Les hommes
Les pilotes de l'escadrille C 389 en 1916 - Le Cal Jean Arcaute est à l'extrême gauche - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo transmise par Francis Arcaute, son neveu que je remercie pour son aide.
Sergent Gustave Gauthier photographié, aux cotés de son Nieuport 21, sur le terrain de Boresnica en mai 1917 - Il porte la Médaille Militaire et la Croix de guerre 14-18 - Photo Gustave Gauthier transmise par son fils Michel que je remercie pour son aide.
Sgt Gustave Gauthier - Né le 8 mars 1892 à Condat-Bersac (Dordogne) - Avant guerre commercant résidant à Kaolak (Sénégal) - Appelé au 16ème bataillon de l'AOF, colonne du Cameroun, le 1er septembre 1913 - Nommé caporal, le 27 novembre 1914 - Muté au 7ème Colonial, le 3 juillet 1915 - Muté au 42ème colonial, le 7 décembre 1915 - Médaille Militaire, le 9 mars 1915 - Passé à l'aviation comme élève pilote, le 7 février 1916 - Brevet de pilote militaire n° 3535 à l'école d'aviation militaire de Buc, le 24 mai 1916 - Insigne de pilote aviateur n° 793 décerné à l'école de Buc vers le 24 mai 1916 - Ecole d'aviation militaire d'Avord (stage de perfectionnement) du 26 mai au 1er juillet 1916 - Ecole du tir aérien de Cazaux du 3 au 28 juillet 1916 - Ecole d'aviation militaire de Pau (stage chasse) du 3 au 24 août 1916 - Pilote de l'escadrille 505 du 1er octobre 1916 au 18 juillet 1917 - Nommé sergent, le 21 novembre 1916 - Une citation à l'ordre de l'aéronautique, le 12 janvier 1917 - Nommé Adjudant, le 14 juillet 1917 - Une citation à l'ordre du corps d'armée, le 1er juin 1917 - Pilote de l'escadrille 506, le 18 juillet 1917 - Griévement blessé par la DCA entre le 18 et le 21 juillet 1917 - Hôpital puis convalescence en France jusqu'au 24 décembre 1917 - Réformé du personnel navigant en raison de la blessure reçue, le 18 mai 1918 - Maintenu en service auxiliaire - Inapte définitif à faire campagne - Nommé adjudant-chef, le 31 août 1918 - Affecté comme contrôleur au 1er groupe d'aviation de Saint-Cyr, le 18 septembre 1918 - Démobilisé, le 5 avril 1919 - En juin 1944, appartient au bataillon Pierrot, Dordogne Sud, Colonne Driant - Démobilisé le 31 janvier 1945.
* Caporal à la Compagnie Européenne de Marche de la Colonne du Cameroun : "au cours du combat du 26 novembre 1914, tout le personnel européen de la section de mitrailleuses ayant été mis hors de combat dès le début de l'action, s'est proposé pour faire fonctionner une pièce, y a réussi malgré un feu violent, a reçu 2 blessures et est retourné au feu dès qu'il a été pansé. A continué à servir la pièce jusqu'à ce que des projectiles ennemis l'aient mise hors de combat; a reçu une 3° blessure à la main gauche..."
Slt Fernand Charles Léon Rémont - Né le 5 avril 1892 à Reims (Marne) - Fils d'Emile Alphonse Rémont et de Victorine Félicie Meunier - Domiciliés au 17, rue R. Simon à Reims (Marne) - Profession avant guerre Dessinateur en tissus - Classe 1912 - Recrutement de Reims (Marne) sous le matricule n° 1952 - Engagé volontaire pour trois ans, au titre du 132ème régiment d'infanterie, le 14 mai 1910 - Nommé Caporal, le 25 septembre 1911 - Nommé Sergent, le 8 novembre 1912 - Fin d'engagement et envoyé dans la disponibilité, le 14 mai 1913 - Rappelé à l'activité au 132ème régiment d'infanterie, par la mobilisation générale, le 2 août 1914 - Domicilié au 23bis rue Gambetta à Reims (Marne), à compter du 9 juillet 1914 - Nommé Sous-lieutenant à titre temporaire, le 2 janvier 1915 - Citation n° 73 à l'ordre du corps d'armée, en date du 1er mai 1915 - Blessé par un éclat d'obus à l'avant bras gauche à Rupt-en-Woëvre, le 16 juillet 1915 - Evacué sur un hôpital, puis convalescence du 16 juillet 1915 au 22 mai 1916 - Nommé Sous-lieutenant, à titre définitif, le 25 novembre 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 22 mai 1916 - Brevet de pilote militaire n° 4061 obtenu à l'école d'aviation militaire d'Etampes, le 28 juillet 1916 - Stage de perfectionnement à l'école d'aviation militaire d'Avord - Stage de spécialisation à l'école