de Châteauroux du 22 juin 1917 au XXX - Pilote de l'escadrille 488 de Courtesis (Grèce) - Affecté à l'école de tir aérien de Cazaux - Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 28 février 1920 - Affecté au centre d'instruction du tir et de bombardements aériens de Cazaux - Stage de franchissement de grade de Lieutenant à Capitaine, d'abord au centre des spécialistes de l'aviation de Bordeaux (Gironde) du 15 juin au 30 septembre 1922, puis au centre d'études de l'aéronautique de Versailles du 1er octobre au 16 novembre 1922 - Nommé Capitaine à titre définitif, le 19 juin 1922 - Affecté au 32ème régiment d'aviation - Affecté au 35ème régiment d'aviation, pour mutation au Levant, le 8 janvier 1923 - N'a pas rejoint - Réaffecté au 2ème groupe du 32ème régiment d'aviation, le 9 février 1923 - Affecté au 4ème groupe du 32ème régiment d'aviation à Avord, le 8 mai 1923 - Marié avec Mlle Mari Jeanne Odette de Diesbach de Belleroche à Paris (75), le 25 juillet 1924 - Affecté à l'inspection du matériel technique et des installations technique de l'aéronautique militaire, en date du 12 juin 1925 - Affecté, par réorganisation, à l'inspection technique de l'aéronautique militaire, le 2 août 1927 - Admis en situation de disponibilité pour cinq ans, à compter du 10 juin 1928 - Rappelé à titre permanent au service actif et affecté au 38ème régiment d'aviation de Thionville-Basse-Yutz, le 1er octobre 1932 - Admis en congé du personnel navigant en 1934 - Décédé le 29 novembre 1972 à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe) - Sources : Pam (2 fiches) - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille C 18 - CCC de l'escadrille C 61 - LO non communicable - JORF - site Geneanet - Dernière mise à jour : 18 juin 2018.

* Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Marie Louis de Mirandol détaché à l'école de tir aérien de Cazaux, en date du 28 février 1920 : "19 ans de services, 12 campagnes."

 

Photo du Cal Ferdinand Decluny

Cal Ferdinand Eugène Decluny - Né le 18 novembre 1873 à La Motte-d'Aveillans (Isère) - Fils de Jean Baptiste Decluny et de Jeanne Marie Juilliard - Profession Garçon épicier - Domicilié au 79, rue Jouffroy à Paris 17ème (75) - Classe 1893 - Recrutement du 6ème bureau de la Seine sous le matricule n° 2241 - Service militaire au 6ème bataillon d'artillerie à pied, le 13 novembre 1894 - Fin de service militaire et passage dans la disponibilité, le 24 septembre 1895 - Domicilié au 40, rue Pauquet à Paris, à compter du 31 octobre 1895 - Domicilié au 15, rue Lebon à Paris 17ème, à compter du 26 juin 1896 - Domicilié au 13, rue Lebon à Paris 17ème, à compter du 14 août 1899 - Affecté dans la réserve au 4ème bataillon d'artillerie à pied caserné à Toul (Meurthe-et-Moselle) - Domicilié au 5, rue Fuertant à Paris, à compter du 26 avril 1900 - A accompli une période d'exercices au 16ème bataillon d'artillerie à pied du 15 avril au 12 mai 1901 - A accompli une période d'exercices au 4ème bataillon d'artillerie à pied de Toul du 28 septembre au 25 octobre 1903 - Domicilié au 4, rue Lalande à Paris 14ème, à compter du 4 novembre 1907 - Domicilié au 8, avenue d'Orléans à Paris 14ème, à compter du 15 mars 1909 - A accompli une période d'exercices au 12ème régiment d'artillerie du 1er au 9 septembre 1909 - Domicilié au 22, rue Lalande à Paris 14ème, à compter 6 avril 1914 - Rappelé à l'activité au 5ème régiment d'artillerie à pied, par la mobilisation générale, le 8 août 1914 - Affecté au 6ème régiment d'artillerie à pied, le 1er mars 1916 - Affecté au 14ème escadron du Train des équipages militaires, le 11 juin 1917 - Passé au 1er groupe d'aviation de l'aéronautique militaire, le 7 septembre 1917 - Passé au 2ème groupe d'aviation, le 21 octobre 1917 - Passé au 3ème groupe d'aviation, le 23 novembre 1917 - Chargé d'emplois divers à l'escadrille 488 du 23 novembre 1917 au 6 septembre 1918 - Nommé Caporal, le 31 aoît 1918 - Décédé des suites d'une maladie contactée en service à Kourtesis (Grèce), le 6 septembre 1918 - A été inhumé dans une tombe collective sous le monument aux Morts de la ville de Passy - Sources : Fiche matricule du 6ème bureau de la Seine (AD de Paris) - MpF - Dernière mise à jour : 18 juin 2018.