d'aviation militaire de Châteauroux, jusqu'au 1er octobre 1916 - Parti à Lyon-Bron avant affectation à l'armée d'Orient, le 13 novembre 1916 - Pilote de l'escadrille N 389 du front d'Orient (future escadrille BR 505) du 29 décembre 1916 au 4 avril 1917 - Pilote de l'escadrille F 385 du front d'Orient (future escadrille BR 502) du 4 avril au 27 avril 1917 - Citation n° 45 à l'ordre de la brigade, en date du 23 mai 1917 - Participe à la mission d'Otrante du 28 avril au 6 septembre 1917 - Nommé Lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 10 août 1917 - Rapatrié d'Orient pour maladie (paludisme), le 6 septembre 1917 - Hospitalisé et convalescence, jusqu'au 15 novembre 1917 - Nommé Lieutenant, à titre définitif, le 25 novembre 1917 - Pilote du GDE du 15 novembre au 9 décembre 1917 - Lâché sur Breguet 14B2, le 6 décembre 1917 - Pilote de l'escadrille BR 107 du 9 décembre 1917 au 18 mai 1918 - Rentre de stage Breguet 14 B2, le 9 décembre 1917 - Légérement blessé par une balle explosive au niveau du dos au cours d'un combat aérien contre trois Albatros, le 29 mars 1918 - N'a pas été hospitalisé pour cette blessure - Affecté au quartier général de l'aéronautique de la 3ème armée, le 18 mai 1918 - Citation n° 268 à l'ordre de l'aéronautique du GQG, en date du 21 mai 1919 - Evacué sur le dispensaire antipaludisme de Paris, le 21 juin 1918 - Affecté au service de fabrication de l'aviation (SFA), le 6 août 1918 - Affecté à la section technique aéronautique (STAé), le 1er février 1919 - Démobilisé, le 8 septembre 1919 - Domicilié au 2, avenue Sainte-Anne à Asnière-sur-Seine (Hauts-de-Seine), à compter du 8 septembre 1919 - Profession, à partir de 1920, Publiciste - Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 16 juin 1920 - Affecté, dans la réserve, au 12ème régiment d'aviation de bombardement, le 22 juin 1920 - Passé à la réserve de l'aéronautique, le 20 juin 1923 - Affecté au 11ème régiment d'aviation, le 20 janvier 1928 - Domicilié au 68, rue Maistre à Paris 18ème (75), à compter du 14 décembre 1932 - Affecté au centre de mobilisation d'aviation 11/38, le 1er octobre 1934 - Affecté au centre de mobilisation d'aviation n° 71, le 5 août 1935 - Affecté à la base aérienne de Toulouse comme cadre navigant, le 1er décembre 1936 - Placé en position de non disponibilité par mesure disciplinaire pour une période d'une année, à compter du 27 novembre 1937 - Maintenu au bataillon de l'Air 101 - Rayé des cadres, le 14 mai 1938 - Réintégré dans le corps des officiers de réserve de l'Air comme cadre sédentaire, le 29 mars 1940 - Nommé officier honoraire du personnel navigant, le 22 juillet 1947 - Photo de 1940 transmise par la famille - Sources : Pam - Liste des brevets militaires - CCC de l'escadrille 502 d'Orient - CCC de l'escadrille BR 107 - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Marne - JORF - Dernière mise à jour : 9 avril 2021.
* Citation n° 73 à l'ordre du corps d'armée, en date du 1er mai 1915 : "Alors que la tranchée occupée par sa section était contre-attaquée furieusement, a réussi malgré les pertes éprouvées, à maintenir ses hommes en place grpace à sa bravoure, son énergie et sa tenacité."
* Citation n° 41 à l'ordre de la brigade, en date du 23 mai 1917 : "Pilote plein d'entrain et d'allant, a montré, depuis son arrivée à l'escadrille, les plus belles qualités d'ardeur et de sang-froid. A eu un combat très dur forçant l'ennemi à abandonner la lutte."
* Citation n° 268 à l'ordre de l'aéronautique du GQG, en date du 21 mai 1919 : "Excellent officier qui, après s'être distingué dans l'opération du corps d'armée, s'est de suite affirmé pilote de bombardement remarquable. Malgré une santé très délicate, a fourni un magnifique effort dans les mois de mars et avril 1918, soutenant au cours de ses missions de très durs combats. Le 29 mars, en particulier en rentrant avec son avion criblé de balles, lui-même légèrement blessé après avoir tenu victorieusement tête à trois Albatros de chasse très mordant et désemparé l'un de ses adversaires."
* Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Fernand Rémont au 12ème régiment d'aviation, en date du 16 juin 1920 : "Bon officier. Malgré un état de santé souvent précaire, a fait preuve d'allant et de bravoure. Trois citations. Deux blessures."
Photo de Adj René Ménard
Adj René Gaston Arthur Ménard - Né le 13 août 1895 au Havre (Seine-Maritime) - Fils de Jean Ménard (bonnetier) et de Rose Pessiot - Profession avant guerre Aviateur civil - Classe 1915 - Recrutement du Havre (Seine-Maritime) sous le matricule n° 2100 - Engagé volontaire pour la durée de la guerre, au titre du 2ème groupe d'aviation, le 7 septembre 1914 - Rejoint le 2ème groupe d'aviation à Lyon-Bron, le 12 septembre 1914 - Mécanicien de la RGAé - Passé élève pilote à l'école militaire d'aviation de Buc, le 8 mars 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1075 obtenu à l'école d'aviation militaire de Buc, le 14 juin 1915 - Pilote de l'escadrille C 42 du 1er juin au 1er octobre 1915 - Nommé Caporal, le 15 juillet 1915 - Pilote de l'escadrille C 89 de l'armée d'Orient (future escadrille BR 505) du 1er octobre 1915 au 3 janvier 1916 - Nommé Sergent, le 10 octobre 1915 - En Serbie du 10 octobre 1915 au 1er août 1916 - Croix de Guerre et citation à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient, le 29 janvier 1916 - Pilote de l'escadrille N 87 de l'armée d'Orient (future escadrille BR 523) du 3 janvier au 10 août 1916 - Rapatrié en France, le 10 août 1916 - Pilote de l'escadrille MF 14 du 17 août au 23 novembre 1916 - En mission à l'escadrille F 59, le 17 octobre 1916 - Blessé au cours d'un accident d'avion, le 23 novembre 1916 - Evacué sur l'hôpital d'évacuation 2/14 de Bruyères, le 11 décembre 1916 - Hospitalisé jusqu'au 2 janvier 1917 - Pilote de la GDE du 10 au 17 janvier 1917 - Pilote du CRP du 17 janvier au 3 février 1917 - Nommé Adjudant, le 23 mars 1918 - Inapte deux mois pour entorse du pied droit avec arrachement de l'extrémité inférieur du tibia et du péronné avec atrophie musculaire et raideur articulaire par la 5ème commission de réforme de la Seine, le 3 février 1917 - Inapte deux mois pour fracture du péroné droit par la 5ème commission de réforme de la Seine, le 11 avril 1917 - Pilote de l'escadrille N 395 (future escadrille SPA 461) du 7 mai 1917 au 18 août 1918 - Moniteur de l'école de Cazaux du 18 août 1918 au 10 août 1919 - Brevet métallique de pilote d'hydravion n° 788 obtenu à l'école d'aviation maritime de Saint-Raphael, le 22 mai 1919 - Rengagé pour six mois, le 19 septembre 1919 - En mission en Argentine - Embarqué le 10 août 1919 - Débarqué en Argentine, le 29 août 1919 - En mission de propagande au profit de l'aéronautique française en Argentine du 30 août 1919 au 28 février 1920 - Embarqué, le 1er mars 1920 - Débarqué, le 19 mars 1920 - Démobilisé, le 20 mars 1920 - Affecté, dans la réserve, le 34ème régiment d'aviation d'observation du Bourget-Dugny, le 1er août 1920 - Domicilié à Olivos près de Buenos-Aires (Argentine), à compter du 9 décembre 1921 - Affecté, dans la réserve, aux troupes de l'Afrique Occidentale à Dakar, le 1er mai 1921 - Marié avec Mlle Eugénie Augustine Louise Pain à la mairie du 6ème arrondissement de Paris, le 24 juin 1922 - Domicilié chez Mme Mallot au 4, rue Clément à Paris, à compter du 11 août 1922 - Affecté, dans la réserve, au 3ème groupe d'aviation d'observation de Beauvais - A effectué une période de réserve au 3ème régiment d'aviation de Beauvais du 21 août au 4 septembre 1922 - Profession pilote d'avion de transports publics - Domicilié à Cepoy, commune de Montargis, à compter du 27 décembre 1923 - A effectué une période de réserve au 3ème régiment d'aviation de Beauvais du 5 au 19 mai 1924 - Domicilié au château de Mocques à St-Martin-sur-Nohain, à compter du 11 septembre 1924 - Affecté, dans la réserve, au 5ème groupe d'ouvriers d'aéronautique - A effectué une période de réserve au centre d'entrainement aérien des réserve d'Orly du 1er au 15 mai 1925 - Domicilié au 17, rue des Lilas à Paris 19ème - Victime d'un accident aérien, le 20 janvier 1926 - Le moteur de l'avion, qu'il pilotait, a pris feu - Il a réussi à atterrir malgré les flammes qui l'entouraient et à sauver ses passagers - Malheureusement, il a conservé de graves séquelles des brulûres qui l'ont touché ce jour là - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 10 février 1926 - Domicilié au 12, rue Levert à Paris 20ème, à compter du 4 février 1928 - Déclaré Combattant volontaire, le 25 juin 1930 - Médaille commémorative serbe de la Grande Guerre n° 233, en date du 3 juin 1931 - Domicilié rue du Port à Verberie, commune de Pont-St-Maxence (Oise), à compter du 13 février 1932 - Réformé définitif par la commission de réforme de Compiègne, le 22 févier 1932 - Domicilié au 127, rue du Ranelagh à Paris 16ème (été) et 275 promenade des Anglais à Nice (hiver), à compter du 20 janvier 1935 - Croix du Combattant volontaire, le 28 juin 1935 - Dégagé de toutes obligations militaires, le 7 septembre 1942 - Totalise 1.380 heures de vol dont 12h15 en temps de paix - Domicilié rue de l'Union à Monflanquin (Lot-et-Garonne), à compter du 24 juin 1958 - Médaille Militaire, en date du 2 mars 1959 - Décédé au 102, reu Ourcq à Paris 19ème, le 21 mars 1967 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 2523) de la ville du Havre (Seine-Maritime) - Fiche d'état-civil - PAM - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales de la Seine-Maritime - CCC de l'escadrille BR 505 du front d'Orient - CCC de l'escadrille F 14 - LO - Avis de décès - Dernière mise à jour : 22 février 2024.
* Croix de Guerre et citation à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient, le 29 janvier 1916 : "S'offre toujours pour les missions périlleuses qu'il mène à bonne fin grâce à son sang-froid."
Sgt Gustave Gauthier, pilote de l'escadrille 505, photographié aux cotés de son Nieuport 21 sur le terrain de Boresnica en mai 1917 - Photo Gustave Gauthier transmise par son fils Michel que je remercie pour son aide.
La tente occupée par le sergent Gustave Gauthier (à gauche) et le maréchal des Logis François de l'Hermitte, pilotes de l'escadrille 505, sur le terrain de Larissa en juin 1917 - Photo Gustave Gauthier transmise par son fils Michel que je remercie pour son aide.
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Les hommes
Les navigants de la 505 photographiés dans le village de Boresnica, en juin 1917 - Le Sgt Gustave Gauthier est le 2ème à partir de la gauche - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo Gustave Gauthier transmise par son fils Michel que je remercie pour son aide.
Adj Lucien Domicent - pilote de l'escadrille 505 - Brevet de pilote militaire n° 3154 en date du 1er avril 1916 - Photo Gustave Gauthier transmise par son fils Michel que je remercie pour son aide.
Adj Jean Arcaute - Né le 5 août 1890 au 47, rue de Révol à Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques) - Fils de Jean-Pierre Arcaute (marchand de vins) et de Jeanne Saradar (ménagère) - Profession avant guerre aide-contremaître dans une tannerie - Classe 1910 - Recrutement de Pau (Pyrénées-Atlantiques) sous le matricule n° 1211 - A bénéficié d'un sursis pour l'année 1911 - Appelé pour effectuer son service militaire, au titre du 1er groupe d'aéronautique de Lyon-Bron, le 10 octobre 1912 - Nommé Caporal, le 11 novembre 1913 - Affecté au 1er groupe d'aviation, le 28 novembre 1913 - Remis au grade de soldat de 2ème classe, sur sa demande, le 29 septembre 1914 - Affecté comme mécanicien au 3ème groupe à l'école d'aviation militaire de Pau - Affecté comme mécanicien à l'école d'aviation militaire de Dijon - Mécanicien de l'escadrille BL 10 - Mécanicien affecté au CRP - Envoyé à l'école d'aviation de Pau pour effectuer sa formation élémentaire d'élève pilote - Brevet de pilote militaire n° 1851 obtenu à l'école d'aviation militaire de Pau, le 23 octobre 1915 - Pilote de l'escadrille C 89 / C 389 du front d'Orient (future escadrille 505) du 22 novembre 1915 au (après le 4ème trimestre 1916) - Nommé Caporal, le 2 mars 1916 - En décollant de Salonique, a rejoint la capitale roumaine, Bucarest, via Sofia en survolant les lignes ennemies, pour y porter des ordres, soit un périple de 1150 km dont 800 km sur les territoires occupés par l'ennemi - A été décoré de la Vertu militaire roumaine - Citation à l'ordre de l'aéronautique en juin 1916 - En subsistance au Parc d'aviation du 1er juillet au 2 août 1916 - Nommé Sergent, le 1er juillet 1916 - Citation à l'ordre de l'armée en septembre 1916 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 octobre 1916 - En