Ltt André Bastien - Né le 5 septembre 1886 à Naives-devant-Bar (Meuse) - Fils de Charles Marie Pierre Bastien et de Marie Lucie Geoffroy - Domiciliés au 11, rue Desilles à Nancy (Meurthe-et-Moselle) - Profession avant engagement Etudiant - Classe 1906 - Recrutement de Toul (Meurthe-et-Moselle) sous le matricule n° 223 - Engagé pour trois ans au titre du 14ème régiment de dragons, à compter du 14 octobre 1905 - Fracture de deux os de la jambe gauche suite à une chute de cheval, le 26 février 1906 - Nommé Brigadier, le 18 septembre 1906 - Nommé maréchal des logis, le 12 octobre 1907 - Nommé Aspirant, le 1er octobre 1912 - Nommé Sous-lieutenant et affecté au 12ème régiment de dragons, caserné à Limoges (Haute-Vienne), le 1er octobre 1913 - Toujours dans cette unité lors de la mobilisation générale du 1er août 1914 - Citation à l'ordre de la brigade, en date du 15 septembre 1914 - Passé à l'aéronautique militaire comme observateur, le 1er décembre 1914 - Observateur de l'escadrille BL 9 du 8 décembre 1914 au 22 janvier 1915 - Observateur de l'escadrille MF 5 du 22 janvier au 19 février 1915 - Détaché comme élève pilote à l'école d'aviation militaire de Pau, le 20 février 1915 - Nommé Lieutenant, à titre définitif, le 5 mai 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1014 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 31 mai 1915 - Pilote de l'escadrille C 30 du 4 juin au 23 octobre 1915 - Pilote de la RGA du 23 octobre au 12 décembre 1915 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 1er novembre 1915 - Pilote de l'escadrille N 65 du 12 décembre 1915 au 20 mars 1916 - Affectation du 20 mars au 27 avril 1916 non connue (devait aller à la N 31) - Pilote de l'escadrille N 57 du 27 avril au 11 octobre 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 15 juillet 1916 - Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée, en date du 12 septembre 1916 - Evacué sur maladie sur l'hôpital Excelman à Bar-le-Duc, le 19 septembre 1916 - Rejoint l'unité, le 28 septembre 1916 - Blessé par multiples contusions, brulûres légères de la jambe gauche, contusions de l'épaule gauche, commotion générale reçues au cours d'un accident d'avion sur le terrain d'aviation de Lemmes, le 11 octobre 1916 - Evacué sur l'hôpital mixte de Bar-le-Duc et convalescence jusqu'au 25 janvier 1917 - Pilote de la RGA du 25 janvier 1917 au 15 avril 1917 - Commandant du détachement d'aviation de protection du GQG du 15 avril au 23 septembre 1917 - Commandant de l'escadrille 488 de Courtesis (Grèce) du 23 septembre 1917 à la fin novembre 1918 - Rayé du personnel navigant, à sa demande, et remis à la disposition de son arme, à compter du 7 août 1919 - Rejoint le dépôt du 12ème régiment de dragons, le 23 août 1919 - Affecté au 2ème régiment d'aviation de chasse de Strasbourg, le 1er janvier 1920 - Nommé Capitaine, le 28 juin 1921 - Passé à l'arme de l'infanterie et maintenu en position hors cadres aéronautique, le 20 mars 1922 - Affecté à l'état-major particulier de l'aéronautique à Versailles, le 8 octobre 1924 - Affecté au 3ème groupe d'ouvriers d'aéronautique (Versailles) - Chargé, pour la région parisienne, de la surveillance des écoles civiles d'élèves pilotes et mécaniciens et du contrôme technique de l'instruction préliminaire d'aviation, le 7 juin 1926 - Affecté à l'état-major de la 1ère brigade d'aéronautique en 1928 - Détaché à l'état-major général de l'aéronautique en 1929 - Détaché à la direction de l'instruction des forces aériennes en 1930 - Commandant du Centre de Préparation du personnel navigant (CPPN) après la seconde guerre mondiale - Photo revue l'Aérophile - Sources : Pam - Fiche matricule du département de Meurthe-et-Moselle - Liste des brevets militaires - CCC escadrille BL 9 - CCC escadrille C 30 - CCC escadrille N 65 - CCC escadrille N 57 - LO non communicable - Bailey / Cony - JORF - Revue Les Ailes - revue l'Aérophile - Dernière mise à jour : 10 novembre 2016.