subsistance au parc d'aviation, le 1er novembre 1916 - En convalescence jusqu'au 4 septembre 1917 - Pilote du GDE du 4 au 21 septembre 1917 - Pilote de l'escadrille C 224 / BR 224 du 21 septembre 1917 au 22 novembre 1918 - Nommé Adjudant, le 21 septembre 1917 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 6 février 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, en date du 7 mai 1918 - Citation à l'ordre de l'armée, le 20 septembre 1918 - Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée, le 9 octobre 1918 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre temporaire, le 17 novembre 1918 - Médaille de la bravoure de Belgique - Pilote de l'escadrille BR 231 du 26 novembre 1918 au 2 mars 1919 - Pilote de l'escadrille BR 35 du 2 mars au 1er juillet 1919 - En mission du 16 au 25 avril 1919 - Démobilisé, le 23 août 1919 - Pilote d'essai de la Société d'aviation SIA - Domicilié à la maison SIA à Angers (Maine-et-Loire), à compter du 23 août 1919 - Domicilié au 48, faubourg Poissonnière à Paris (75), à compter du 29 novembre 1919 - Affecté, dans la réserve, au 31ème régiment d'aviation d'observation, le 25 mai 1921 - A effectué une période de réserve au 31ème régiment d'aviation du 12 au 26 septembre 1921 - Nommé Sous-lieutenant de réserve, à titre définitif, le 18 novembre 1922 - Pilote de la société Latécoère à Toulouse (Haute-Garonne) - A été un des premiers pilotes a réaliser le trajet Toulouse-Casablanca - Sera plus tard chef des centres de Dakar, Bron et Bordeaux - Affecté, dans la réserve, au 36ème groupe d'aviation de Pau, le 1er avril 1923 - Nommé Lieutenant de réserve, le 9 octobre 1924 - Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, en date du 8 novembre 1926 - A effectué une période de réserve au 36ème groupe d'aviation du 1er au 15 mars 1928 - A effectué une période de réserve supplémentaire au 36ème groupe d'aviation du 2 au 16 avril 1929 - A effectué une période de réserve au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 1er au 15 octobre 1930 - Placé en "Affectation spéciale" au titre du gouvernement militaire de Paris, le 23 décembre 1930 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 26 juin au 1er juillet 1931 et 5 au 13 juillet 1931 - Nommé Capitaine, le 25 décembre 1931 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 12 au 26 septembre 1932 - Rayé de l'affectation spéciale et réintégré au centre de mobilisation d'aviation n° 71, le 17 décembre 1932 - A effectué une période de réserve supplémentaire au centre de mobilisation d'aviation n° 36 du 1er au 6 septembre 1933 - S'est entrainé et a réalisé 10h35 de vol au centre des réserves d'Orly en 1934 - A conçu un estimateur de vitesse et une grille de dérive pour régler les problèmes posés par la navigation à l'estime - Domicilié à San Mardi Viléo à Praia dans les Iles du Cap Vert Calseta, à compter du 30 mars 1935 - Proposé pour le maintien dans les cadre avec pension d'invalidité temporaire de 10 % pour séquelles de paludisme avec insuffissance hépatique par la commission de réforme de Bordeaux (Gironde), le 8 octobre 1936 - Pension temporaire de 10 % accordée du 8 octobre 1936 au 7 octobre 1938 - A accompli une période d'exercices volontaire à la 101ème escadre du 27 janvier au 15 février 1936 - Affecté à la base aérienne de Toulouse-Francazal, le 1er décembre 1936 - Classé comme "Cadre navigant pilote", le 2 février 1937 - Croix de 3ème classe des services aériens volontaires, le 21 avril 1937 - Grade d'officier de la Légion d'Honneur, en date du 7 mai 1937 - Nommé Commandant de réserve, le 9 juin 1937 - A effecté une période d'exercices volontaires à la 23ème escadre du 19 au 27 mai et du 16 au 21 juin 1937 - Maintenu dans le cadre navigants des officiers de réserve de l'Air, le 25 novembre 1937 - Décédé à Pau, le 29 avril 1938 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 123) de la ville d'Oloron-Ste-Marie (Pyrénées-Atlantiques) - Pam - Liste des brevets militaires - Fiche matricule conservée aux archives départementales des Pyrénées-Atlantiques - CCC de l'escadrille C 89 / C 389 / 505 - CCC de l'escadrille C 224 / BR 224 - CCC de l'escadrille BR 231 - CCC de l'escadrille BR 35 - JORF - Journal "Le Patriote des Pyrénées" - Journal "Les Jeunes" - Revue "Les Ailes" - Dernière mise à jour : 14 janvier 2022.
* Citation à l'ordre de l'armée du Sgt Jean Arcaute, pilote à l'escadrille C 389, en date du 7 octobre 1916 : "Pilote de premier ordre. Bravoure et conscience au-dessus de tout éloge. A exécuté en Orient de nombreuses reconnaissances à l'intérieur des lignes ennemies et contribué à établir la plupart des photographies des organisations défensives bulgares sur le front de (censuré). Nombreux bombardements dont plusieurs difficiles et à grande distance."
* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, en date du 6 février 1918 : "Pilote des plus hardis, faisant sans cesse preuve de la plus merveilleuse bravoure en exécutant de nombreuses reconnaissances photographiques à longue portée. Entre autres le (censuré) où il en a exécuté deux très éloignées le même jour. Le (censuré), ayant eu son avion criblé d'éclats d'obus tout autour de lui, au passage des lignes, n'en termina pas moins sa mission poussant loin en territoire ennemi et en rapportant les plus remarquables renseignements photographiques."
* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, en date du 7 mai 1918 : "Pilote photographe hors de pair, modèle d'audace et h'abileté. A exécuté jusqu'à deux fois par jour, dans un secteur très dangereux, des missions éloignées, et a rapporté chaque fois de précieux renseignements malgré les combats violents qu'il dut livrer aux patrouilles ennemies."
* Médaille Militaire et citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, le 9 octobre 1918 : "Pilote photographe hors de pair, modèle d'audace et d'habileté. A exécuté jusqu'à deux fois par jour, dans un secteur très dangereux, des missions éloignées, et a rapporté chaque fois de précieux renseignements, malgré les combats violents qu'il dut livrer aux patrouilles ennemies."
* Citation à l'ordre de l'armée de l'Adj Jean Arcaute, pilote à l'escadrille BR 224, le 20 septembre 1918 : "pilote photographe, spécialiste des missions éloignées et des grands raids accomplis parfois, à plus de 100 kilomètres chez l'ennemi. A donné au cours de leur exécution les plus magnifiques preuves d'énergie et de courage. Le 28 juin, au cours d'une reconnaissance, a tenu tête à 4 avions ennemis et, manœuvrant avec le plus grand sang-froid, a permis à son observateur d'en abattre un dans ses lignes. Une blessure. Cinq citations."
* Grade de Chevalier de la Légion d'Honneur du Ltt Jean Arcaute, pilote au 36ème groupe d'aviation, en date du 8 novembre 1926 : "13 ans de services, 5 campagnes. A accompli une période d'entrainement aérien volontaire. A été blessé et cité."
* Grade d'officier de la Légion d'Honneur du Cne Jean Arcaute, en date du 7 mai 1937 : "24 ans de services, 4 campagnes. A été blessé et cité. Chevalier de la Légion d'Honneur du 8 novembre 1926. A accompli dix périodes d'entrainements aérien volontaires."
Photo du Ltt Paul Antoni
Ltt Paul Marius Philippe Antoni - Né le 6 mars 1894 à Port Terrefick (Suez-Egypte) - Fils de Louis Antoni et Berthe Joséphine Sirven - Domiciliés 18, rue des Fossés St-Jacques à Paris (75) - Profession avant engagement étudiant - Classe 1912 - Recrutement du 3ème bureau de la Seine, sous le matricule n° 660 - Engagé volontaire pour 3 ans, à compter du 17 octobre 1913 - Affecté au 12 ème régiment cuirassiers, le 23 octobre 1913 - Nommé Brigadier, le 21 avril 1914 - Une citation à l'ordre du 12ème régiment de Cuirassiers, en date du 19 août 1914 - Nommé Aspirant, le 24 décembre 1914 - Détaché à l’école d'aviation de Pau, le 5 août 1915 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote, le 5 août 1915 - Affecté à l’École de Buc, le 9 août 1915 - Brevet de pilote militaire n° 1652 obtenu sur Caudron G III à l’école d’aviation militaire de Buc, le 23 septembre 1915 - Brevet de pilote civil n° 2393 délivré par l’Aéroclub de France, le 15 septembre 1915 - Pilote de l’escadrille C 89 S (future 505) de Salonique du 11 octobre 1915 au 13 juin 1916 - Croix de Guerre et une citation à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient, en