* Croix de Guerre et citation à l'ordre de la brigade du Slt André Bastien, du 12ème régiment de dragons, en date du 15 septembre 1914 : "Pour avoir fait avec audace et sang-froid des reconnaissances périlleuses ayant rapporté des renseignements précis."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt André Bastien, pilote à l'escadrille C 30 et Ltt Léon Lenouvel, observateur à l'escadrille C 30, en date du 1er novembre 1915 : "Se sont signalés dans de nombreuses expéditions de bombardement et reconnaissances à longue portée au cours desquelles ils ont été violemment canonnés; le 3 octobre, ont exécuté spontanément, à minuit, le bombardement d'une gare importante située à 30 kilomètres dans les lignes ennemies. Le 7 octobre, se sont élancés dans une nuit très noire à la poursuite d'un Zeppelin."

* Citation à l'ordre de l'armée du Ltt André Bastien, pilote à l'escadrille N 57, en date du 15 juillet 1916 : "Officier ayant rendu les plus grands services en monoplace, tant comme observateur dans de nombreuses reconnaissances à longue portée que comme pilote de combat dans de nombreuses attaques des avions ennemis, notamment le 17 mai où il a forcé un Fokker à atterrir dans ses lignes. Le 20 juin, où il a forcé à faire demi-tour, par une attaque impétueuse, un avion ennemi qui cherchait à surprendre un de nos avions de réglage. Le 1er juillet, s'est porté à une très faible altitude à l'attaque d'un ballon ennemi qui a été forcé à descendre."

* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Ltt André Bastien, pilote à l'escadrille N 57, en date du 12 septembre 1916 : "Officier remarquable qui a toujours fait preuve des plus belles qualités militaires. Affecté à un groupe de chasse depui février 1916, n'a cessé de donner à tous l'exemple de l'audace, de la bravoure et du dévouement. Déjà cité à l'ordre de l'armée en novembre 1915 pour avoir attaqué un Drachen, en a détruit un autre depuis lors et a exécuté en monoplace de lointaines et utiles reconnaissances. A deux reprises, les 22 et 24 août 1916, a , de sa propre initiative, bombardé en plein jour et à moins de 200 mètres d'altitude deux trains allemands."

 

Escadrille côtière de Courtesis

Photo verticale du terrain d'aviation de Courtesis, le 16 juillet 1915 - Toutes les installations sont en cours de construction et seront terminées, le 1er octobre 1915 - Photos SHD du château de Vincennes.

Le Caudron G 4 codé "R 12" de l'escadrille de Courtesis est armé de deux bombes anglaises - Photos SHD du château de Vincennes.

Situation du terrain d'aviation de Courtesis (Grèce), le 16 juillet 1918 - Au fond de l'image, le lac de Kotiki et la mer ionienne - Photos SHD du château de Vincennes.

Terrain d'aviation de Courtesis (Grèce), le 16 juillet 1918 - Photos SHD du château de Vincennes.