date du 29 janvier 1916 - En subsistance au dépôt du 2ème groupe d’aviation d'Orient à compter du 13 juin 1916 - Pilote du GDE du 30 juin au 5 juillet 1916 - Pilote de l’escadrille C 6 du 17 juillet 1916 au 12 mai 1918 - Une citation à l'ordre du 18ème corps d'armée, en date du 12 septembre 1916 - Military Cross britannique, le 1er mars 1917 - Nommé Sous-lieutenant à titre définitif, le 4 avril 1917 - Blessé par balle à la jambe gauche par un tir d'infanterie, le 9 mai 1917 - Evacué sur l'hôpital de Coulandon - Chevalier de la Légion d'Honneur et une citation à l'ordre de l'armée, le 10 juin 1917 - Pilote de l’escadrille R XI 239 du 13 mai au 4 juin 1918 - Nommé Adjoint technique du GC 22 du 4 juin au 9 juin 1918 - Pilote de l’escadrille SPA 92 du 9 juin au 23 août 1918 - Nommé Lieutenant à titre définitif, le 28 juin 1918 - Blessé par balle en combat aérien à la jambe droite, le 27 juillet 1918 - Contraint d'atterrir dans les premières lignes françaises, dans les environs de Marfaux - Evacué sur l’hôpital puis convalescence jusqu'au 4 octobre 1918 - Citation n° 1331 à l'ordre de la 4ème armée, en date du 8 août 1918 - Pilote de l’escadrille SPA 92 du 4 octobre au 1er novembre 1918 - Tué au cours d'un combat aérien, au sud de Château-Porcien (Ardennes), le 1er novembre 1918 - Paul Antoni repose tombe n° 205 de la Nécropole Nationale de Rethel - Sources : Bulletin de naissance - Etats de services - Pam – MpF – LO - JORF - CCC 505 - CCC C 6 - CCC R XI 239 - CCC SPA 92 - Bailey/Cony - Dernière mise à jour 24 mai 2015 - Rédaction Albin Denis et Olivier Tattu que je remercie pour son aide.
* Une citation à l'ordre du 12ème régiment de Cuirassiers, en date du 19 août 1914 : "Avec un autre brigadier et deux cavaliers,voyant le Ltt de Balose, grièvement blessé, sont allés spontanément se mettre à ses côtés pour le protéger par leur feu et permettre son évacuation."
* Croix de Guerre et une citation à l'ordre de l'aéronautique de l'armée d'Orient, en date du 29 janvier 1916 : "Pilote énergique et plein d'allant. Possède à son actif plusieurs belles reconnaissances en territoire bulgare."
* Citation à l'ordre du 18ème corps d'armée, en date du 12 septembre 1916 : "Pilote plein d'allant et de courage. A assuré à plusieurs reprises en combattant la défense des avions qu'il escortait. le 24 avril 1916, alors qu'il protégeait une mission photo, a mis complétement hors de combat un Fokker, le forcant à atterrir dans ses lignes, lui même ayant son appareil gravement endommagé par le tir de son adversaire."
* Chevalier de la Légion d'Honneur et citation à l'ordre de l'armée du Slt Paul Marius Philippe Antoni, pilote à l'escadrille C 6, en date du 10 juin 1917 : "Excellent pilote courageux et habile, qui s'est particulièrement distingué par son entrain et son sang froid dans les combats d'avril et mai 1917. Blessé grièvement, le 9 mai 1917, au cours d'une liaison d'infanterie, a réussi grâce à sa remarquable énergie, a terminer sa mission et à rentrer normalement dans nos lignes. Trois fois cité à l'ordre."
Citation n° 1331 à l'ordre de la 4ème armée, en date du 8 août 1918 : "Pilote de chasse d'une rare audace, plein d'entrain, d'une xemple superbe pour tous ses camarades. A livré de nombreux combats au cours de l'offensive allemande. Le 25 juillet 1918, chargé d'assurer la protection d'avions d'observation, a soutenu contre quatre avions de chasse ennemis un dur combat. Sérieusement blessé à la jambe droite et son avion gravement endommagé, n'a du qu'à son endurance de pouvoir ramener son appareil jusqu'à nos premières lignes."
* Citation à l'ordre de l'armée à titre posthume du Ltt Paul Marius Philippe Antoni, du 12ème régiment de cuirassiers, pilote à l'escadrille SPA 92, en date du XXX : "Officier de très grande valeur. Pilote de chasse faisant l'admiration de tous par sa bravoure, son ardeur toujours égale et l'élévation de ses sentiments. Tombé glorieusement, le 1er novembre 1918."