Escadrille côtière de Courtesis

Caudron G 4 codé "R 15" de l'escadrille de Courtesis armé de deux bombes F 35 / 52 - Photos SHD du château de Vincennes.

Un des Caudron G 4 de l'escadrille de Courtesis - Photos SHD du château de Vincennes.

Transformation d'un tracteur Brasier 15 HP en draisine - Elle servait à relier Courtesis à Patras et Courtesis à Cyllène - Pour cela, ils ont utilisé un chassis de wagon de la compagnie du Péloponèse. Les essieux enlevés, la chassis du tracteur est placé sur le chassis du wagon (écartement des roues 1 m) - Lécartement des chaînes n'est pas changé mais les pignons des roues sont fixés à l'extérieur, entre la roue et la boîte à graisse. Caractéristiques générales : longueur du chassis 5,30 m - Poids de la draisine 5 tonnes - Charge maximale 7 tonnes - Vitesse maximale 70 km/h - Vitesse moyenne 35 km/h - Cette draisine, fait maison, a relié journellement pendant plus de six mois sans réparation et sans usure apparente - Elle pouvait remorquer des wagons - La construction a été exécutée dans les ateliers de la compagnie des chemins de fer du Péloponèse, sous la surveillance d'un gradé de l'escadrille 488 - Photo SHD du Château de Vincennes.

 

 

Couleurs des avions

Couleurs des avions

Caudron G 4 codé "R 15" de l'escadrille de Courtesis armé de deux bombes F 35 / 52 - Dessin David Méchin que je remercie pour son aide.

 

Monuments commémoratifs
et tombes

Monuments commémoratifs
et tombes

Tombe du Cal Ferdinand Decluny, affecté à l'escadrille 488 du 23 novembre 1917 au 6 septembre 1918 - Il a été inhumé dans une tombe collective sous le monument aux Morts de la ville de Passy - Je cherche une photo récente de cette plaque et du monument dans son ensemble - Photo Michel Charbonnier que je remercie pour son aide.

 

Remerciements :

- M. David Méchin pour l'étude de l'escadrille 488.
- M. Guy Ricou pour la transmission de la monographie de l'escadrille 488 de Courtesis archivée au SHD du château de Vincennes.
- M. Robert Feuilloy de l'Association pour la Recherche de Documentation sur l'Histoire de l'Aéronautique Navale (ARDHAN) pour l'envoi des photos et de la liste des observateurs.
- M. Lucien Morareau de l'Association pour la Recherche de Documentation sur l'Histoire de l'Aéronautique Navale (ARDHAN) pour l'envoi des photos.
- M. Michel Charbonnier pour l'envoi de la photo de la tombe collective du monument aux morts de la commune de Passy.

Bibliographie :

- L'aviation maritime française pendant la Grande Guerre par Lucien Morareau, Robert Feuilloy, Jean-Louis Courtinat, Thierry le Roy, JP Rossignol publié par l'ARDHAN en 1999.
- Les escadrilles de l'aéronautique militaire française - Symbolique et histoire - 1912-1920 - Ouvrage collectif publié par le SHAA de Vincennes en 2003.
- L'aviation française 1914-1940, ses escadrilles, ses insignes - par le Commandant E Moreau-Bérillon - publié à compte d'auteur en 1970.
- The French Air Service War Chronology 1914-1918 par Frank W.Bailey et Christophe Cony publié par les éditions Grub Street en 2001.
- Les "As" français de la Grande Guerre en deux tomes par Daniel Porret publié par le SHAA en 1983.
- Les Armées françaises dans la Grande Guerre publié à partir de 1922 par le Ministère de la Guerre.
- Site Internet "Traditions des escadrilles de l'Armée de l'Air" de Henri Guyot - Voir le lien
- Site Internet "Les Insignes de l'Armée de l'Air" de Jean-Jacques Leclercq - Voir le lien
- Site Internet "Mémoires des Hommes" du Ministère de la Défense - Voir le lien
- Site Internet " Pages 14-18 " de Joël Huret.

 

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Escadrille 487 Escadrille 489

 

 

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