Photo du Sgt Achille Bonneville
Sgt Achille Bonneville - Né le 7 mars 1893 au n° 1, rue Dézobry à Saint-Denis (Seine-St-Denis) - Fils d'Armand Emile Bonneville (marchand-boucher) et de Pauline Eugènie Marie Adolphine Laby (marchande-bouchère) - Domicilié au 29, rue du Chemin de Fer à Saint-Denis (Seine-St-Denis) - Profession avant guerre Boucher - Classe 1913 - Recrutement du 1er bureau de la Seine sous le matricule n° 4065 - Appelé pour effectuer son service miliraire, au titre du 17ème régiment d'infanterie, le 27 novembre 1913 - Blessé par balle au pouce de la main droite au Donon (Vosges), le 20 août 1914 - Evacué sur l'hôpital de Vichy (Allier) du 21 août au 1er septembre 1914 - Nommé Caporal, le 29 janvier 1915 - Blessé par balle à la main droite et par un éclat d'obus à la fesse gauche à Lorette (Pas-de-Calais), le 10 mai 1915 - Evacué de l'hôpital auxiliaire de Paris du 11 mai au 20 juillet 1915 - Affecté au 158ème régiment d'infanterie, le 11 octobre 1916 - Nommé Sergent, le 16 novembre 1916 - Affecté au 163ème régiment d'infanterie, le 30 novembre 1916 - Passé à l'aéronautique militaire comme élève pilote (à la fin 1917) - Brevet de pilote militaire n° 11.992 obtenu à l'école militaire d'aviation de Châteauroux, le 8 mars 1918 - Pilote du GDE du 9 mars au 30 juin 1918 - En Orient du 30 juin 1918 au 2 avril 1919 - Pilote des escadrilles BR 505 et SPA 506 du front d'Orient - Croix de Guerre avec une étoile de bronze - Citation à l'ordre du régiment, en date du 7 mars 1919 - Retour en métropole, le 23 octobre 1919 - Démobilisé, le 29 janvier 1920 - Marié avec Mlle Georgette Jeanne Merlin à la mairie d'Aubervilliers (Seine-st-Denis), le 14 février 1920 - Affecté, dans la réserve, à la 7ème section du 1er groupe d'ouvriers d'aviation, au magasin général d'aviation n° 1 de Romilly-sur-Seine (Aube) - Domicilié au 14, rue des Ecoles à Aubervilliers (Seine-St-Denis), à compter du 21 avril 1920 - Domicilié au 31, rue de Nantes (Loire-Atlantique), à compter du 28 août 1920 - Domicilié au 36, rue Haute à Meulan (Yvelines), à compter du 28 avril 1923 - Maintenu "Service armé" avec pension d'invalidité inférieure de 10 % pour reliquat de paludisme contacté en Orient en 1918, cicatrices sans gêne fonctionnelle de la région fessière gauche, cuisse gauche, pouce droit par la commission de réforme de la Seine, le 8 septembre 1924 - Domicilié au 31, rue de Nantes à Paris 14ème, à compter du 8 septembre 1924 - Médaille Militaire, en date du 12 mars 1928 - A effectué une période d'entrainement volontaire au magasin général d'aviation n° 1 (MGA n° 1) du 17 juin au 1er juillet 1929 - Domicilié au 5, rue Delambre à Paris 14ème, à compter du 6 août 1929 - Affecté, dans la réserve, au 5ème groupe d'ouvriers d'aéronautique, le 27 juin 1930 - A effectué une période volontaire d'exercice, comme pilote d'avion, à la division d'entrainement aérien d'Orly du 18 novembre au 2 décembre 1931 - A effectué une période volontaire d'exercice, comme pilote d'avion, à l'école pratique d'aviation d'Avord du 17 juin au 2 juillet 1933 - Nommé Sergent de réserve, le 17 décembre 1934 - Domicilié au 92, Grande Rue à Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), à compter du 23 mars 1939 - Rappelé à l'activité par la mobilisation générale, le 17 septembre 1939 - Affecté à la 4ème compagnie du bataillon de l'Air 127, le 17 septembre 1939 - Affecté à la 7ème compagnie du bataillon de l'Air n° 106 à Bordeaux-Mérignac (Gironde), le 28 février 1940 - Démobilisé, le 25 juin 1940 - Décédé à Crosne (Essonne), le 6 février 1986 - Sources : Registre d'état-civil (acte n° 310) de la ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) - Fiche matricule du 1er bureau de la Seine conservée aux archives départementales de Paris -
* Citation à l'ordre du régiment, en date du 7 mars 1919 : "Très bon gradé, blessé deux fois en accomplissant son devoir."
* Médaille Militaire du Sgt Achille Bonneville, au 1er groupe d'ouvriers d'aéronautique, en date du 12 mars 1928 : "13 ans de services, 5 campagnes. A été blessé et cité."
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